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Mes Univers
4 mars 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 260 - 265

temple_baal02Vers 1820 avant J.C., Shamshi Adad Ier, le roi d’Assur, tente d’imposer son autorité aux comptoirs commerciaux qui favorisent leurs relations avec l’Occident. Il parvient bientôt à contrôler Mari. Il nomme son fils Yadulim souverain de la cité de 1813 à 1803 avant J.C. Il s’oppose à la puissance Babylonienne dans la région. Et, de fait, sa tentative d’expansion est sans véritable lendemain.

Car, en 1792 avant J.C., Hammourabi devient le roi de Babylone. Dès lors, celui-ci soumet rapidement les cités du Moyen Euphrate. Entre 1780 et 1765 avant notre Ere, il entretient d’excellentes relations avec le souverain Eblaïte Yarim Lim. En 1757 avant J.C., il fait raser la ville de Mari, tue son monarque et Grand Prêtre Langi Mari.

Ensuite, Hammourabi fait preuve d’un remarquable sens politique : il élimine un à un ses rivaux, semant entre eux la discorde, s’aidant de l’un pour écraser l’autre, l’allié d’un jour devenant la victime du lendemain. Rusé, excellent diplomate, avare en promesses, réticent et préférant engager ses alliés que ses troupes sur le champ de bataille, Hammourabi conquiert donc de larges territoires.

Au cours de son règne, la centralisation est extrême, quoique les villes conservent leur propre administration avec un collège d’Anciens et un maire. Le roi s’occupe de toute l’activité économique du pays, du montant des salaires, du prix des marchandises aussi bien que de la perception des taxes et des impôts, de la surveillance des fonctionnaires, de l’entretien des voies d’eau, des questions de coupe des arbres ou de bornage des champs. Le triomphe politique d’Hammourabi porte à son apogée le puissant mouvement culturel inauguré par Sargon : il fait en effet ériger une gigantesque Bibliothèque conservant des écrits d’avant le Déluge. Les techniques se perfectionnent également, les institutions se développent, ainsi que les mathématiques, la divination, la médecine et la jurisprudence.

Mais c’est avant tout pour son œuvre juridique qu’Hammourabi excelle : son code de lois – en fait un recueil de jurisprudence – est un testament politique destiné à fournir aux princes à venir un modèle de Sagesse ; tel qu’il existait pendant l’Age des Dieux. Les quelques 282 articles regroupent par thèmes des « arrêtés » concernant le vol, le travail agricole, le commerce, la famille, les coups et blessures, l’exercice des diverses professions. A chaque délit, le code assigne aussi un tarif précis selon le rang de la victime.

A travers ces jugements se dégage l’image d’une société avec ses hommes libres – propriétaires fonciers, paysans, artisans, commerçants, fonctionnaires et prêtres -, sa classe inférieure – ses esclaves -. Ces derniers : prisonniers de guerre, enfants vendus, débiteurs insolvables, sont protégés par la loi. Ils peuvent contracter le mariage, même avec une femme libre, exercer un métier, posséder es biens, racheter leur liberté ou être affranchis. La femme apparaît aussi avec son statut juridique : elle peut poursuivre un individu en justice, exercer une profession, assumer des fonctions publiques.

Le code connaît immédiatement une large diffusion : chaque ville importante en possède un exemplaire. Devenu un classique, ce texte est alors rapidement copié dans les écoles par les apprentis scribes. Est alors créée la « Maison des Tablettes », laquelle est conçue et organisée à l’instar d’une cellule familiale, avec le professeur en guise de « père », les élèves en qualité de « fils » et la hiérarchie interne qui distingue les plus experts, les « frères aînés », des débutants, les « frères cadets ». Le premier temps de l’apprentissage de l’écriture, au maniement du vocabulaire et à l’enseignement de la grammaire ; le second est dévolu à la copie, l’imitation et la création littéraire. Croyances sur la nature, les Origines et les Destinées de l’Univers ; hymnes composés à la gloire des Dieux et des Rois ; lamentations décrivant les malheurs du temps ; prières ; fables où s’affrontent des animaux, des hommes, des plantes ; des épopées enfin, sont étudiés avec une extrême attention.

                                    

Vers 1730 avant J.C., Sansouilouna, le fils d’Hammourabi, succède au « Roi des Quatre Terres ». Aussitôt, afin d’y écraser une révolte, il détruit la ville d’Ur. Il doit faire face à l’implantation d’un peuple Hourrite – d’origine Caucasienne – en Haute Mésopotamie. Mais, ce dernier lui tient tète en fondant bientôt un puissant royaume appelé « Mitanni ». Puis, il voit ses rois peu à peu exercer leur loi sur toute la contrée – Assur, Ougarit, Alalah, Mari, Lagash, etc. – sans qu’il ne puisse rien faire pour les en empêcher. Et, finalement, il se rend compte que leur influence s’étend rapidement jusqu’aux confins de la méditerranée, de la syrie et de la palestine.

