29 mars 2016
autobiographie, pages 72 à 74 / 314
Quand nous revenions de promenade, fatigués et crasseux, nous allions prendre une douche ou un bain. Nous évacuions ainsi la transpiration qui imbibait nos effets maculés de terre ou d'herbages. Ma grand-mère s'en emparait immédiatement pour les jeter...