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Mes Univers
13 mai 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 566 - 570

arche3En 79, malgré la diaspora, l’Empereur Titus craint toujours que la judée ne se révolte encore. C’est pour cette raison qu’il interdit désormais aux Juifs restés dans le pays, d’étudier la torah. Il leur défend de s’adonner à la kabbale ; ceux-ci se demandent alors si leur chaîne Initiatique ne va pas être interrompue. Et il les empêche de se rendre en pèlerinage à Jérusalem pour prier au Mur des Lamentations ; le seul vestige encore debout du Temple de Salomon. 

En 80, les déviations doctrinales se multiplient, car le Christianisme se réfère à un homme, Jésus, et à un événement, sa résurrection, mais non à un livre ou à un système théologique. Certaines hérésies sont le fait d’intellectuels soucieux de concilier la foi et la philosophie, d’autres rejettent la bible. Ces interprétations sont déterminées par des héritages culturels différents. Il faut donc constituer, à partir des traditions diverses, un « canon » des textes admis par tous. Il faut, aussi, renforcer l’encadrement. C’est la tâche des premiers grands évêques, comme Clément, à Rome, et Ignace, à Antioche. Celui-ci définit l’Eglise comme « Catholique », c’est à dire universelle.

Véhiculé de port en port le long des routes romaines, le Christianisme utilise des réseaux d’hospitalité. Chaque prédicateur a les siens. Des notables accueillent les communautés dans le cadre d’Eglises « domestiques ».

L’Eglise est à présent considérée comme le « Corps Mystique » du Christ. La communion fonde son unité. Peu à peu, un encadrement permanent se met en place, relayant l’action des « Prophètes » itinérants de la première génération : chaque communauté est administrée par un évêque – « surveillant » -, des prêtres – « anciens » - et des diacres – « serviteurs » -.

Alors, après la révolte des Juifs en Judée, la chute de Jérusalem et la destruction du Temple en 70, toutes les attaches sont désormais rompues avec le Judaïsme. Maintenant, il s’agit d’intégrer la religion nouvelle à l’Empire Romain et à la société païenne.

En 77,  certains prédicateurs ayant jadis séjourné en Egypte, intègrent à leurs Croyances un certains nombre de dogmes extérieurs au Christianisme. Ainsi, ils désignent le 25 Décembre comme étant celle de la naissance du Sauveur. Or, ils savent très bien que le 25 Décembre est également le jour où a été engendré Osiris dans la religion Egyptienne. Ils reprennent en outre la pratique du Baptême, alors que celle-ci a autrefois été utilisée par les Disciples d’Isis : ceux-ci s’immergeaient ainsi dans les eaux du Nil, après s’être repentis et avoir confessé publiquement leurs péchés. Ils y récupèrent encore l’image de « la mère de Dieu », puisqu’Isis était souvent représentée en train d’allaiter Horus ; le rejeton issu de l’union Magique entre elle et Osiris. Puis, ils remodèlent la tradition selon laquelle Osiris aurait été tué par Seth un Vendredi, et aurait ressuscité trois jours plus tard grâce à l’intervention de son épouse ; avant de l’assimiler au Miracle de la montée de Jésus vers le Ciel.

D’un autre coté enfin, ils métamorphosent Thot – le dieu Egyptien de la sagesse – en Enoch. Ce dernier est alors considéré comme l’Inventeur de l’Ecriture ; le Révélateur de l’Art. Et il est désigné comme celui qui, avant le Déluge, de peur que les Connaissances Essentielles des Ages passés, ne soient perdues, aurait inscrit leurs « Grands Secrets » sur une dalle de pophyre oriental, avant de les enfouir dans les entrailles de la terre. 

