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28 novembre 2017

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux, pages 957 à 958 / 1803

X1A partir d'aujourd'hui, et jusqu'à ce que le harcèlement dont je suis victime de la part de la – ou des – personne(s) qui s'en prend(nent) à moi dès que mes restrictions concernant les groupes Facebook sont levées, je ne diffuse plus qu'à minima. C'est à dire une page de Deiteus Mythica par jour. Essentiellement parce que ma meilleure amie les lit. Et aussi, parce que je sais que quelques autres hommes ou femmes les attendent avec impatience parfois.

 

Je diffuserai sur les murs de ces mêmes groupes les textes concernant les ennuis que j'ai à leur propos, et que j'ai rédigés hier, dès que ces mêmes restrictions seront levées. Ainsi, aussitôt que ma diffusion de ceux-ci déclenchera un blocage éventuel, je saurai d'où vient ce harcèlement, et j'en informerai les régulateurs de Facebook.

 

Un point important : il est vrai que je publie quotidiennement dans les groupes dont le thème est lié aux textes que j'écris. Histoire, actualité, philosophie, mémoires personnelles, handicap, religion, etc. Une fois le matin, une fois le soir. Le matin, à propos de ces thèmes, le soir, de petits textes poétiques écrits sur l'instant, ou plus anciens, c'est selon. Peut-être que certains ou certaines participant(e)s ou administrateurs(trices) de ces groupes estiment que c'est trop, inapproprié, envahissant, sujet à frictions. Peut-être mes textes suscitent t'ils jalousies, réprobations, etc. Je ne sais pas.

 

Dans ce cas là, que ces personnes se manifestent auprès de moi pour me prévenir de ne plus publier, ou plus aussi abondement. Il est vrai que je suis un auteur prolifique. J'écris beaucoup, je publie beaucoup, je partage beaucoup. Est-ce un crime ? Est-ce interdit par Facebook ? Est-ce préjudiciable aux autres participants de ces groupes ? Qu'on me le dise franchement, plutôt que de se cacher derrière l'anonymat d'un écran en prévenant Facebook que mes publications sont trop intrusives ou autre. Je n'ai jamais mangé personne. Je suis raisonnable, compréhensif, ouvert. Et je sais me mettre en retrait quand quelqu'un me dit que je publie trop dans un groupe.

 

Il est vrai, par ailleurs, que depuis une semaine-et-demi environ, j'ai créé une page personnelle afin d'éviter ce genre de tracas. J'en ai, bien entendu – et c'est normal, naturel il me semble – fait la promotion dans les groupes auxquels je participe plus ou moins régulièrement. D'autres le font autant que moi. Il est encore vrai qu'après des débuts timides, cette page a eu un relatif succès. Tout d'abord, près d'une centaine de personnes atteintes chaque jour, avant de passer à 500, 600, ou 700 personnes au quotidien. Un de mes poèmes les plus récents a mème atteint les plus de 2000 personnes atteintes en vingt-quatre heures. Là encore, est-ce un crime ? Ai-je fauté aux yeux de ces détracteurs(trices) systématiques ? Qu'ils ou qu'elles aient le courage de leur opinion, et qu'ils ou qu'elles me le disent en face.

 

En attendant, à mon grand regret, je ne publie rien d'autre. Je me concentre sur mes corrections liées au chapitre en cours de finition de mon ouvrage sir les origines idéologiques et ésotériques du Nazisme. J'en suis navré pour ceux et celles qui me suivent quotidiennement. Néanmoins, si le cœur leur en dit, nombre de mes textes se trouvent également sur mon blog ou d'autres sites. Leurs liens apparaissent sur le coté gauche de mon mur Facebook.

 

Et maintenant, revenons à l'Histoire du XVe siècle en France :

 

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux, pages 957 à 958 / 1803 :

 

En 1444, des bandes armées ravagent la France. Comme leurs prédécesseurs des Grandes Compagnies, les « Ecorcheurs » sont des hommes d’armes mercenaires que l’on a cessé de rémunérer. A leur tète, se trouvent les plus grands capitaines, héros de la guerre : La Hire, Xaintrailles, Grailly, Antoine de Chabannes. Leurs bandes ravagent les campagnes, vivent sur l’habitant, « rôtissant » les paysans pour dénicher leurs maigres trésors.

 

Pour les faire sortir du royaume, Charles VII envoie le Dauphin Louis au secours du roi des Romains, Frédéric III de Hasbourg, aux prises avec les Suisses. Vainqueurs à Saint Jacques, les Ecorcheurs perdent toutefois des milliers d’hommes. Les survivants se jettent alors sur l’Alsace, où ils hivernent ; Louis en profite pour mener sa propre diplomatie et signe un traité avec les Suisses. Puis, les villes de cette région finissent par se débarrasser d’eux, avant que le Dauphin n’emmène de nouveau les rescapés dans une expédition punitive contre Rennes.

 

En 1446, Charles VII décide d’éloigner son fils des affaires de l’Etat en lui confiant le gouvernement de la province du Dauphiné. Il donne ainsi une réalité politique au titre honorifique de Dauphin. Et Louis en profite largement : après avoir chassé l’homme de confiance de son père, Raoul de Gaucourt, il créé un Parlement à Grenoble, développe les foires, fait du Dauphiné une sorte de principauté modèle, un terrain d’expérience où il rode la politique qu’il va appliquer à la France. Enfin, il épouse Charlotte de Savoie, contre la volonté de Charles VII.

 

L’autonomie du Dauphin finit par devenir telle que son père se décide à intervenir et lève des troupes contre Louis. Mais, alors que l’armée royale approche, le Dauphin s’enfuit auprès du duc de Bourgogne, Philippe le Bon, qui l’accueille et l’installe dans son château de Genappe. Charles VII prononce alors ces mots prémonitoires : « Mon cousin de Bourgogne nourrit le renard qui lui mangera ses poules. ».

 

En 1447, Jacques Cœur s’intéresse de près au Grand Œuvre. C’est en effet à cette date qu’il détient un ouvrage très important qui y fait référence : « Recherches sur les Trésors Cachés des Gaulois, nos Ancêtres ». De plus, c’est en s’inspirant des Connaissances Secrètes dissimulées dans son Livre qu’il décide de s’établir dans la cité de Bourges afin d’en faire un Centre Hermétique primordial.

 

Aussitôt arrivé, Jacques Cœur achète l’ancienne abbaye de Plaimpied, au Sud de la ville. Il y découvre bientôt des figures monstrueuses et démoniaques sculptées au sommet de son chœur. Comme prévu, cela confirme ce qu’il soupçonnait déjà : les moines qui ont bâti le monument au XIème siècle savaient qu’ils allaient l’ériger sur un site où les forces telluriques sont extrêmement vivaces. Jacques Cœur désire donc, lui aussi, à son tour, se servir de ces dernières pour effectuer un certain nombre d’expériences Alchimiques inédites et très dangereuses.

 

Plusieurs mois après, Jean Lallemand rejoint Jacques Cœur à l’abbaye de Plaimpied ; Jean Lallemand étant un riche négociant en draps et un ami intime de Jacques Cœur. Les deux hommes intensifient dès lors leurs recherches Esotériques et Occultes.

 

Puis, tout à coup, Jacques Cœur décide de changer d’endroit pour poursuivre ses investigations Magiques. Et il fait bâtir un Palais au centre de Bourges, sur le même modèle que sa Loge Alchimique de Montpellier. Il décrit d’ailleurs minutieusement comment celui-ci doit être érigé.

 

A suivre...

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