31 mai 2017
Brèves Philosophiques, pages 60 à 62 ; Migrants, tout ce que nous leur devons, cinquième partie :
Le malheur est qu’aussitôt arrivés, on a logé cette première vague de « Migrants » au sein de cités situées en marge de nos grandes métropoles. On les y a parqués. On les a utilisés comme main d’œuvre bon marché et corvéable à merci. On les a employés...