Mise au point, cinquième partie :

En fait, lorsqu'un thème – la vie à l'extérieur de notre Système Solaire par exemple – me pose question, j'attends que la science, que les fait avérés et vérifiés, y réponde. Ainsi, nous savons, depuis qu'une sonde s'est posée sur le noyau d'une comète, que ce dernier est composé essentiellement d'eau, et que son noyau détient des fragments de particules essentielles à l'élaboration des premières briques du vivant – je schématise -. Sachant qu'à l'Aube de son histoire, la Terre a été percuté par des comètes et autres astéroïdes, qui ont participé à sa formation. Il est plus que probable que ces fragments de particules essentielles à l'élaboration de des premières briques du vivant se soient déposées sur notre planète. Comme cela a été aussi éventuellement le cas ailleurs dans l'Univers. C'est une théorie que de nombreux scientifiques admettent comme probable aujourd'hui. Nous verrons bien ce que les sondes envoyées sur Mars découvriront – pour la valider ou l'invalider. La science avance à petits pas dans ce domaine, ce qui ne veut pas dire que ce qu'elle n'explique pas doit être comblé par des théories abracadabrantesques. De fait, n'allons pas plus loin que ce que les spécialistes nous dévoilent progressivement.

Et encore, dans tous ces aspects de la recherche – médicale, technologique, cosmologique, énergétique, j'en passe, l'Humanité a fait davantage de progrès au cours du siècle qui vient de s'écouler, que durant tout le reste de l'Histoire de l'Humanité. Certains expliqueront que c'est en mal, avec tous les fléaux dont notre espèce est à l'origine. D'autres souligneront que c'est en bien, avec la régression des maladie, l'allongement de la durée de la vie, la meilleure alimentation, le confort. Peu importe en fait. Comme pour toute avancée, ce n'est pas le matériau qui est en cause, c'est ce que celui qui l'utilise en fait. Comme il n'y a pas de « c'était mieux avant » ; c'était juste « différent », que ce soit au niveau du contexte, de la technologie, du savoir, de la nourriture, de l'hygiène. Juste différent.

Enfin, pour terminer, et pour revenir sur Jack Minier, je voudrais dire ceci : hier, ce monsieur a laissé deux commentaires à propos de mes textes précédents : comme cela arrive parfois, il s'est arrogé en juge sur la longueur de mes écrits.

« Condensez. La longueur de vos articles font fuir les lecteurs. Les pages sur lesquelles vous publiez appellent des commentaires courts. Si vous vous laissez emporter par vos élans, vous allez nous pondre des pavés invendables de mille pages. Relisez-vous pour vous corriger, parce qu'il vous arrive de faire des fautes, d’être trop long ; et c'est manquer de respect à vos lecteurs. Vous ne voudriez pas que ceux-ci pensent que vous leur manquez de respect ? ».

Voilà, en gros, la teneur du message de cet homme à mon encontre. Son jugement.