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Mes Univers
5 février 2018

Au revoir...

X1Après deux jours de silence, je redonne brièvement de mes nouvelles : j'ai toujours considéré Facebook comme une porte vers l’extérieur ; une formidable opportunité de croiser des personnes que l'on n'aurait pas l'occasion de connaitre au travers de son quotidien, de son travail, de sa famille, de son cercle amical ou de connaissances, habituels. J'y ai toujours cru, de toutes mes forces. Et si, jusqu'à aujourd'hui, je publiais plusieurs fois par jour des textes historiques, philosophiques, sur l'actualité, sur ma vie - avec ses bons et ses mauvais moments ; mais davantage de mauvais que de bons -, c'est dans cette optique.

 
Je suis quelqu'un qui donne énormément - trop me disent certains - aux gens que j'apprécie et que j'aime. Je m'investis totalement, sans retenue, démesurément, dans ce que je fais, et dans les relations que j'ai ; qu'elles soient virtuelles ou réelles. Facebook, contrairement à ce que l'immense majorité imagine, si est un réseau social sur internet, a un immense impact sur certaines personnes ; moi en particulier. Lorsqu'on entre en contact avec quelqu'un, qu'on l'accueille parmi ses "amis" Facebook, on lui ouvre une porte. Ce contact nous ouvre également une porte. Sur ce qu'il ou elle est, sur sa personnalité, sur les multiples aspects de son existence, sur ses rêves, sur ses passions, sur ses espoirs, sur ses projets. Mais aussi, sur ses difficultés, sur ses épreuves, sur ses fragilités, sur ses faiblesses, sur ses drames. Que ce soir les bons ou les mauvais aspects, que ce soit ses forces ou ses faiblesses, ses joies et ses drames, ses défaites ou ses victoires, ses valeurs, ses croyances, etc., ce n'est pas anodin.
 
On ne joue pas avec ça. Ce n'est ni futile, ni anecdotique. Ce n'est pas des liens superficiels, que l'on zappe aussi aisément que l'on passe d'une chaine à l'autre avec sa télécommande de téléviseur. Car, derrière l'écran d'ordinateur, il y a des gens qui ressentent, qui s'ouvrent, qui se dévoilent. Bien plus, souvent, que dans la réalité des relations qu'on a avec les personnes qui nous entourent au quotidien. C'est un engagement, c'est un lien, qui nous unit les uns aux autres de manières diverses et variées. Mais, chacune de ces manière peut parfois avoir conséquences incalculables, déterminantes, qui marquent à tout jamais. Et ceux et celles qui croient que les échanges qu'ils ont avec ceux qu'ils côtoient plus ou moins fugitivement, sur Facebook, se trompent. Pire, ça peut les amener, s'ils n'y prennent pas garde, à dévaster les vies de ceux et de celles qui ont la même vision de ce réseau social que moi.
 
Ils peuvent les détruire, les pousser au désespoir, à la mort éventuellement. Tout cela parce qu'ils ou elles n'ont pas pris en compte l'impact qu'ils avaient sur des personnes comme moi - et je ne suis pas le seul puisque d'autres m'ont confié qu'ils ou elles avaient le même sentiment que moi à ce sujet.
 
Je suis une personne écorchée vive, de blessé, dont certaines cicatrices profondément enfouies en moi ne se sont jamais refermées. J'ai vécu énormément de drames, de souffrances, victime de violences, de moqueries, de rejets, de solitudes, de silences imposés, etc. Je l'ai déjà mentionné dans d'autres textes. Bien plus que la majorité des gens, même si je ne suis pas le plus malheureux du monde non plus, j'en suis pleinement conscient. Au contraire, je ne l'oublie jamais. Cet évidence est présente en moi à chaque instant, y compris durant les périodes les plus sombres de mon existence.
 
