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Mes Univers
13 mai 2016

Foi et libre arbitre :

X3Je suis heureux de constater que mon article d'hier – un peu plus court que d'habitude, j'en conviens – concernant le fait que les différences nous enrichissent mutuellement, a un beaucoup de succès. Mais aussi, que beaucoup de commentaires de personnes également convaincues que nos différences nous apportent les uns aux autres, davantage qu'elles nous éloignent, l'ont initié.

 

Toujours dans cette optique, j'aimerai m'étendre sur un aspect que j'ai déjà légèrement abordé dans des textes antérieurs, mais qui n'est pas assez pris en compte à mon avis. Mais tout d'abord, j'aimerai préciser ceci, parce qu'il semble que ce ne soit pas compris par certains et certaines : ce que je retranscris à l'intérieur de mes exposés est issu de me réflexions personnelles, philosophiques, spirituelles. Les notions que j'y évoque sont aussi issues de mes recherches dans tous les domaines que j'ai longuement étudié au cours de ces vingt dernières années. J'ai dévoré des milliers de livres, visionné d'innombrables documentaires, débats, reportages. J'ai rencontré, échangé, polémiqué, délibéré, avec des gens de tous milieux, de toutes confessions – ou pas -, de tous niveaux socio-culturels, de toutes idéologies, de tous bords politiques, etc. J'ai voyagé aussi, à une certaine époque de ma vie, dans beaucoup de pays.

 

Bref, toutes ces expériences ont enrichi mon esprit de manières aussi diverses que variées. Elles m'ont amené à regarder le monde, l'Homme, sous des facettes multiples, passionnantes, fascinantes. Elles m'ont énormément apporté ; bien plus que je ne l'aurai imaginé au sortir de mon adolescence tourmentée. Je dirai même plus : les épreuves, les blessures, mon handicap, ma maladie, les souffrances, les moqueries, les rejets, etc. que j'ai enduré jusqu’à aujourd'hui, ont forcément contribué à cette construction intellectuelle et philosophique qui est la mienne.

 

Néanmoins, que nul ne se trompe. Je tiens à insister sur ce point, parce que certains et certaines n'assimilent pas cette donnée, lorsqu'ils lisent mes textes. Ce que je partage à l'intérieur de ceux-ci est issu de moi ; et uniquement de moi. Il s'agit de ma vision de l'Homme, du monde, de l'univers. Il s'agit de mes pensées, de mes savoirs, de mes expériences, de mes observations, ou de mes introspections. Il ne s'agit pas de « LA Vérité » ; il s'agirait plutôt de « MA vérité ». Je n'oblige personne à y adhérer, à l'accepter comme des lois divines gravées dans le marbre. Chacun y prend – ou pas – ce qu'il souhaite. Je partage uniquement ce que je pense être juste, censé, raisonnable, intéressant, passionnant, sujet de considération ou de critique. Je ne suis pas « Dieu le père ». Je demeure humble face à l'étendue de mon ignorance et des erreurs, des fautes, que j'ai commises tout le long de mon existence ; que je commets encore régulièrement ; et que je commettrai encore dans l'avenir. Comme vous, comme nous tous d'ailleurs. Car nul sur cette Terre est infaillible, ou détient « LA Vérité ». Nul ne peux – et ne doit – se prévaloir que ses paroles, ses mots, ses textes, sont des dogmes entérinés et à respecter scrupuleusement.

 

Celui ou celle qui part de ce principe en me lisant – ou en lisant quiconque ici ou ailleurs – commet une terrible erreur ; pire, une faute effroyable et dangereuse. Chacun, je le répète, à son libre arbitre. Chacun peut interpréter, accepter, refuser, critiquer, adhérer, s'inspirer, ignorer, les textes que je partage ici et ailleurs. Il en est de même pour n'importe quel livre, œuvre diffusée sur Internet, pour n'importe quel reportage, documentaire, information, etc. à laquelle chacun et chacune a accès. Il faut garder l'esprit ouvert, c'est indéniable. Mais il ne faut pas tout avaler à partir du moment où c'est écrit, diffusé, échangé, encensé ou discrédité. Ainsi, je plains profondément, plus que je les condamne, ceux et celles qui, les yeux fermés, et parce que la Bible le révèle, croient que la Terre a été créée en sept jours, qu'Adam et Eve ont existé, avant d’être rejeté du Paradis après avoir goutté au fruit défendu ; et autres paraboles du même genre. Malgré tout, si cela les rassure, les aide, dans leur vie, pour les épreuves que l'existence met sur leur route, tant mieux.

