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Mes Univers
15 mars 2017

Triste colère :

X3Aujourd'hui, j'avais l'intention de me replonger dans la rédaction de mon ouvrage sur les « Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme ». Mais, une fois encore, les événements en ont décidé autrement.

 

En effet, la journée d'hier a été particulièrement chargée : un de mes contacts Facebook m'a téléphoné, et j'avoue que j'en ai été très heureux. Notre conversation a duré deux heures et demi à peu près. Nous avons abordé beaucoup de thèmes que je dissèque régulièrement dans les articles que je publie de temps en temps ici et ailleurs : la religion, l'histoire, la cosmologie, l'actualité plus ou moins chaude du moment, le devenir de l'Humanité, etc. Des thèmes sur lesquels je m'interroge continuellement. Des thèmes sur lesquels je réfléchis, que j'explore en profondeur aussi souvent que possible. Des thèmes pour lesquels j'essaye, au mieux de mes possibilités et de mes capacités, d'en apprendre toujours davantage.

 

Il y a tant à en dire, tant a creuser, tant à découvrir, tant d'aspects – méconnus ou non – nécessitant attention, réflexion, interrogation. Pour lesquels il est vital que la raison l'emporte sur les émotions. Pour lesquels il est nécessaire que le savoir l'emporte sur les préjugés et les certitudes toutes faites ; faciles et simplistes afin d'expliquer ce dont on n'est pas informé, ce qui nous est inconnu, mystérieux, étranger.

 

Bref, nous aurions pu disserté ainsi durant des heures et des heures encore. C'est une conversation riche, élaborée, passionnante, fascinante, que nous avons partagée. Une conversation telle que je les apprécie ; et que je souhaiterai avoir plus souvent. Ce qui, malheureusement, pour de nombreuses causes, n'est pas le cas. Et croyez bien que je le regrette. C'est d'ailleurs pour cela que j'écris tant – entre autres – sur eux.

 

Ensuite, toute la soirée, j'ai dû faire face à deux autres soucis. Le premier : une femme que je connais depuis un certain temps sur Facebook, et à qui j'ai donné mon pseudo skype, m'a harcelé jusqu’à une heure du matin. Elle ne voulait pas me lâcher, me disant qu'elle était follement amoureuse de moi. Je ne souhaitais pas la froisser. Alors, durant des heures, j'ai tenté de tempérer son exaltation. Elle nous voyait déjà en couple, avoir des enfants, habiter ensemble, etc. Alors que j'ai discuté avec elle un peu plus longuement qu'à l'accoutumée la semaine dernière seulement. Cette situation m'a épuisé, je l'avoue.

 

D'autant qu'en parallèle, j'ai dû gérer une autre difficulté. Une amie que j'ai déjà évoquée, car il s'agit d'une personnalité connue du monde du journalisme – a été harcelée sur son compte Facebook. Elle pensait qu'en devenant encore plus anonyme qu'elle ne l'était, elle échapperait à ces personnes qui prennent pour cible des individus, dès qu'ils ont une certaine renommée. Vous le savez bien, ça m'est déjà arrivé à plusieurs reprises. Et ils ne m'ont jamais intimidé, fait taire. Ce sont des gens à l'esprit étroit, rempli d'à-priori. Ils sont vindicatifs, haineux, méchants, têtus, violents dans leurs mots, blessants, etc.

 

Et cela me fait énormément de peine, me mets autant en colère que m'attriste, de voir qu'on s'en prend à des personnes qui en valent vraiment la peine. Des personnes sensibles, ouvertes, tolérantes, amicales. Car, moi, je sais me défendre, je sais répliquer, je sais réagir, je sais argumenter, avec raison, en usant de mon intelligence, de mes connaissances, pour renvoyer ces venimeux dans l'amas boueux et puants d'où ils ne devraient pas sortir. Mais d'autres ne sont pas forcément armés, préparés, sont démunis, face à de tels comportement inadmissibles.

 

Toute la soirée d'hier, en parallèle à ce que j'ai cité précédemment, j'ai aidé cette personnalité blessée, en larmes, désespérée, ne comprenant pas pourquoi des malintentionnés la prenaient pour cible. Je l'ai rassurée. Je lui ai dit que, de toute façon, quoiqu'il advienne, je serai toujours à ces cotés. Mais mème les modérateurs de Facebook, aujourd'hui, s'en sont mêlés. Comme cette personnalité ne connaît pas tous les procédés pour fabriquer un compte Facebook « sûr », quelle s'est empêtrée, ceux-ci semblent l'avoir bloqué. Ça me surprend, parce que sont compte apparaît toujours. Néanmoins, elle n'a pas de raisons de me mentir.

 

En tout état de cause, à l'instant où j'écris ces lignes, cette personnalité désire baisser les bras en quittant Facebook ou n'importe quel autre réseau social. Face à l'avalanche de violence, de haine, de bêtise, de méchanceté, qu'elle a subi, je la comprends. Heureusement, nous avons trouvé un autre moyen de discuter en message privé hors Facebook. Ainsi, elle pourra retrouver la paix – et moi aussi. Et nous pourrons converser en toute discrétion, dans la sérénité et la joie de partager des dialogues amicaux ensemble, sans craindre d'être observés, soumis à la jalousie, aux poursuites et harcèlements de fanatiques et de sauvages.