En 85, vassaux de l’Empereur, les Juifs vivant encore en Palestine échappent à la domination directe de Rome. Ceux qui se sont dispersés près de la méditerranée bénéficient du statut de citoyens et ont le droit de pratiquer leur Religion ; ils sont dispensés de rendre un culte à l’Empereur. Mais les contacts entre les deux cultures sont féconds. Des païens décident de se convertir au Judaïsme. Le philosophe Philon, Juif d’Alexandrie, tente même de concilier la pensée platonicienne avec le Judaïsme.

Mais ces rapprochements restent tout de même rares. Les païens confondent bien souvent les Juifs et les Chrétiens. Les tensions débouchent sur des affrontements. La destruction du Temple par Titus a creusé un fossé infranchissable. Et à la mort du dernier hérodien, Agrippa II, toute la palestine est sous domination Romaine.

En 97, le terme « Evangile » désigne à la fois le message de Jésus et des apôtres et les écrits qui le consignent. Apparaissent aussi des recueils de « Dits » et de « Signes », rassemblant les Traditions diffusées oralement par les apôtres ; et enfin, les prédictions des premiers Chrétiens. Quatre Evangiles sont retenus : celui de Marc, celui de Matthieu, celui de Luc et celui de Jean.

Les trois premiers Evangiles, sont très proches, quant au fond et à la forme. Celui de Matthieu, un des douze Apôtres est écrit pour les Juifs convertis. Marc rédige l’Enseignement oral de l’Apôtre Pierre, les « Dits » organisés en grands discours. Luc, médecin, compagnon de Paul, écrit pour les païens, tente d’établir une trame chronologique, et de faire œuvre d’historien. L’Evangile de Jean, de son coté, se distingue par une interprétation plus intellectuelle des faits. Mais il sélectionne également des éléments particuliers dans une perspective philosophique issue du Judaïsme hellénisé.

Car, de son coté, alors qu’il est exilé à Pathmos, l’Apôtre Jean écrit « l’Apocalypse » ; une Apocalypse contient les Révélations reçues par un homme sous forme de visions symboliques et consignées par lui dans un livre. Il s’agit pourtant cette fois d’un écrit de circonstances, destiné à rouvrir l’espérance des Chrétiens, en une période de troubles et de persécutions contre l’Eglise. Rome y st comparée à la courtisane de l’Apocalypse ; l’auteur annonce la délivrance du peuple de Dieu, puis sa domination sur les nations païennes à leur tour châtiées et anéanties.

Les premières Prophéties Chrétiennes qui en sont issues expliquent que le onzième millénaire avant notre Ere coïncide avec le « Premier Temps ». Il s’agit du moment où le cycle des Etoiles de la ceinture d’Orion est à son niveau le plus bas. L’élévation à son maximum correspondra au « Dernier Temps » ; lequel apparaîtra au à l’époque ou l’Equinoxe de printemps cessera d’avoir lieu dans la constellation du Poisson. Ce sera alors la fin de l’Ere Chrétienne.

Le début de la chute de l’Age présent surviendra à l’approche des quatre Cavaliers de l’Apocalypse. Ils se mettront à chercher avidement la situation géographique de la terre Promise ; le lieu où les Elus assisteront au retour de l’Age d’Or. Un texte – « la tiburtina » - décrit certains des grands fléaux que subira l’Humanité à ce moment là : l’ère d’affliction débutera par la prise de Rome.

Par ailleurs, dans son Deuxième Epître (3, 3-10), Pierre prédit la venue de l’Antéchrist lorsque le Monde sera proche de l’Apocalypse : « Sachez tout d’abord qu’aux derniers jours, il viendra un Blasphémateur guidé par Sa passion. Il dira : « Ou est la promesse de l’Avènement du Sauveur ; depuis que les Pères sont morts, tout demeure comme au début de la création. ». Car l’Antéchrist ignorera volontairement qu’il y eut autrefois des Cieux et une Terre qui, du milieu de l’eau, surgit sur une parole de Dieu ; et que par ces mêmes causes, le Monde d’alors périt par l’eau. Mais les Cieux et la terre d’à présent, Sa même parole les a prédits au feu au Jour du Jugement Dernier. Ce sera la ruine des hommes impies. Il viendra, le Jour du Seigneur ; comme un voleur. En ce Jour les Cieux se dissiperont avec fracas. Les éléments embrasés se dissoudront. La terre, avec les œuvres du Malin qu’elle renferme, sera consumée. »