Vers 1700 avant J.C., Abraham est Initié à la science des Mages de Chaldée, mais aussi aux Rites Solaires et Lunaires de ses Prêtres. Il quitte ensuite sa patrie d’origine. Avec sa famille, il se rend à Harran. Il croise des adorateurs d’El ; lesquels nomment désormais ce dernier « El Elyon » au singulier, et « Elohims » au pluriel.

Vers 1650 avant J.C., le roi Gulkisar règne en maître à Babylone et dans ses contrées alentours. 

Vers 1595 avant notre Ere, un raid Hittite met fin à la 1ère dynastie de Babylone. La ville est pillée, les statues du dieu Mardouk et de sa parèdre Zarpanitum sont emportées. Une longue période de crise s’ouvre, et seuls les barbares Kassites parviennent bientôt à y mettre fin.

De fait, au cours de la domination Kassite, la société babylonienne connaît d’important changements ; tels que l’introduction d’éléments féodaux et l’existence de propriétés foncières provenant de donations royales ; ces dernières étant faites à des fonctionnaires de la cour, à des gouverneurs ou à des officiers. Par ailleurs, l’organisation des provinces, dirigées par des gouverneurs souvent d’origine locale, entraîne une multiplication des gros villages. Tandis que les Kassites servent la grandeur babylonienne en revitalisant aussi bien l’agriculture, le commerce, les techniques que les arts.

Vers 1500 avant J.C., nombre de régions mésopotamiennes sont la proie de Cataclysmes géologiques de grande ampleur. Mais également, de nouvelles terres surgissent brutalement au Sud de la cité d’Uruk ; tandis que d’autres, ailleurs, s’engloutissent au fond de la mer proche.

Par ailleurs, un certain nombre de tribus Aryennes – à l’issue d’une longue migration depuis l’Asie Centrale – s’enracine entre le Tigre et l’Euphrate. Leurs membres y fondent une nouvelle Religion : le « Mazdéisme ». Et ces derniers se mettent à croire que trois Eres Mythiques ont précédé leur époque. De plus, ils attendent désormais la venue d’un Messie ; d’un Annonciateur de la fin des Créatures, et du retour de l’Univers à la lumière Primordiale.

A partir de 1305 avant J.C., le roi Assyrien Shamshi Adad Ier entreprend d’énormes travaux au sein de sa capitale. Il y fait en bâtir un magnifique Temple dédié au dieu protecteur de la cité. Par la même occasion, il s’en proclame son premier représentant sur Terre, mais aussi son Grand Prêtre en se faisant désormais appeler « Shangou ». Il décide d’élever un double Sanctuaire à l’intention du dieu de la lune Sin et du dieu Soleil Shamash ; puis un autre honorant les divinités féminines Ashouritou et Dinitou. Et enfin, à Karana, il rénove le lieu de culte consacré à la déesse Lama.

Mais, après 1274 avant J.C., et jusqu’en 1245 avant notre Ere, c’est Salmanasar Ier qui lui succède. Lui, fonde la cité commerciale de Kalakh. Il est confronté aux ambitions du roi Hittite Hattoulisi Ier et ses tentatives de domination de la syrie du Nord. Il déporte des populations Assyriennes dans la ville frontière de Tell Fray afin de contrer les plans de ce dernier. Et, en 1265 avant J.C., il déclenche un conflit avec les Hittites, avant de raser cette même métropole qui l’empêche de pénétrer plus profondément dans le territoire qui l’entoure.

Vers 1250 avant J.C., le souverain Egyptien Ramsès II et le roi Hittite Hattousili III signent un traité de paix entre leurs deux pays. Puis, afin d’ancrer celui-ci dans la durée, ils marient plusieurs de leurs enfants ensemble ; et ils leur offrent les cités de Balhik et de Habur.

De son coté, à la même époque, Hattoulisi III fait ériger un certain nombre de nécropoles souterraines somptueuses à Gordion, afin de commémorer l’événement. Il incite la ville de Beyccsultan à étendre son territoire ; il l’autorise à considérablement élargir son aire d’implantation. Il ordonne les premiers travaux de réhabilitation de son prestigieux Temple. Il aide Karkemish à devenir un des grands centres commercial de la région. Il déclare Kababa protectrice de l’agglomération en lui érigeant un Sanctuaire. Et, enfin, il donne à Bahalati le titre de divinité souveraine de Tabal. 

Entre 1243 et 1207 avant J.C., Toukoulti Ninourta Ier remplace Salmanasar Ier à la tète de l’Empire Assyrien. Or, en peu de temps, celui-ci se transforme en dictateur et en guerrier impitoyable. Il commence en effet par piller une fois de plus la magnifique métropole de Babylone. Il décide également de faire construire un Temple honorant le dieu du Ciel Anou, puis un autre glorifiant le dieu de l’Orage et des Eléments Ada, au centre de sa capitale.

