14 juillet 2020
Mon rève, suite :
...En conséquences, comme cette faveur, comme ce bonheur, ne me sera jamais accordé, je l'enfouis au plus profond de mon âme, de mpn coeur, et de mon corps.
Et pour l'oublier, pour le repousser, afin qu'il me fasse souffrir le moins possible mentalement et charnellement, je l'oublie autant que faire se peut en écrivant. En modelant des univers imaginaires, en matérialisant des histoires, des mythes, des légendes, que seul mon esprit fertile est apte à inventer. Car la réalité de ce monde, de l'Humanité à laquelle j'appartiens mallgré moi, est trop cruelle, trop violente, trop intolérante, trop égoiste, trop dévastatrice, à mon égard...
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