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Mes Univers
7 juillet 2017

Retour aux fondamentaux :

X1Dans la soirée de mercredi, j'ai posté ici mème deux textes : l'un concernait ma conclusion sur ce que j'avais à dire vis-à-vis de mes initiatives envers certaines personnes desquelles je souhaitais me rapprocher amicalement ; au-delà de la virtualité de Facebook et d'Internet plus généralement.

 

Le résultat en a été, pour moi, une profonde détresse, une blessure qui ne cesse encore de saigner, même si elle se referme progressivement. Les répercussions émotionnelles du fait de mon extrême sensibilité sur ce sujet en particulier ont été nombreuses. Je me suis rendu compte qu'il n'y avait qu'un tout petit nombre de gens qui me considèrent ici comme un ami, avec lesquels ils ont le désir d'échanger au-delà de l'écran de l'ordinateur.

 

L'autre texte concernait la poursuite du partage de mes « Brèves Philosophiques » sur mon mur, ainsi que dans un certain nombre de groupes auxquels je contribue souvent.

 

Alors que je dînais et que je regardais un film dans mon salon, Facebook a désactivé mon compte. Je ne m'en suis aperçu que lorsque j'ai effacé le film téléchargé sur la clé USB dont je me sers pour regarder des longs métrages via l'écran de mon téléviseur parfois. Sur le moment, je n'ai pas compris. J'ai cru à un bug, comme il peut en advenir de temps en temps. Pendant deux heures environs, jusque tard dans la soirée, j'ai tout tenté pour réactiver mon compte. En vain, bien entendu. En désespoir de cause, j'ai envoyé une copie de ma carte d'identité aux modérateurs de Facebook, afin que ceux-ci se rendent compte de l'erreur qu'ils avaient commises.

 

J'en ai été effondré, particulièrement blessé, parce que je suppose qu'il s'est agi d'une malveillance à mon encontre. De qui, pourquoi, comment ? Je ne sais pas. Et je ne tiens pas forcément à le savoir. En tout état de cause, quatre ans de travail assidu, journalier, pour publier textes, articles, réflexions personnelles, traité philosophiques, historiques, ou sur l'Actualité, etc. ont été réduits à néant. D'urgence, j'ai dû réactiver en ancien compte fermé par moi depuis 2013. Je me suis inscris à mon groupe « Mon univers personnel », dans l'intention d'y prévenir tous mes contacts que s'ils souhaitaient suivre mes publications, ce serait sur ce compte de « secours ».

 

Heureusement, après une nuit presque blanche du fait de mon état nerveux, de mes angoisses, de mes blessures, de mes peurs, de sentiments de rejets, etc., dès le matin, Facebook a réactivé mon compte. Tout est revenu à la normal.

 

Pour autant, en ce qui me concernait, le mal était fait. Toutes mes initiatives des jours précédents pour oser « aller » en direction de personnes que je désirais apprendre à découvrir et connaître amicalement et humainement s'étant soldées par un échec cuisant, j'en suis arrivé à une conclusion terrible : beaucoup de gens ne comprennent pas pourquoi j'entreprends des initiatives pour aller vers elles au-delà du Net. Et il n'y a pas pire souffrance que celle-ci dans la relation que j'entretiens ici avec certains et certaines. Certes, quelques-un(e)s sortent du lot ; j'en ai donné un exemple qui parle de lui-même dernièrement. Je les conserve donc précieusement, comme des trésors d'humanisme et d'amitié dont le lien que j'ai avec eux – elles – me réchauffe le cœur quotidiennement.

 

C'est pour ces personnes que je serai désormais présent sur Facebook. Quant aux autres, ils, elles, me lisent ou me suivent régulièrement, épisodiquement, libres à elles – ou non – d'enrichir nos relations de la manière qu'elles le désirent. Ma porte est toujours ouverte ; mon – mes – univers, mon contact, etc. Car pour l'avoir expérimenté, je sais que l'on peut croiser ici des personnes formidables, qui en valent la peine, autant que des personnes fermées, repliées sur elles-mêmes, dont le seul but est de demeurer « entre soi ».

 

Dès lors, à partir de maintenant, ceux et celles qui souhaitent dépasser le cadre de Facebook et du Net, l'initiative leur en revient. Pour ma part, je continue de publier quotidiennement mes textes, articles, traités, poèmes, nouvelles, rédigés de ma main depuis plus ou moins récemment : la suite de « mes Brèves Philosophiques », la suite de « De Deiteus Mythica », la suite de « mes Souvenirs Fragmentaires » et de « mes Mémoires » avant que je ne me penche sur ces milliers de pages dans le but de les retravailler. En effet, lorsque j'en aurai terminé avec la rédaction de mon livre – j'en ai déjà écris 175 pages sur les 500, à peu près, qu'il contiendra au final – intitulé « les Origines idéologiques et ésotériques du Nazisme », je m'y attellerai.

 

Or, pour le moment, et jusqu’à ce que je l'ai définitivement conclu, ma priorité est la rédaction de ce livre. Facebook et les souffrances engendrées par tout ce que j'ai relaté dernièrement – plus d'autres aspects plus lointains dans le temps – ont éprouvé la nécessité de m'y consacrer. Ce site a souvent mis mes nerfs à rude épreuve, a été énergivore, chronophage, source d'angoisses et m'a malmené. Pour peu d'avantages si ce n'est ces quelques personnes qui en valent véritablement la peine. Alors, je préfère utiliser désormais mon temps, ma concentration, mon attention, mes recherches, mes connaissances, mes réflexions, etc. afin de mener à terme ce projet qui me tient à cœur. J'ai trop longtemps été accaparé par Facebook afin de contenter des gens qui n'ont que peu conscience du labeur qu'est d'écrire, de « pondre » des articles, des traités, des nouvelles, j'en passe, à longueur de journée. Parfois jusqu’à 10h ou 12h, par jour. Jusqu’à en délaisser parfois ma vie privée, mes autres occupations, importantes ou anecdotiques. Jusqu’à m'en épuiser nerveusement, moralement, psychiquement, intellectuellement. Et puis, constater que tous ces efforts n'ont que peu de retours. Ou que régulièrement, des gens malintentionnés sont uniquement là pour juger, condamner, critiquer, blesser. Alors qu'eux-mêmes n'y mettent pas autant de passion, de temps, d'engagement, dans ce qu'ils publient sur ce réseau social.

 

Je vais donc, je le répète, me concentrer sur l'essentiel. De temps en temps, lorsque nécessité fera loi, je publierai de nouveaux articles sur l'Actualité, sur la Philosophie, comme je le fais. Mais, pour le reste, je me contenterai de mes articles et textes habituels, les contacts qui manifestent un peu plus d’intérêt que cette multitude silencieuse, pour mon travail. Ainsi, en toute quiétude, serein, ayant retrouvé mon équilibre, ma stabilité émotionnelle, je serai tout à mon œuvre littéraire en cours et à venir.

 

Dominique Capo

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