Conséquences inattendues, première partie :

En effet, tout est parti d'une méprise de cette personne. J'écrivais à propos de l'Egypte antique, lorsque elle, intervenait en commentaire, à propos de la misère de certaines franges de la population égyptienne actuelle. Premièrement, tel n'était pas le sujet de mon article. Donc, ses propos y étaient malvenus. Ils s'y intégraient comme, selon l'expression « des cheveux sur la soupe ». Deuxièmement, il faut vraiment être un ermite pour ne pas être au courant de la pauvreté, de la misère, qui règnent dans ce pays. J'irai d'ailleurs même plus loin : il n'y a pas besoin d'aller en Égypte pour constater les ravages des fléaux que sont l'indigence et la détresse de certaines catégories de population. En France, nous avons aussi nos SDF, nos travailleurs pauvres, nos chômeurs, etc. Et les souffrances, les malheurs, les désespoirs des uns sont aussi terribles que ceux des autres. Hélas, le dénuement, la malnutrition, la peur du lendemain de ces catégories de gens ne connaît pas de frontières.

Moi-même, à une certaine époque de ma vie, heureusement désormais lointaine, j'y ai été exposé. Donc, je n'ai pas de leçon à recevoir de quiconque sur ce thème. Et je m'en suis sorti à force de volonté, au fil des épreuves de la vie. Ces épreuves que, de temps en temps, je décris dans quelques-uns de mes textes les plus personnels que cette personne n'a certainement pas lus.

Car, ce qu'elle ne sait pas, non plus, c'est que les textes que je diffuse sur WeloveWords ne sont qu'une maigre fraction de ceux que j'écris. En fait, j'y publie ceux qui me semblent les pertinents à y être partagés. Sauf ces derniers jours où j'en ai édité davantage que d'habitude, pour les raisons que vous savez. Mais, normalement, je n'en mets qu'un ou deux par semaine ; voire moins. L'immense majorité des exposés, articles, poèmes, traités sur l'actualité, pensées philosophiques, essais historiques, extraits de mon ouvrage en cours de rédaction sur « les Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme », je ne les y intègre pas. Je les communique sur mon « mur » ou sur ma « page » Facebook, au sein des nombreux groupes auxquels je contribue via ce réseau social ; et, enfin, sur mon blog personnel. Des centaines, voire des milliers, de personnes m'y suivent. Ainsi, le dernier extrait avant celui d'hier, de mon livre sur le Nazisme, a reçu plus de 1200 visites en moins de 48 heures. Je considère donc que Facebook ou mon blog aux dizaines de visites quotidiennes ont plus d'impact que ce que je partage sur WeloveWords.

Néanmoins, comme je suis quelqu'un de fidèle dans mes engagements, lorsque j'estime qu'un texte un peu plus approfondi que les autres mérite d'y être diffusé, je m'y emploie volontiers.