Pages supplémentaires :

Comme promis la semaine dernière, j'ai aujourd'hui ajouté deux feuillets supplémentaires de mon manuscrit en cours de rédaction, sur ma page Facebook « les Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme ».

J'en poursuis l'écriture régulièrement, dès que j'ai un peu de temps pour m'y consacrer sereinement, pleinement, avec attention et concentration. Je relis mes notes, les paragraphes que j'ai rédigé précédemment afin d'en retrouver le fil conducteur. Toutes mes pensées, toutes mes connaissances sur ce thème, sont mises à contribution. Or, il faut savoir qu'à coté de moi, des montagnes de documents, de feuillets, d’annotations, de références me renvoyant à des ouvrages que j'ai lu il y a des années dans certains cas, quelques mois ou quelques semaines dans d'autres cas, sont à portée de ma main. Et dès que je le peux, je m'y replonge avec joie. En y mettant toute mon énergie psychique, toute la rigueur dont je fais preuve lorsque je me consacre à de grands textes comme celui-ci. En lisant et relisant, en corrigeant en permanence mes fautes d’inattention, les répétitions éventuelles de mots qui l'alourdissent, en corrigeant les fautes d'orthographe et de grammaire – je suis très vigilant à ce propos. Bref, c'est un travail considérable qui ne progresse que très lentement pour toutes ces raisons.

Sans parler, évidemment, des divers articles, poèmes, textes davantage personnels, que je rédige en parallèle.

Car, je sais qu'il y un certain nombre de personnes qui attendent mes articles sur l'actualité, sur les faits de société, sur la philosophie, sur l'évolution de notre civilisation dans bien des domaines, avec curiosité et intérêt. Et je n'ai pas envie de les décevoir. Je tente donc, chaque jour, d'apporter un peu de ma contribution à l'ensemble de la réflexion générale sur l'ensemble de ces thèmes vitaux afin de comprendre le monde dans lequel nous vivons. Je ne prétends pas être un spécialiste concernant chaque facette de notre humanité que je creuse. Cependant, lorsqu'il y en a qui me sont familières pour les avoir étudiées, disséquées, analysées, pendant près de vingt ans – religions, histoire, mythologies, genèse des civilisations, des religions et des traditions notamment -, je mobilise l'ensemble de mes savoirs, de mes sources, de ce que j'ai appris – et que j'apprends toujours – afin d'apporter une vision différente des choses. Je sais que cette démarche n'est pas comprise ou acceptée par quelques uns ou quelques unes. Je sais aussi que beaucoup de mes lecteurs et de mes lectrices réguliers ou épisodiques apprécient ce que j'en diffuse. Je sais qu'il y en a qui me jugent incompétent, ignorant, partial, etc. vis-à-vis d'aspects particuliers de ce que je relate dans mes écrits.

Peu importe, en fait. Ces joutes verbales qu'ils déclenchent alors, afin d'essayer de m'imposer leur vision du sujet , me distrait et m'amuse. Là où c'est plus fatiguant, c'est lorsqu'ils insistent lourdement alors que je leur réplique par des arguments déterminés a cours de mes recherches et de mes lectures. Lorsqu'ils n'acceptent la contradiction, d'être bousculés dans ce en quoi ils croient, et qu'ils en deviennent, au final, menaçants et injurieux.

C'est à ce moment-là que c'est le plus usant, le plus stressant, le plus désagréable. Surtout que, généralement, ils se manifestent à des moments vraiment inopportuns. Justement, lorsque je suis en pleine phase de rédaction de texte particulièrement ardu ; ou lorsque je suis plongé dans l'écriture de passages difficiles de mon livre sur les origines du Nazisme. A chaque fois en effet, j'essaye de mettre un terme à la discussion en appuyant sur les arguments que je mets en avant. Mais non, la personne vient et revient sans cesse à la charge, jusqu'à l'instant où, contraint et forcé – moyen que je n'aime pas employer -, je suis obligé de la bloquer. Parfois, alors que je n'ai qu'une heure devant moi pour écrire, les personnes de ce genre abusent de mon temps sans vergogne et sans scrupules. Et, à l'arrivée, si je parviens à rédiger deux ou trois ligne, et a m'y plonger une dizaine de minutes, c'est bien le maximum.

En tout état de cause, je poursuis donc la rédaction de mon ouvrage sur les origines idéologiques et ésotériques du Nazisme régulièrement. J'espère que les deux pages supplémentaires que j'ai mises en ligne vous intéresseront. Par ailleurs, je continue à enrichir ma chaîne Youtube de nouveaux documentaires. Vous pouvez les visionner, ils sont à disposition. En attendant, je me remets à l'écriture de textes semblables à ceux que j'apprécie tant de partager avec vous, ici ou ailleurs...