Pour autant, il ne s'agit pas de « LA Vérité » absolue, incontestable. Il s'agit d'une « manière » de voir « LA Vérité ». D'ailleurs, comme je l'ai exprimé à plusieurs reprises, à mon humble avis, il y a autant de vérités qu'il y a d'humains sur la Terre ; autant qu'il y a d'idéologies, de philosophies, de religions, de traditions, de discernements intellectuels, etc. Ce n'est pas parce que l'on croit que quelque chose est « LA Vérité », que c'est le cas.

 

Éventuellement, et parce qu'elles sont basées sur des faits avérés, reproductibles, explicables à l'aide d'expérimentations, d'observations, d'applications ou de tests au sein de la Réalité, toute scrutation de cette dernière peut être habilitée. Car il y a une différence fondamentale, indéniable, irrécusable entre : « Je CROIS qu'il existe un au-delà après la mort », et « Je SAIS qu'il existe un au-delà après la mort ». Le premier est basé sur une conviction ; quelque chose qui éminemment personnel ; qui relève de la foi, de la mystique, de la spiritualité… mais qui n'est issu d'aucun fait avéré, constaté, reproductible, expérimenté ; en dehors de cette personne, évidemment. Quant au second, il relève de l’observation répétée, aisément reproductible sur n'importe qui, critiquée, considérée, annotée, formulée, objectée.

 

Et là est toute la différence. Et là est l'antagonisme entre ceux qui s'appuient sur leurs convictions, et ceux qui s'appuient sur leurs constatations. Chacun défend avec force et opiniâtreté ses positions. Chacun estime ce qu'il clame ne peut être remis en cause, discrédité, modifié, jugé. L'intellect contre la croyance, la raison contre les dogmes. Et au milieu de cela, l'Homme qui se débat, qui cherche, qui se questionne, qui s'interroge sur ce à quoi il doit adhérer : Réalité ou Vérité.

 

Pour ma part, je le revendique net et fort afin qu'il n'y ait pas d'amalgame possible : je préfère de très loin faire confiance à mon intellect, à ma raison, à mes connaissances, plutôt qu'à la foi ou à la croyance.

 

Evidemment, une fois encore, chacun est libre de s'appuyer sur l'une ou l'autre de ces conceptions - ou aux deux, pourquoi pas ? Je suis de ceux qui s'imaginent qu'elles ne sont pas incompatibles tant que l'on ne souhaite pas faire plier l'une pour étayer l'autre. Tant que l'on ne prêche pas l'une pour consolider l'autre. Car, malheureusement, on le constate régulièrement, c'est ainsi que ceux qui croient tentent de convertir les hommes et les femmes qui n'ont pas la foi , à leurs croyances. Souvent, ils s'appuient sur des faits scientifiques, qu'ils détournent afin de les faire coller à leurs préceptes. Puis, ils s'écrient : « tu vois, c'était écrit dans la Torah, la Bible, le Coran, bien avant que les chercheurs ne se penchent sur leurs théories. » Quant aux autres, ils éliminent d'emblée ce que le spirituel est susceptible d'engendrer en bien ou en mal chez l'Homme, pour se concentrer sur ce que leurs équations leurs démontrent.