 

Cette personnalité est blessée, et en la blessant, c'est aussi moi qu'on a blessé, meurtri. Parce c'est quelqu'un que j'apprécie beaucoup amicalement. Je connais son mari, ses enfants, nous discutons énormément ensemble. Et c'est un coup qui m'atteint en profondeur. C'est pour cela que je me mets progressivement en retrait, même si je continue à publier chaque jour.

 

Malgré tout, les derniers textes que j'ai partagé sont anciens. Rédigés il y a plusieurs mois, voire un ou deux ans, ils viennent de WeloveWords. Je les ai remis en avant dans le but que les lecteurs et lectrices qui me suivent depuis relativement peu de temps puissent en prendre connaissance.

 

Demain, j'écrirai un petit article sur les dernières figurines King and Country que j'ai réceptionnées lundi. Je continuerai, comme toujours, à partager mes textes historiques de « De Deiteus Mythica » ; les pages actuelles se concentre sur la première moitié du VIIIe siècle ; et sur la conquête Arabe de cette époque dans les pages du jour. Aux alentours des pages 730, sur les 1800 dont ils sont constitués. Je les effacerai de mon mur d'ici une semaine environ. Et puis, surtout, je vais concentrer la grande majorité de mon attention sur la rédaction de mon ouvrage sur le Nazisme. A mes yeux, c'est là que se trouve l'essentiel.

 

Je suis affligé, malheureux, blessé, humilié, etc. que l'on s'en prenne à des gens que j'apprécie énormément. Qui sont devenu de véritables amis au fil du temps. Parce qu'ils ne se contentent pas de liens virtuels, de dialogues épisodiques ; parce qu'ils ont su venir vers moi, moi qui ai, d'habitude, tant de mal à aller vers les autres. Qui m'acceptent sans me juger ou me condamner sur qui je suis, sur mon parcours, sur mes différences – physiques ou intellectuelles. Qui se sont ouvert à moi. C'est ce que je cherche dans mes relations avec les gens ; que ce soit dans la réalité ou dans la virtualité. J'ai toujours pensé que la virtualité des amitiés ici engendrées étaient faites pour qu'elles se construisent ensuite au sein de notre réalité.

 

Peu le comprennent, le voient, l'acceptent, et s'y emploient. Tant pis pour eux. Tant mieux pour moi. C'est qu'ils n'en valent pas vraiment la peine. Malgré tout ce que je vois en eux comme possibilités. Malgré ce désir de partager avec eux – et encore plus, avec elles – et qu'ils négligent, qu'ils foulent au pied, la plupart du temps. Cela m'incite encore plus à poursuivre mon grand ménage dans les 1500 contacts et plus qui sont rattachés à mon profil. Y demeurent, y demeureront ceux et celles qui, à mes yeux, en valent la peine parce que le lien que je tisse avec ces personnes n'est pas qu'à sens unique, éphémère, vaguement épisodique, ou « quand je n'ai rien d'autre à faire ».

 

Voilà ce qui m'a essentiellement occupé aujourd'hui aussi ; la continuité de ce que j'ai décris d'hier. Mettre en place de nouveaux chemins, de nouvelles possibilités, afin de m'épanouir grâce à mes écrits, grâce à mes textes, grâce à des relations qui s'ancreront dans l'Internet autant que dans la réalité. Je ne sais pas ce qu'il en sortira. Il est encore trop tôt pour le dire. Mais une chose est sûre : c'est que je me bats, et je me battrais de toute mes forces, avec toute ma volonté, avec toutes les possibilités qui me sont offertes, avec toute les ressources qui sont les miennes, pour, un jour, peut-être, devenir un écrivain:historien reconnu. Non pas pour l'argent, la gloire, la renommée. Mais uniquement parce que ce que j'écris sort du lot. Émerge des montagnes de manuscrits anonymes, d'auteurs à la petite semaine qui voient « l'art d'écrire » comme quelque chose de facile, de simple. Quelque chose que tout le monde peut accomplir sans se fatiguer, sans y passer des heures, des jours, des semaines, des mois, des années… Quelque chose de bâclé, constellé de fautes de français, d'orthographe, de grammaire, de répétitions, de lourdeurs, etc. Et qui s'imaginent déjà, malgré tout, devenir le prochain Guillaume Musso ou le prochain Douglas Kennedy.

 

Ce texte, je l'ai écris d'une traite. Donc, lui aussi est plein de répétitions, de lourdeurs, de fautes, de coquilles, j'en suis conscient. Mais je n'en n'ai cure. Ce n'est pas de la grande littérature. C'est juste ce que je ressens par rapport aux événements que j'ai vécu hier et aujourd'hui. Ce n'est rien comparé aux dizaines de relectures et de rectifications, de corrections, etc. d'un vrai article, d'une nouvelle, d'un exposé tel que mon ouvrage sur le nazisme. Alors, je laisse les critiques a leurs critiques, et les condamnateurs et leurs condamnations. Parce qu'ils le font sans savoir, en se basant que sur des fractions d'informations puisées dans un texte parmi des centaines d'autres divers et variés.

 

Voilà, ce que j'avais à dire, aujourd'hui. Demain, je reprends le cours normal de ma vie...

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