Mais, dit Pierre, le Plan de Dieu pour Son peuple, ne pourra pas être contrecarré par cette Catastrophe. Ainsi, tous les Enfants d’Elie seront sauvés par la parole de l’Ecriture parce qu’ils en porteront le signe. Ceux-ci recevront alors du Seigneur la mission de renouer avec l’Humanité dégénérée les chaînes de la tradition disparue. L’Armaguedon durera donc tout le temps qui précédera la venue du Grand Empereur – le Rédempteur - qui instaurera le nouvel Age d’Or sur la terre. Suivra enfin l’arrivée d’un second Antéchrist ; puis le règne définitif de l’Esprit divin.

Egypte, Ier siècle après J.C. :

Vers 30, Jésus de Nazareth se rend en Egypte. Il séjourne un temps à Alexandrie afin d’y être Initié à la magie Traditionnelle du pays. Il découvre que la cité est la plus éclectique, la plus œcuménique, et la plus tolérante des métropoles. Mais, il se rend également compte qu’elle se situe à la croisée des routes commerciales de la méditerranée. Pour lui, elle est donc bien un comptoir général des biens et des idées.

Jésus apprend ainsi que les Mystères Egyptiens cohabitent avec les Mystères Grecs, avec la philosophie Hellénistique, avec les doctrines religieuses de Palestine et de Syrie, avec les vestiges de la religion Zoroastrienne et Mithridaïque, et qu’ils se mêlent aux cultes existant aux quatre coins du Monde. Même l’Hindouisme et le Bouddhisme importés de l’Inde s’y propagent. Enfin, Jésus a accès à la grande Bibliothèque d’Alexandrie, qui est en fait un centre privilégié pour les Intellectuels de tous les pays.

Il y lit donc des traités Hermétiques ou parlants des Mystères du Temple. Il s’imprègne de notions Alchimiques qui évoquent l’héritage Mystique d’Osiris, des textes censés remonter aux Premiers Ages de l’Humanité. Il y parcourt des ouvrages expliquant qu’autrefois, Dieu a parfois été représenté sous les traits d’une Chèvre, et qu’il a porté le titre de « Baphomet ». Il y comprend que l’Hermétisme, ainsi que les « Mystères du Temple de Salomon » ont pour la première fois été intégré à la culture Hébraïque, au cours de la vie de Moïse. Il y déchiffre des Formules Magiques permettant de transformer l’eau en vin, de marcher sur l’eau. Et, une fois qu’il en a terminé avec cette Initiation à la sorcellerie Egyptienne, il prend la direction du lac de Tibériade. Désormais en effet, il désire se faire connaître de ses semblables. 

En 33, un Mage nommé Orekptah écrit, à propos du culte d’Isis répandu à son époque : « Lors de la domination Grecque, la religion Isiaque se diffusa partout. Elle fut le trait d’union entre deux Ecoles de Mystères. Ensuite, elle atteignit Rome. Elle imprégna l’ensemble de l’Empire. Malgré tout, son centre dogmatique demeura toujours en Egypte ; au Serapeum d’Alexandrie.

Les castes inférieures Romaines aimaient le culte d’Isis. Elles s’y adonnaient ave enthousiasme. Malheureusement, un jour, les autorités virent d’un mauvais œil ces mouvements de masse. Ils représentaient pour elles un risque de subversion. Aussi, les Adeptes d’Isis firent t’ils l’objet de persécutions fréquentes à Rome. Et, en définitive, le Sénat ordonna la destruction de tous les Temples honorant la déesse.

