Brèves Philosophiques, pages 318 à 319 ; Je suis furieux, Seconde partie :

Je l'ai débuté il y a quelques mois – au mois de Novembre dernier, si mes souvenirs sont exacts -, et j'en ai déjà retranscrit un peu plus de 110 pages. Au final, je pense qu'il devrait contenir, au minimum, près de 500 pages.

C'est un travail monumental, exigeant, nécessitant concentration, réflexion, attention, connaissances dans mains domaines pas toujours directement liés au Nazisme – Histoire, philosophie, évolution de la société européenne au cours de ces derniers siècles, religion, etc. C'est à la fois épuisant nerveusement, physiquement, moralement, intellectuellement ; mais aussi exaltant, fascinant, passionnant, riche d'enseignements divers et variés. Chaque jour, je m'emploie plusieurs heures durant à ce labeur – entre trois et quatre -, je m'y consacre avec fièvre et sérieux, consciencieusement, minutie et soin. Bien plus que n'importe quel autre texte que j'ai déjà écris par le passé. Comme si ces derniers avaient été un entraînement afin que je puisse l'accomplir et le mener à terme.

Bref, tout cela pour dire que si je partage mes autres textes par le lien que je diffuse en ce moment par divers biais, c'est parce que je pense qu'ils peuvent apporter quelque chose d'intéressant, d'instructif, aux autres ; qu'ils peuvent leur ouvrir des portes, attiser leur curiosité et leur réflexion. Ce qui n'est pas négligeable, y compris à un degré aussi humble et minime que le mien. Je sais, par les retours que j'en ai, que beaucoup sont intrigués, sont curieux, sont séduits, par les textes que je publie ici et ailleurs.

D'ailleurs, j'ai remarqué que c'est depuis que j'ai commencé à décrire mes « brèves philosophiques » - qui contiennent chacune entre quatre et dix pages – que les gens se sont de plus en plus manifesté à moi. Avant cela, mes contacts étaient limités à environ 300 ; en quelques mois, ils ont bondi à plus de 1100, et à plus de 500 qui suivent mes fils d'actualité. Ceux-ci sont issus de toutes les catégories sociales, de tous les milieux professionnels ou culturels. Ils sont de France bien entendu, mais aussi, pour une bonne part de l'étranger ; et des quatre coins du monde.

Je suis heureux et fier de cette contribution que je peux modestement leur apporter. Au moins, cela prouve que ce que j'écris, que mes réflexions, que les sujets que j'aborde, que les questions que je pose – et les réponse que je tente d'y apporter – ne sont pas inutiles. Un certain nombre d'individus critiquent le fait que mes textes soient trop longs. La quantité de gens qui les lisent, même s'ils ne se manifestent pas systématiquement en y apposant un « like » ou un commentaire, démontre que ceux-ci font erreur.

Cette expérience met en exergue le fait que les gens – y compris sur un réseau social comme Facebook – sont en demande de ce style d'exposé que je leur offre. D'autant qu'il ne fait aucun doute que, si environ 1600 personnes me suivent pour ce que je publie ici, cela veut dire que mes textes voyagent, sont partagés, de loin en loin. Et qu'au final, il y en sans doute bien davantage qui y ont accès. Car, après tout, c'est ainsi et pour cette raison que fonctionne Facebook.

A suivre...