Par contre, une chose est sûre, je sais que lorsque j'établis un contact avec une personne sur Facebook - notamment quand je lui tend la main afin de tenter d'établir une relation un peu plus privilégiée qu'avec les autres, que c'est un engagement de ma part à son égard. Et je ne joue pas. J'ouvre ma porte parce que le lien que je tente alors d'établir, je ne le néglige pas, j'y fais attention, empli d'amitié, de bienveillance, d'affection, d'envie de connaitre l'autre, d'être quelqu'un sur qui cette personne peut compter en toutes circonstances. Je serai toujours là pour elle, jour comme nuit, dans le bonheur comme dans le malheur, dans la joie ou la peine, etc. Elle peut compter sur moi, parce qu'alors, je la considère comme une véritable amie dont le lien s'étend au-delà des limites de Facebook.
 
Que l'équivalent, dans ce cas, ne puisse s'établir, me détruit, me déchire, me fait dépérir. C'est un peu comme si cette personne me donnait des coups de poings répétés jusqu’à ce que je m'effondre assommé, évanoui, sonné, dans une mare de sang. Elle contribue alors à me tuer à petits feu, à me faire sombrer dans la folie et le désir de disparaitre de ce monde pour jamais. Parce que, justement, je ressens ceci comme de la violence, du rejet, de la moquerie, comme cela a été tant de fois le cas par le passé. Et parce que ce lien que j'établis via Facebook est aussi vrai, sérieux, engageant, que s'il l'était dans mon environnement familier. Ce dont n'ont pas conscience, apparemment, l'immense majorité de ceux et celles auxquels je tends la main, qui n'y répondent pas, qui sont dès lors silencieux envers moi, qui se détournent de moi, qui voient dans les échanges que nous avons des dialogues éphémères, sans conséquences, que l'on peut zapper à l'envi. Qui voient en tout ceci des relations superficielles, qui ne sont pour eux et pour elles qu'une distraction à laquelle ils ou elles s'adonnent quand ils ou elles ont un peu de temps à perdre.
 
Faux donc, archi-faux. Et en particulier en ce qui me concerne.
 
Par ailleurs, si je publie mes textes - De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux, mes poèmes, mes pensées philosophique, mes articles sur l'Actualité, mes fragments de mes mémoires, ou n'importe quel autre récit abordant plus ou moins en profondeur les thèmes qu'ils relatent -, il y a une raison bien simple à cela. Déjà, c'est pour le plaisir de partager avec autrui, d’où qu'il vienne, quel que soit son statut social, quelle que soit son origine culturelle, géographique, idéologique, religieuse, éducative, etc ; qu'il soit riche ou pauvre, bien portant ou malade, aussi différent ou proche de moi dans ce qu'il ou ce qu'il n'est pas. Cette humanité que j'ai en moi, et qui fait que j'offre ce que j'ai à offrir en tant qu'homme, ouvert, tolérant, et je le conçois - je le dis sans orgueil ou fierté - avec une culture générale importante, des connaissances en de nombreux domaines, très élargies. Je suis un intellectuel - là aussi, ce n'est ni une fierté, ni pompeux, ni orgueilleux, de ma part -, c'est ce que je suis fondamentalement. Mon univers est celui des livres, des interrogations existentielles, sur la religion, sur le devenir de l'Humanité. Sur sa passé, sur ses croyances, et dans bien d'autres domaines que je creuse et explore en permanence. Apprendre, découvrir, et aller plus loin, en écrivant, en partageant avec ceux et celles qui ont le même désir que moi de progresser, d'évoluer, est l'essence même de mon existence. C'est le pilier fondamental. Donc, je partage. Après, chacun en prends ou en retire ce qu'il souhaite, ce qu'il peut, etc. Je ne suis qu'un transmetteur.
 