Le royaume de Hamat connaît une prospérité exceptionnelle sous le règne de Gurhilina, à partir de 1140 avant J.C.

Assurreshishi Ier prend le titre d’Empereur d’Assyrie entre 1126 et 1116 avant J.C. Et il est vite reconnu comme tel dans la plus grande partie de la mésopotamie ; puisqu’en effet, le souverain d’Ourartou Sardouri II, puis celui de Malatya Lali Cou Soudoumeli, se soumettent à son autorité.

Palestine, IIème millénaire avant J.C. :

La palestine correspond à peu près à la façade occidentale de la syrie et du Liban. Il s’agit d’une plaine jouissant d’une situation géographique très favorable. Elle est proche de la mer et bordée de montagnes. Elle bénéficie d’un climat assurant sa richesse agricole ; l’élevage y est prospère. Elle dispose de matières premières importantes, comme le bois et la pierre ; elle les exploite très tôt à des fins commerciales. Les montagnes de l’Est lui assurent une sorte de protection naturelle. Et ces conditions sont doublées d’une position stratégique remarquable : elle se situe au carrefour des routes maritimes, terrestres et fluviales unissant des régions où s’épanouissent déjà de brillantes Civilisations.

Mais, au début du IIème millénaire avant J.C., le territoire est morcelé entre plusieurs Cités-Etats indépendantes, mais qui ont toutes en commun d’être ouvertes sur l’extérieur. Par exemple, Byblos entretient des rapports privilégiés avec l’Egypte, et plus spécialement avec les Pharaons de la 12ème dynastie. Ses princes portent des titres nobiliaires égyptiens, écrivent en hiéroglyphes, et se font enterrer avec les présents qu’ils reçoivent des rois de la vallée du Nil.

Vers 1815 avant notre Ere, la cité d’Ascalon est indépendante depuis un certain temps, malgré les invasions successives qu’a subies la région depuis plusieurs décennies. De son coté, vers 1800 avant J.C., l’agglomération de Balata atteint son apogée. Celle-ci se trouve alors sous la domination des Hyksos ; et ce sont ces derniers qui érigent son Temple le plus impressionnant ; mais aussi, qui élèvent ses monolithes noirs vivement ornementés. Et, enfin, vers 1750 avant notre Ere, débute la construction de Sechem. Des édifices cultuels magnifiques y sont bâtis ; tandis que la ville s’ouvre de plus en plus, non seulement aux influences Egyptiennes, mais aussi Chypriotes. Elle devient dès lors un des traits d’union entre la culture Egéenne et la culture Syro-Mésopotamienne.

A partir de 1650 avant J.C., le Sanctuaire principal de Sechem prend pourtant l’allure d’une véritable forteresse. En effet, peu de temps auparavant, un incendie a ravagé la ville. Les Egyptiens ont reconquis la région, puis ont commencé à chasser les Hyksos de Basse-Egypte. Ils ont reconstruit la cité par dessus les structures qui s’y dévoilaient auparavant. Mais surtout, ils ont transformé le Temple en citadelle inexpugnable.

De leur coté, les Phéniciens s’installent rapidement en Syrie. Ils s’établissent à Jaffa, se mettent à commercer avec les territoires alentours. Vers 1580 avant notre Ere, les Egyptiens poursuivent leur reconquête de leur pays face aux Hyksos ; lesquels se réfugient un moment en Palestine. Les Egyptiens l’envahissent alors et détruisent toutes les agglomérations pouvant leur servir de refuge sur leur passage. Ainsi, Jéricho ou Tell Beil Mirsin sont complètement dévastées ; tandis que d’autres – comme Sechem -, sont relativement épargnées ; et connaissent une transition plus ou moins pacifique.

A partir du milieu du XVIème siècle avant notre Ere – alors que les Pharaons Egyptiens ont retrouvé toute leur indépendance vis à vis des Hyksos -, les échanges entre la palestine et la vallée du Nil s’amplifient. Mais ils se développent également avec les Civilisations Chypriote, Hittite et Mycénienne. Car le monde Palestinien est alors largement convoité par ses voisins. Les Cités-Etats qui y existent deviennent donc, dès lors, des proies que se disputent les grandes puissances, Egyptienne, Hittite et Mitannienne.

