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28 août 2017

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux, pages 877 à 878 / 1803

X1Une fois à l’Hôtel Beaumont, Aicart remet au jour une partie des anciennes Chroniques des comtes de la cité. Il les lit avidement, prend des notes. Il apprend alors que Toulouse a été fondée au VIème siècle avant notre Ere. Ce sont les Ligures – un peuple Celte – qui ont bâti ses premières habitations. Puis, plusieurs siècles plus tard, elle est passé sous l’autorité de la tribu des Volques-Tectosages ; lesquels adoraient alors un dieu Solaire, ainsi que sa parèdre Lunaire, dans les grottes des montagnes pyrénéennes proches. Cette tribu, d’origine asiatique, a en effet importé son culte dans le Sud de l’Europe avec le reste de ses Traditions, quand elle s’y est implantée.

 

Mais ce qui frappe surtout Aicart, c’est que le document indique qu’à l’heure actuelle, le sceau des comtes de Toulouse, est toujours entouré de hiéroglyphes Celtiques du Soleil et de la Lune : « O » et « C ». Il en conclut donc que la Famille de Saint-Gilles, lorsqu’elle est devenue propriétaire du Languedoc, a été patronnée par des personnes établies depuis longtemps dans la région ; et que ces dernières avaient pour emblèmes ces repères astrologiques. Aicart soupçonne que les seigneurs de Vaux en faisaient parti.

 

En 1246, à Toulouse, débute la construction de l’église Romane Saint-Saturnin. A ce moment là, plusieurs Architectes et Maçons – qui sont de la même Confrérie – savent qu’ils l’érigent sur l’emplacement d’un ancien lieu sacré Celtique. Ils savent aussi – grâce à leur confrère Aicart qui a effectué quelques recherches sur le passé de la ville – que ce serait à cet endroit, au fond d’un lac, qu’a été caché au Vème siècle le fameux trésor de Delphes. C’est d’ailleurs pour que leurs autres Frères s’en souviennent qu’ils gravent cette inscription sur plusieurs pierres de l’édifice : « Non est in toto sanctiur arbe lucos » ; ou « Il n’est pas au Monde de lieu plus sacré ». C’est également pour eux qu’ils tracent sur le pourtour du cadran solaire de son clocher : « Vulnerant Ultima Omnes Necat » ; ou « Toutes les heures blessent, la dernière tue ».

 

En 1247, en Camargue, les membres de la secte « les Disciples du Christ » se mettent à construire dans toute la région de nombreuses églises fortifiées. Et ils les établissent toutes selon un plan bien particulier : celui-ci se réfère en effet presque exclusivement aux lois mathématiques issues du Nombre d’Or.

 

Par ailleurs, ces Initiés possèdent quelques livres antiques très précieux. Ce sont d’ailleurs eux qui leur donnent accès aux Connaissances leur permettant de bâtir idéalement leurs temples. Ce sont aussi eux qui expliquent que l’un des Compagnons de Jésus est passé par la Camargue après la mort et la Résurrection du Sauveur, qu’il y a emmené le Graal avec lui, et qu’il y a fondé la Confrérie des Disciples du Christ.

 

La même année, l’Ordre du Temple érige une de ses Commanderies aux alentours du bourg de La Roquebrussanne. En fait, les Frères s’installent dans une ferme située à deux kilomètres au Nord du hameau, et appelée « le Grand Caou ».

 

Et, de leur coté, les Chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem élèvent l’une des leurs à Manosque. Mais, contrairement à toutes les autres qu’ils possèdent déjà un peu partout en Europe, ils sculptent sa clef de voûte aux armes ésotériques de l’Ordre.

 

En 1249, le prince de Monaco décide la construction d’un palais. Il veut l’établir sur les hauteurs de sa ville administrative, au-delà des rues étroites coupées de placettes ombragées. Et en même temps, il désire remplacer l’ancienne église Saint-Nicolas par une cathédrale de pierres blanches.

 

A suivre si ce texte vous intéresse...

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