Il arrive, malheureusement, que l'immense majorité survolent mes textes. Ils n'approfondissent pas - par manque de temps, d'envie, pour tout un tas de raisons que je ne juge pas ou condamne pas ; je constate uniquement -. Cette majorité papillonnante, ensuite, me juge et me condamne pour un texte, pour un morceau de texte, sur lequel ils se sont arrêté, qu'ils ont retenu. En oubliant que ce qu'ils ont lu n'est qu'un fragment infime de la personne que je suis ; que ce fragment infime ne représente qu'un grain de sable comparé à tout ce que j'ai écrit, tout ce que j'écris, tout ce que je partage, tout ce que j'offre. Et ce, dans un but second ; c'est qu'ils ou elles apprennent à me découvrir, à me connaitre davantage. Par parcelles, par petits morceaux, puisque je ne peux et ne veux pas dévoiler l'ensemble de l'être humain que je suis, au travers de quelques pages, dizaines pages, voire centaines de pages. Une vie ne se décrit pas en quelques lignes, textes, etc. J'ai vécu énormément de choses - comme beaucoup sans doute - plus que certains, moins que d'autres. Et si j'écris, si je partage, c'est pour m'ouvrir aux autres, susciter leur curiosité, abattre, dépasser, les barrières qui nous séparent. Et ainsi, se rapprocher humainement et amicalement.
 
Heureusement, parmi toutes ces personnes à qui, au fil des mois, des années, j'ai tendu ou je tends la main, une poignée a réalisé l'importance de ce que je viens de mentionner ci-dessus. Et quand je leur ai demandé si ils ou elles acceptaient que nos contacts dépassent la virtualité de Facebook, elles ont accepté. Chacun ou chacune à sa façon. Par SMS, par téléphone, par Skype, parfois quotidiennement - SMS -, parfois une ois par semaine ou par mois - coups de téléphone ou Skype -. Ils ou elles ont perçu l'engagement sans réserve que je prenais à leur égard, et combien leur contact de cette autre façon pouvait me rendre heureux, pouvait me donner de l'espoir, pouvoir m'apporter force et courage, envie de me battre pour affronter mes tourments et mes épreuves. Et que l'inverse était, est vrai, également. Qu'en s'engageant ainsi vis-à-vis de moi, c'est aussi moi qui m'engage aussi humainement, aussi amicalement, aussi "sérieusement" envers eux ou elles. C'est forcément réciproque.
 
Mais ces personnes se comptent sur le doigt d'une main. Les autres que j'ai tenté, que je tente, d'approcher, malgré tous les efforts déployés pour tenter de les rassurer, de leur faire comprendre l'importance de ma démarche et de mon engagement à leur égard, n'y ont pas répondu, n'y réponds pas. Il faut savoir, en outre, que tenter de percer cette carapace avec laquelle elles se protègent, lorsque j'essaye de leur tendre la main, me coute. Je ne suis pas quelqu'un, naturellement, qui vais vers les gens. En effet, là aussi, a force d'être moqué, repoussé, blessé, humilié, le dernier auquel on pense, quand on n'a rien d'autre a faire, depuis que je suis enfant - lié à mon handicap, à la tache de naissance, et à la maladie, dont je suis le porteur -, je me replie habituellement sur moi-même. Je ne vais jamais au contact des gens.
 
Et si, j'entreprends cette démarche parfois envers certaines personnes, c'est une effort considérable sur moi que j'effectue afin de sortir de moi mème. C'est une souffrance, une terreur, des émotions puissantes qui me traversent alors, sans que je ne puisse les maitriser ou les contrôler. C'est une douleur que ceux et celles que je tente d'approcher ne peuvent mème pas imaginer. C'est d'une violence inouïe émotionnellement. C'est source de larmes parfois. Parce que s'il y a une chose qu'ils ou elles ne comprennent pas, c'est que je ne suis pas là pour m'imposer. C'est que je n'ai aucune autre attente qu'amicale. Je ne suis pas là pour les gêner, pour m’immiscer dans leur vie privée, je ne suis pas là pour les harceler, pour les contraindre. Rien que d'imaginer qu'on puisse croire cela de moi est une intolérable souffrance, terreur - de tout ça a été le cas d'ailleurs. C'est quelque chose qui me torture, me voue aux flammes de l'enfer au quotidien. Et c'en est d'autant plus épuisant physiquement, moralement, psychologiquement. C'est dévastateur au point que parfois, j'ai envie de me jeter par la fenêtre de chez moi, de me tirer une balle dans la tète, quand je songe qu'on pourrait croire que mes intentions ne sont pas honorables, empreintes de respect, de fidélité, de sincérité,
 