Or, aussi incroyable que cela puisse paraître, les ouvriers refusèrent d’anéantir ces Sanctuaires. De plus, bientôt, à la surprise générale, le triumvirat gouverné par César ordonna l’édification d’une nouvelle chapelle Isiaque. Peu après, Marc Antoine et Cléopâtre s’y firent représenter sous les traits d’Osiris et de Dionysos. Cléopâtre profita de son influence sur Mar Antoine pour faire reconnaître le culte d’Isis en tant que Religion Nationale en Egypte. Bien que cela ne dure pas, puisque l’Empereur suivant réprima sévèrement les Adeptes d’Isis : leurs Prêtres, ainsi que 4000 d’entre eux, furent chassés de Rome en même temps que les Juifs de la cité. ». 

Pourtant, en 35, même si désormais l’Empire tente d’en entraver la diffusion, le culte d’Isis vit une seconde phase d’expansion. Sa propagande active atteint toutes les classes sociales. Il touche les classes dirigeantes. Il est véhiculé par les courants commerciaux et les expéditions militaires en Orient. Et finalement, le pouvoir Romain est obligé de reconnaître qu’il a même convaincu des hommes et des femmes habitant sur le Rhin et sur le Danube.

De fait, en 38, Caligula a l’habilité de l’associer aux Rites Impériaux. Il encourage ainsi la construction de plusieurs Temples à Rome. Il participe à des fêtes Isiaques à Alexandrie, et s’intéresse aux Mystères qui lui sont rattachés. Il découvre, stupéfait, que les Egyptiens insulaires décrivent leurs Sanctuaires de jadis comme une suite de bâtiments en ruines, à l’abandon, au centre desquels les derniers Prêtres de Ra perpétuent tant bien que mal une Tradition révolue. Il est informé que certains de ceux-ci se rendent parfois aux confins du désert de Radari, afin de s’approcher au plus près des cimetières et des forteresses de Kouban et de Mirgissa. Il lui est dit que quelques uns habitent les environs de ces sites, à Kiwan. Il réalise que quelques autres sont installés sur l’île de Meinasti, non loin d’une Acropole qui est le point de passage stratégique entre les deux rives du Nil. Et il se renseigne sur les deux gouverneurs qui supervisent l’administration de la région. 

Ce sont ces derniers, lui apprend t’on, qui, un jour, ont mis en évidence une anfractuosité dont les murs sont incrustés de motifs Mythologiques. Ce sont également eux qui y ont marqué que la nubie est désormais tenue par deux peuplades indigènes : les « Nobades » et les « Blemmyes ». Ce sont encore eux qui ont compris que celles-ci étaient originaires, pour l’une, de Libye, et pour l’autre, d’Arabie. Et enfin, Caligula conclut qu’elles ont pour charge de défendre la frontière Sud de l’Empire. Mais lui, leur envoie un ambassadeur, dans le but de leur faire promettre d’éloigner l’autorité du royaume de Méroé de ses territoires ; mais aussi, d’y sauvegarder les cultes Egyptiens.

En 40, le Mage Simon traverse l’Egypte en compagnie d’une mystérieuse femme du nom d’Hélène. Celle-ci a en effet la réputation d’être une ancienne prostituée née dans la cité Phénicienne de Tyr. Mais, Simon, lui, l’appelle « Eonnia » ; ce qui veut dire : « la mère de Tout ». Il lui révèle ensuite que cette appellation est liée aux dogmes Gnostiques dont il est le détenteur. Il lui Enseigne que la première Pensée de Dieu a engendrée les Anges et les Demi-Dieux. Il lui explique que ceux-ci ont ensuite créé la terre selon ses instructions. Et il lui démontre, qu’une fois qu’ils ont accompli leur mission au nom de Dieu, ils se sont rebellés contre leur Créateur ; qu’ils l’ont emprisonné à l’intérieur de la matière qu’est notre Monde Physique. 

