A propos de ce que j'écris, cionquième partie :

Pour terminer, je conseille donc à ceux et celles que les thèmes que j'aborde dans l'un de mes articles, dans l'une de mes nouvelles, dans l'un de mes poèmes, de lire l'ensemble de mon œuvre, afin d'en comprendre, d'en voir, d'en toucher, les multiples aspects. Une fraction non négligeable est disponible à la lecture libre, au téléchargement gratuit, sur le site Atramenta. Il suffit de chercher « Dominique Capo » dans les auteurs de ce site. Éventuellement, ils peuvent me contacter, et je les leur fournirais volontiers. De plus, il est facile de critiquer ou de minimiser le travail des autres – notamment, en ce qui me concerne, celui d'écrivain, de chercheur en Histoire, en Théologie, en Philosophie, etc. -, mais il est plus ardu de consacrer tout son temps, toute son énergie, toutes ses connaissances, toutes ses réflexions, à ce genre de choses.

Chaque jour, je m'emploie à affiner, à creuser davantage, à ouvrir de nouvelles portes, à mener de nouvelles investigations, dans tous ces domaines. Chaque jour, je m'emploie à rédiger des articles inédits, à écrire des récits que j'espère intéressants, voire passionnants. Ils montrent, e tout cas, un fragment de l'homme que je suis. Parfois aussi, j'écris des textes durs, je rouvre d'anciennes cicatrices, je décris des épreuves de mon parcours personnel qui ont fait de moi l'individu qui écrit ces lignes. Parmi les milliers de gens qui lisent quotidiennement, épisodiquement, ou exceptionnellement, ces derniers, je n'en connais qu'une poignée qui ont la même démarche que la mienne.

Bien entendu, chacun est libre dans ce monde. La liberté est une valeur que je défends de toute mon âme au travers de certains des exposés que je publie. Je la défends contre l'obscurantisme – religieux en particulier -, contre l'ignorance, contre la bêtise, contre l'uniformisation, etc. Mais, en même temps, je réprouve ceux et celles qui usent de raccourcis, de soumission aux diktats idéologiques ou religieux dominant ; qui exigent de ceux et de celles qui ne rentrent pas dans le moule, de s'y conformer de gré ou de force.

Dès lors, j'assume le fait que chacun de mes poèmes, que chacune de mes nouvelles, que chacun de mes articles, soit « hors normes » ; qu'ils sortent des sentiers battus. Je suppose d'ailleurs que c'est pour cette raison – mais je me trompe peut-être – que les hommes et les femmes qui me suivent les apprécient. Je suis d'ailleurs heureux de constater qu'ils et elles sont de plus en plus nombreux, et issus d'horizons divers, de contrées variées – que ce soit en France ou ailleurs dans le monde – à y prêter attention. A éprouver du plaisir à s'y plonger, à les commenter, à les partager.

Quant à ceux et celles qui se manifestent à moi après les avoir lu, comme des hérauts de la société bien pensante, comme des pourfendeurs des hérétiques de mon genre, ils ne me font pas peur ; ils ne m’impressionnent pas non plus. Tous ceux et celles qui les ont précédé, et qui ont tenté de me faire plier à leurs idées, à leur vision du monde, de l'univers, et de la place de l'Homme au sein de ceux-ci, s'y sont cassé les dents. J'avoue, au passage au cas ou d'autres essayeraient de m'approcher pour m'y faire adhérer, qu'à chaque fois, j'ai pris un extrême plaisir à débattre avec eux. J'ai pris un plaisir sans égal à démonter leurs thèses, leurs a-priori, leurs certitudes me concernant. Mon approche de ce qu'est la spiritualité n'est pas enchainée à ce que je nomme « le phénomène religieux » et aux dérives dont il est le vecteur ; et dont on constate les dérives quotidiennement. C'est en explorant quotidiennement tous les domaines auxquels j'ai fais allusion plus haut que j'évolue. Cela ne fait pas de moi un homme voué aux flammes de l'Enfer pour autant.

Juste un écrivain, chercheur, philosophe, historien. Juste un homme qui, plus il en apprend, plus il en découvre, plus il se rend compte qu'il en sait bien peu ; et qu'il n'en saura, au terme de son existence, qu'une infime minorité des connaissances dont recèle le monde. Juste un homme qui se considère comme un grain de sable perdu au milieu de milliards d'autres grains de sable dont est constituée l'Humanité. Mais qui poursuit inlassablement, passionnément, cette quête intérieure par le biais de ses écrits ; et qui, maintenant, retourne à la rédaction de son prochain ouvrage au cours d'élaboration : « les Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme » dont il a traité près de 150 pages sur les 500 qu'il doit normalement contenir au final...