Qu'on me croit ou non, peu importe, j'ai ma conscience pour moi, et cette poignée de personnes qui ont accepté ceci peuvent en témoigner - aucune arrière-pensée de nature sentimentale, sexuelle, financière. Je n'en n'attends aucun honneur, aucune distinction, aucun prestige, ou quoique ce soit. Imaginer que ce soit le cas est, non seulement, très mal me connaitre. En plus, c'est petit, minable, inconvenant. C'est aussi éloigné de mes conceptions des relations humaines que possible.
 
Chacun et chacune donne ce qu'il peut, en fonction de ses capacités et de ses possibilités. Chacun et chacune a ses obligations personnelles, familiales, amicales, professionnelles, autre. C'est également le cas pour cette poignée de personnes. Chacun et chacune le fait à sa façon, en fonction de ce qu'il ou elle est, de ce ce qu'il peut, du temps qu'il ou elle peut y consacrer - je parle en dehors de Facebook. Là n'est pas le plus important, à mes yeux. Le plus important, pour moi, c'est que ça se réalise. C'est de trouver un peu d'humanité, d'amitié, de sincérité, de relations honnêtes, vraies, par le biais de Facebook.
 
Car, je le répète, Facebook n'est qu'un moyen de croiser des personnes qu'on n’aurait pas eu l'opportunité de croiser dans la vraie vie. C'est une chance inestimable, sans équivalent. Ne pas souscrire à cette vision de Facebook montre que l'immense majorité de ses utilisateurs ne se contentent que de superficialité. Une chose d'ailleurs. Et là encore, plusieurs de mes contacts amicaux créés ici et ayant désormais dépassé les limites de Facebook en sont de parfaits exemples : le fait qu'on ait une vie bien remplie, des obligations familiales, personnes, professionnelles, des charges, des problèmes, etc. n'est pas une justification pertinente pour refuser cette main tendue quand elle se présente. Plusieurs de mes ami(e)s connus par Facebook et avec j'ai d'étroits liens en dehors, ont des vies compliquées, pleines, des emplois du temps, des professions, des familles, des quotidiens, surchargés. Cela ne les empêche pas d'entretenir, d'enrichir, d'approfondir, les relations amicales qu'ils u elles ont avec moi. Et moi avec elles, parce qu'il ne faut pas croire que ma vie n'est pas suffisamment remplie également. Entre mes activités professionnelles ou personnelles que, là aussi, j'ai a plusieurs reprises décrites dans des articles sur mon quotidien.
 
De fait, après avoir réfléchi à tout ce que j'ai évoqué ci-dessus, j'en ai tiré un certain nombre de conclusions : c'est le cœur lourd, les larmes aux yeux, c'est un véritable déchirement, un renoncement que jamais, un jour, je pensais ne devoir faire. C'est une souffrance, une blessure. Mais c'est contraint et forcé par tout ce que je viens de dire, que je décide donc de m'éloigner de Facebook. Je n'en pars pas. Mon Facebook demeure ouvert. J'y viendrais un peu chaque jour, mais sans publier quoique ce soit. Je ne publierai, en fait, qu'une fois par semaine, désormais. De Deiteus Mythica ou quoique ce soit d'autre en fonction des circonstances et des priorités ou nécessités. Le reste du temps, mon Facebook demeure ouvert. Les gens qui le souhaitent peuvent me contacter en mp. Les gens qui le souhaitent peuvent échanger en mp avec moi, avoir des dialogues, des discussions, etc. De mon coté, si j'approfondis un échange, c'est parce que je désire que cet échange ne soit qu'un premier pas afin de dépasser le cadre de Facebook, amicalement, à long terme. Téléphone, Skype, autre. Si je m'aperçois que la personne me contacte, échange avec moi en mp, juste pour passer le temps parce qu'elle n'a rien d'autre a faire, j'y mettrais rapidement un terme.
 
