autobiographie, pages 310 à 312 / 312 ; fin provisoire
La dernière jeune femme qui a émaillé cette époque, était « spéciale ». C'est la seule que j'ai connu grâce au magazine acheté dans le sex-shop de Laval. Ce soir-là, j'étais rentré tard chez moi. Ce devait être à l'automne 1997, puisque j'avais entamé mes cours du soir afin d'obtenir un DAEU de Français ; l'équivalent du Bac. Et, dans le cadre de ces études, il me fallait suivre des conférences sur un thème donné. J'avais alors choisi des conférences sur l'histoire de l'Art. L'histoire étant l'un de mes domaines de prédilections, l'Art étant un sujet qui m’intéresse depuis toujours particulièrement, c'était un thèque qui était fait pour moi.
Ce soir-là, je m'étais donc rendu à l'une de ces conférences avec ma mère, car c'était quelque chose qu'elle appréciait aussi. Elle m'avait déposé devant chez moi avant de retourner à son domicile. En costume-cravate, j'avais ouvert ma porte. Machinalement, j'avais regardé si j'avais des messages sur mon répondeur téléphonique. D'habitude, ce n'était pas le cas. Mais, pour une fois, ce soir-là, si. C'est une voix féminine qui a parlé. Elle a dit qu'elle avait eu mon numéro de téléphone grâce au magazine du sex-shop. Elle aimerait beaucoup faire ma connaissance. Pouvais-je la rappeler dès que j'entendrais ce message. Il était aux environs de vingt-trois heures. Je m'imaginais qu'il était trop tard pour ce soir. Or, j'étais sur le point d'éteindre mon répondeur, que le combiné a sonné. C'était de nouveau cette personne. Elle voulait savoir si j'étais revenu, et si elle pouvait venir me rejoindre immédiatement.
Afin de compléter ces mémoires incomplèrtes, que je poursuivrai ultérieurement - lorsque j'en aurai terminé avec mes "Origines idéologiques et Esotériques du Nazisme certainement -, je publie ici dès demain mes "souvenirs fragmentaires" qui reviennent sur un certain nombre d'épisodes de mon existence par mi les plus marquants...
Dominique