8 avril 2016
autobiographie, pages 90 à 92 / 314
C'est moi qui les y avaient dispersé. Je dois confesser qu'à l'aube de mon adolescence, mes phéromones commençaient à me chatouiller furieusement. Déjà, un an auparavant, j'étais tombé amoureux pour la première fois de mon existence. Il s'était agi d'une...