Ainsi, je pourrais me concentrer avec plus de rigueur, avec plus de temps, avec plus d'attention, avec plus de concentration, à la rédaction de mon livre sur les origines idéologiques et ésotériques du Nazisme. Je pourrais me concentrer avec plus de joie et de bonheur aux personnes qui me font l'honneur de leur amitié en dehors de Facebook. Ce que je considère comme un privilège comparable à nul autre. Car, pour moi, chacun des contacts, des échanges, des dialogues, avec ces personnes, est une source de joie et de bonheur qui illumine mon cœur et mon âme. C'est source d'espoir, ça me donne de la force, une capacité à croire un l'humain, à affronter toutes les épreuves que la vie peut mettre sur ma route. Parce que je sais que ces personnes sont là, présentes dans mon âme et dans mon cœur, autant que je le suis pour elles.Que je ne suis pas, à leurs yeux, là pour combler un moment quand elles ont un peu de temps à perdre. Et pour moi, ça, le ressentir au plus profond de moi, le partager avec elles, approfondir cette humanité, cet échange - même lorsque nous sommes aussi différents les uns des autres que le jour et la nuit - me comble d'un bonheur indescriptible. Quand j'y songe, j'en ai les larmes aux yeux, et je ne les remercierai jamais assez de m'accueillir dans leur vie, parmi les leurs, comme quelqu'un qui vaut la peine qu'ils ou elles dépassent Facebook pour ancrer cette relation amicale dans le réelle. C'est un trésor incommensurable pour moi. Et s'il y a quelque chose qui peut bien me toucher, m'illuminer, me rendre heureux, c'est ça. De fait, je ne peux qu'être la pour eux et elles de la même façon, avec la même intensité, avec le même engagement, qu'ils ou elles ont vis-à-vis de moi.
 
Ce n'est pas de gaieté de cœur que je prends cette décision. Mais la plupart des relations que j'ai entretenu, que j'entretiens, sur Facebook, m'ont fait, me font, trop souffrir. Certains et certaines diront que j'attends trop de Facebook. C'est leur point de vue, je le respecte. Pour autant, comme plusieurs personnes qui partagent ce que je ressens quant aux liens que l'on peut établir via ce réseau social - j'en ai assez discuté avec elle par téléphone, mp ou Skype ces derniers temps -, c'est juste que j'ai une autre vision de ce mode de communication. Ni plus ni moins, et il n'est pas moins respectable ou honorable qu'une autre ; et notamment celle qu'en partage la majorité de ses utilisateurs.
 
Voila, ce que je tenais a vous dire, à tous et à toutes. Je ne disparais pas, donc. Mon Facebook est toujours ouvert. Chacun et chacune y est le ou la bienvenu(e). Chacun et chacune est bienvenu dans mon univers. Mais, pour les relations que je souhaite y entretenir, c'est pour qu'elles soient humaines, et dépassent finalement le cadre de Facebook quand je tends la main a quelqu'un. Sinon, je ne me manifesterai pas a lui ou elle, et je ne répondrai pas à ses sollicitations. Et, dans ce cadre, désormais, je ne publierai plus qu'une fois par semaine, pour toutes les raisons que j'ai longuement évoqué tout le long de ce texte. C'est ma décision.
 
La rédaction de ce texte a été éprouvante, je vous l'assure. Donc, merci d'avoir pris le temps de me lire jusqu'au bout. Et à bientôt...
 
Dominique Capo
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