 

De fait, même si je ne « crois » pas, je suis le détenteur d'une certaine spiritualité qui, bien qu'elle n'ait rien à voir avec la religion, est assez élaborée. En ce qui concerne Dieu, elle se rapprocherait des thèses décrites dans l'ouvrage intitulé « la Formule de Dieu ». Le concept développé au cœur de celui-ci est novateur, complexe, riche, et développe une vision de l'Univers et de la notion de Déité en totale adéquation avec les grandes questions que l'Humanité se pose depuis la nuit des Temps : pourquoi sommes nous ici, en tant qu'espèce, quelle est notre fonction, notre destinée, etc. Elle ouvre de fabuleuses perspectives qui renversent au passage les vieilles théologies et les dogmes surannés que la Religion nous impose depuis près de 5000 ans. Ce livre, il est vrai, ne répond pas à l'ensemble de ces interrogations ; je pense que ce serait lui donner plus d'importance qu'il n'en n'a. Mais il ouvre de nouvelles portes à explorer, un chemin inédit plus plausible, plus réaliste, plus en phase avec le lien unissant foi et raison.

 

Car, et c'est là où je souhaitais en arriver, le problème avec la religion telle que nous l'appréhendons, est qu'elle nie condamne la raison : « Pour croire, il ne faut pas se poser de questions. Il faut accepter Dieu et ses enseignements dans ton cœur, sans se référer à autre chose qu'à ses textes sacrés. ». Peu importe la religion d'ailleurs. S'il y a bien un aspect où elles se rejoignent toutes, c'est celui-ci:se laisser aveugler par la foi que l'on place en Dieu. Par ses promesses en une vie éternelle après la mort.

 

Désolé, en ce qui me concerne, je n'ai pas de preuve « concrète », « palpable », de ces affirmations sorties de livres écrits il y a des siècles ou des millénaires ; maintes fois interprétés. Donc, je ne peux pas y croire. Je ne dis pas que ce qu'ils disent ne recèlent pas une part de vérité. Un infime fragment plutôt, parmi les myriades de vérités et de réalités dont est constitué notre réalité, notre univers. Mais, pour moi, elles tiennent davantage de la parabole, de la symbolique, de l'explication grâce aux termes et aux connaissances de l'époque où ils ont été rédigés ; plutôt que d'une assertion démontrée, vérifiée, inaltérable, éternelle. Tant que rien ne viendra m'indiquer que Moïse, Jésus, ou Mahomet ont existé, mais surtout que les miracles que leurs textes sacrés détaillent ont véritablement eu lieu, preuves palpables à l'appui, je n'y croirai pas. Et lorsque je dis preuves, pas théologiquement parlant. Je demande des preuves qui sont admises en dehors de toute influence religieuse.

 

Ça, c'est déjà un premier point. Le second, c'est qu'en partant du fait que chacun est censé avoir son libre arbitre, que quiconque est libre de se faire sa propre opinion en fonction des données qui sont à sa disposition, il a le droit – le devoir, même – de réfléchir à ce qu'on lui dicte ; y compris en matière religieuse. Surtout, en matière religieuse. Comme je le soulignais au début de cet exposé, chacun peut – ou non – adhérer aux pensées, au réflexions, aux thèses qui sont les miennes. Chacun peut accepter ou refuser, valider ou invalider, objecter ou critiquer, ma façon d'appréhender les sujets que je développe dans les nombreux textes que je publie ici ou ailleurs. C'est ce que l'on appelle « la liberté de penser, la liberté d'expression, la liberté d'opinion, etc.

 

Et, s'il y a un fait que je ne supporte pas, en tant qu'individu à part entière, doté d'intelligence, de lucidité, de conscience, c'est que la religion – les trois dogmes monothéistes actuels en particulier – m'imposent ce en quoi je dois croire ou pas, ce qui est vrai, et ce qui ne l'est pas. Elles nient mon individualité, mon libre arbitre, pour me faire plier à leurs concepts. Et ma liberté, en tout cas, c'est mon avis, m'est plus importante, que la volonté d'un Dieu que les religieux de tous bords désignent comme Tout-puissant. Terme, en outre, que je lui dénie. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que dans leurs livres, à de nombreuses reprises, il est mentionné « soumet toi à ton Seigneur ». Dans cette simple petite phrase, l'essentiel est dit : je ne suis rien. Je « DOIS » être obéissant, déférent, servile. Ce qui m'anime au fond de mon cœur, de mon âme, de mon esprit, n'a aucune importance. Le plus important, c'est que je DOIS être celui que Dieu et ses dogmes veulent que je sois. Au nom de l'amour qu'il me porte, mon amour envers lui doit être inconditionnel, irréfléchi, sans réflexion ni raison, sans que mon avis ou ma sensibilité, que mes motivations, ce qui me paraît important dans ma vie, soient pris en compte.