Pourtant, ces tentatives de domination étrangère ne font pas oublier l’habilité politique des territoires Palestiniens. En effet, depuis longtemps, ceux-ci savent, mieux que quiconque, jouer des rivalités extérieures pour asseoir leur prospérité. Ainsi, leurs querelles ne sont très fréquentes, et les dangers auxquels ils sont confrontés viennent plutôt des bandes de nomades – les « Hapirou » -, qui sont constituées de débiteurs fuyant leurs créanciers, d’esclaves en fuite, etc. Ces dernières menacent en effet sans cesse les agglomérations, leurs richesses, ainsi que leurs voies de communication. C’est d’ailleurs pour cette raison que certains voyageurs n’hésitent pas à s’en détourner ; mais que d’autres – les prêtres et les diplomates – les empruntent volontiers, afin de faire circuler leurs connaissances et leurs idées.

D’un autre coté, à cette époque, des communautés d’artisans s’installent volontiers au cœur des centres urbains palestiniens, et amplifient ce brassage des peuples et des cultures. Des Chypriotes et des Mycéniens, à la recherche de nouveaux marchés, y viennent travailler. Et, par la même occasion, ils y importent des produits de luxe particulièrement appréciés par une clientèle avide d’exotisme.

La province reste cependant étroitement dépendante de l’agriculture et de l’élevage. En Eté, celle-ci souffre régulièrement de la sécheresse. Elle est bordée de reliefs sur lesquels, la saison des pluies venue, s’accumulent des nuages prometteurs. Mais les précipitations n’y sont pas abondantes. Ce qui n’empêche pas le peuple Palestinien à s’adonner à des activités créatrices et intellectuelles.

Or, c’est à Ougarit que celui-ci est le plus fécond en œuvres artistiques. Il ne faut pas oublier qu’à cette date, Ougarit est ouverte sur la méditerranée. Son port est une plaque tournante pour les échanges ; il reçoit des produits comme du vin, de l’huile, des vases Mycéniens, et de l’ambre en provenance de la baltique, mais transitant d’abord par la grèce. De Chypre, il accueille du cuivre ; ce dernier est traité dans des boutiques artisanales à bout de quai, est transformé en armes ou en chars de guerre, avant d’être envoyé chez les Hittites ou les Egyptiens. Mais Ougarit sert aussi de relais aux caravanes gagnant les rives de l’Euphrate ou les régions Mésopotamiennes auxquelles cette matière première fait défaut.

La prospérité de la ville atteint son apogée en une trentaine d’années. Bientôt, un vaste palais abrite la dynastie régnante. Il protège les archives du royaume. A l’intérieur des demeures privées à étages s’établissent des Temples dédiés à Baal et à Dagon. Des Sanctuaires construits au sommet d’une acropole assimilent Isis l’Egyptienne à Astarté la syrienne  tandis que « l’Alphabet » y est inventé.

Car, le cosmopolitisme d’Ougarit est tel que cinq systèmes d’écriture sont employés. En effet, huit langues – le sumérien, l’akkadien, l’ougaritique, le cypro-minoen, le hittite, l’égyptien et le louvite – sont désormais parlés dans la cité. Il est donc nécessaire de faciliter la retranscription de chaque langage sur des tablettes d’argile destinées aux annales. Il est donc urgent que les scribes conçoivent un nouveau système d’écriture. Or, le leur permet de rédiger les documents en un alphabet unique : le cunéiforme. Ils composent celui-ci de trente lettres capables d’être facilement tracés sur des parchemins et des papyrus. Enthousiasmés par sa simplicité, ils généralisent son utilisation à toutes les bibliothèques qu’ils contrôlent ; à tous les textes diplomatiques, juridiques, administratifs, aux dictionnaires et aux lettres privées. Ils réécrivent leurs récits littéraires, mythologiques, leurs poème, avec. Puis, ils les classent et les rangent dans leurs collections initiales. 

Plusieurs de leurs récits expliquent que Baal, le « Seigneur » et « Maitre », dont la mort et la résurrection sont liés au rythme des saisons, habite sur le mont Sapon. Ils disent également qu’il assure l’ordre du Monde ; qu’il est né peu après le Déluge au cœur d’antiques lieux de culte dédiés à une Race de Géants aujourd’hui disparue. Ils révèlent encore que nombre d’autres Dieux Anciens sont parfois invoqués avec lui pour venir en aide aux hommes : El, le Créateur des Créatures, celui qui est la source des deux fleuves, au confluent des deux océans ; il s’agit d’un guerrier fougueux, colérique, capable de jalouser les autres divinités. Avec lui se trouvent Shahar et Shalim, deux Monstres astraux nés du mariage d’El avec deux femmes. Apparaissent encore à ses cotés, Anat, la déesse de la guerre et de l’Amour, et vivant dans sa résidence d’Imbaba ; ainsi que Môt, le dieu de la mort et de la sécheresse.

Vers 1500 avant J.C., les Phéniciens occupant les rivages de la palestine, sont persuadés que Pount est un archipel disparu. Ils sont convaincus que c’est à cet endroit que leurs ancêtres se sont formés avant leur traversée de la mer Rouge. Et ils croient qu’ils possédaient une peau de couleur argentée.

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