En 46, Ormus est un Mystique Egyptien reconnu ; mais c’est aussi un Adepte de la doctrine Gnostique et Hermétique d’Alexandrie. En effet, c’est un habitué du fabuleux creuset de concepts Religieux et Philosophiques, des Récits Grecs, Perses, Juifs, Egyptiens, et Extrême-Orientaux, de la grande Bibliothèque de la cité. C’est un Initié qui s’intéresse à la notion de Dualisme : à ses yeux, le Cosmos est divisé entre le Monde Divin et le Monde Humain inférieur et terrestre. Il est persuadé que l’Homme a été créé par des Anges ; qu’il est loin d’être parfait, et qu’il est intrinsèquement Mauvais. Il est convaincu que, seule l’intercession Divine qui peut se produire au cours de la vie Terrestre, est capable de pénétrer l’Ame Humaine ; et que c’est grâce à cette intervention qu’il est capable de toucher à la connaissance – ou « Gnose ». Et il est sûr que ce n’est qu’ensuite qu’il peut être délivré du Mal inhérent à sa condition Humaine ; et que l’Immortalité de l’Ame en est la récompense.

Or, à quelques mois de là, l’ancien Disciple de Jésus qu’est Saint-Marc, convertit Ormus au Christianisme. Avec six de ses compagnons, celui-ci abandonne donc le culte Egyptien. Il s’entoure de Disciples. Il fonde une Secte à laquelle il donne le titre de « Sages de la lumière ». Il se renseigne sur les Mystères d’Eleusis, de Thot, d’Hermès Trimegiste, de Zoroastre. Il se passionne pour tout ce qui concerne les cultes d’Astarté, pour les Phéniciens ; d’Aphrodite, pour les Grecs et les Chypriotes ; d’Ishtar, pour les Mésopotamiens ; et de Cybèle, pour les gens d’Asie Mineure. Il approfondit les Enseignements de certains groupes Hébraïques, comme ceux des Esséniens. Et, finalement, il élabore un certain nombre de dogmes inédits, mêlant Principes Chrétiens et anciennes Croyances Païennes ; mais en totale contradiction avec les certitudes des Chrétiens primitifs : « Ce sont les Egyptiens qui ont instruit les Israélites de la connaissance de la bonne Architecture. Ils ont été les Maçons de l’Avenir. ». Et, finalement, il écrit treize livres, les « Nag Hammadi », qu’il enferme dans une jarre d’argile rouge, et qu’il dissimule nul ne sait où.

Peu de temps après, le Savant Grec Panopolitain Zosime, entre en contact régulier avec Ormus et ses Adeptes. Et il se met écrire plusieurs récits Alchimiques et Esotériques.

En 50, alors qu’il est de passage en Egypte, dans son livre de voyage, Strabon explique que les Romains ont libre accès à la grande Pyramide. Ceux-ci n’en n’ont jamais découvert les Secrets, bien qu’ils se soient régulièrement aventurés à l’intérieur de ses Chambres souterraines, les aient exploré, puis, aient laissé des graffitis sur ses parois.

Le collègue de Strabon, Pline, lui, signale que les Egyptiens ont utilisé de l’étain lors de l’édification de ce monument. Mais, selon lui, ce matériau ne provient pas de l’Inde. Il est arrivé de contrées situées à l’Ouest de la vallée du Nil. Il dit aussi que jadis, parfois, les Pharaons ont échangé de l’étain avec l’Inde, en y achetant des perles et des pierres précieuses.

En 75, plusieurs individus mystérieux s’aventurent souvent dans les environs des ruines de la citadelle de Napata. Là, ils exhument les vestiges de deux Temples dédiés à Amon. Ils repèrent des traces de combats qui datent de l’invasion du Delta du Nil par les Assyriens. Puis, ils rétablissent et agrandissent le Sanctuaire du Soleil qui s’y trouve.

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