 

Je vais prendre un exemple tout simple tiré de la Bible qui décrit bien ce phénomène : Un jour, Dieu demande à Abraham s'il l'aime ; s'il l'aime assez pour tout sacrifier pour lui. Abraham répond évidemment oui. Dieu lui demande alors de tuer son fils afin de lui prouver son amour. Abraham, déchiré, meurtri, après un moment d'hésitation, obéit à Dieu. Il amène son fils sur l'autel où il prie Dieu. Il brandit un poignard, prêt à tuer la chair de sa chair afin d'obéir à Dieu. Mais, heureusement, Dieu retient son geste au dernier instant, et lui explique que c'est un mouton qu'il sacrifiera pour lui à cette date à partir de ce jour.

 

Cet épisode est bien connu. Eh bien, moi je dis non. La croyance en Dieu et en ses enseignements n'autorise pas tout. Comme le Communisme, comme les idéologies les plus abjectes qui ont ensanglantées le monde au 20e siècle, comme le capitalisme outrancier soumettant l'ensemble de l'Humanité à un credo où l'argent roi est devenu la règle, il s'agit là de totalitarisme. Si l'Inquisition a existé, si l'Islamisme qui terrorise aujourd'hui des populations entières, comme les ultra-orthodoxes juifs, ou comme les traditionalistes catholiques et les « born again » chrétiens, il s'agit de répandre l'idée qu'il n'y a pas d'autre option que « LA Vérité de Dieu ». Tout le reste doit être banni, éradiqué, effacé, supprimé. Il faut convertir par n'importe quel moyen ceux et celles qui ne sont pas du même avis. Y compris contraints et forcés. Aucune divergence ne doit être tolérée.

 

Quand on y pense, c'est transformer l'Homme en robot, en être inhumain qui ne pense pas, qui ne réfléchit pas, qui n'est pas libre de ses mouvements, de ses raisonnements. Un Homme qui n'a plus individualité, de passions, de rêves, d'espoirs, qui lui sont propres. C'est fabriquer des clones sans âme et sans conscience. Poussé à l’extrême – quelle que soit la religion -, c'est comme ces enfants que l'on voit parfois dans ces reportages sur les écoles coraniques : ils répètent des passages du Coran par cœur, sans savoir ce qu'ils signifient. Endoctrinés, le cerveau embrumé à force d'avoir été discipliné, domestiqué par des semaines et des mois à ce rythme. Comme ces messes géantes aux États-Unis, où le pasteur, au nom de la foi, est capable de faire entrer en transe des foules entières, de provoquer des crises d'hystéries et des soi-disant miracles. Comme ces créationnistes qui refusent les théories de Darwin parce que la Bible affirme que ce n'est pas ainsi que cela s'est passé.

Il est d'ailleurs à préciser qu'en ce qui concerne ces intégristes chrétiens, ils sont souvent de fervents partisans de l'Extrème-Droite, et du Front National en France. Aux États-Unis, ce sont les républicains les plus acharnés, se battant contre le droit à l'avortement, contre la contraception, contre le mariage gay, pour l'Amérique blanche. Comme quoi, que ce soit chrétiens, musulmans, ou juifs, leur but est de convertir la Terre entière à ce en quoi ils croient. Ils prônent l'Amour de Dieu, la solidarité, l'aide aux pauvres, la morale, etc. Combien de papes ont eu des maîtresses au Moyen Age ; le plus connu étant Alexandre VI Borgia ? Combien de personnes qui se disent fervents intégristes musulmans boivent de l'alcool, « forniquent », tuent ? Combien de juifs orthodoxes haïssent les palestiniens, se comportent aussi violemment que ceux qu'ils dénoncent ?

 

Et si ce n'était que cela !!! Je parlais d'invidualité. Celle-ci, par cette méthode, par cet asservissement contraint ou volontaire, est gommé. Mais, de plus, la richesse de ce qu'est l'Homme, de ce qu'il peut apporter à l'autre parce qu'il est différent de lui, est supprimé. La diversité des opinions, des concepts, des idées, des passions, des connaissances, des réflexions, des personnalités, etc. disparaît. Tout ce qui permet l'échange, le dialogue, la confrontation, l'accord ou le désaccord, l'expérience personnelle, les acquis que l'on peut modeler en fonction de l'endroit où l'on naît, où l'on grandit, où l'on vit ; en fonction de son travail, de sa perception de l'Homme, du monde, de l'Univers, des Savoirs accumulés, des expériences ; tout cela est brisé, détruit, anéanti. Au nom d'une croyance, de textes dogmatiques, d'un Dieu jaloux et exclusif, qui ne tolère pas qu'on s'interroge, qu'on n'approuve pas aveuglément ce qu'il dit, on est envoyé en Enfer pour le reste de l'Eternité.

 

Enfer qui, en passant, est une notion inventée au Moyen-Age pour que les bons Chrétiens d'alors ne soient pas tentés de remettre en cause la toute puissance de l’Église. Si ceux-ci ne se soumettaient pas à elle, ils finiraient en Enfer, stigmatisés, terrorisés qu'ils étaient. Aujourd'hui, les Islamistes emploient la même méthode pour tenter d'obliger les « mécréants » que nous sommes à adhérer à leur vision de l'Islam.

 

Bref, tout cela pour dire que, s'il y a une chose à laquelle je tiens le plus au monde, c'est mon individualité. Je suis en recherche personnelle de spiritualité, oui. C'est un fait. Mais à mon propre rythme, en suivant mon propre chemin, grâce à mes propres expériences, grâce aux multiples rencontres, discussions, dialogues, débats, que j'ai avec des gens issus de milieux, de traditions, de dogmes, de cultures, de savoirs, différents. C'est en réfléchissant par moi-même, en analysant, en lisant, en m'informant, par toutes les sources – et elles sont nombreuses – à ma disposition. S'il y en a qui ont besoin de la religion pour que celle-ci les aide à progresser spirituellement, cela les regarde. S'il y en a qui sont terrorisés, éprouvés, alarmés, tourmentés, à l'idée qu'ils ne peuvent compter sur personne d'autre qu'eux mêmes pour prendre des décisions, pour orienter leur vie dans tel ou tel sens, et qui ont besoin d'une « béquille » pour les rassurer, que Dieu leur vienne en aide, je n'y vois pas d'inconvénient. S'il y a des personnes qui souhaitent s'appuyer sur ce que moi, ou d'autres « intellectuels » leur offrent, pourquoi pas. Si j'écris, c'est aussi pour apporter, modestement, humblement, ma contribution à cette réflexion générale qui est la notre. C'est pour essayer de comprendre, d'évoluer autant moi-même, qu'accompagné de ceux et celles qui ont la même démarche intellectuelle, raisonnée, et spirituelle, que moi.

 

Mais, jamais, o grand jamais, je ne prétendrais détenir « LA Vérité ». Jamais, o grand jamais, je ne prétendrais que ce que je pense, et que ce que je retranscris dans mes textes, doit être pris au pied de la lettre. Restez critique, gardez votre libre arbitre, continuez à chercher par vous même. Prenez ce que vous voulez de ce que moi, d'autres, la religion, les idéologies diverses et variées, vous proposent. Mais, c'est à vous, et à vous seul, d'écrire votre propre « destin » ; c'est à vous, et à vous seul, grâce à tous ces apports, de modéliser votre propre vérité. Personne d'autre...

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