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22 juin 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 745 - 750

espagneEspagne, seconde moitié du VIIIème siècle :

Mais, lorsqu’en 750, les Abbassides éliminent les Omeyyades, un de ces derniers réussit à s’échapper : Abd Al-Rahman Ier se réfugie au Maghreb avant de débarquer en Espagne à la tète d’une petite troupe. Il s’empare de Cordoue en 756, y fonde un émirat, et l’Espagne musulmane le reconnaît comme « émir » - « prince » -. Abd Al-Rahman est ainsi l’initiateur d’une nouvelle dynastie Omeyyade, qui connaît désormais stabilité et longévité.

Si la dynastie est stable, le royaume l’est moins, car il est composé de peuples divers. Il y a d’abord les autochtones, les Espagnols : chrétiens – « les Mozarabes » -, convertis – « Muwallad » ou Juifs séfarades. Et puis, il y a les conquérants, Berbères ou Arabes, qui, moins nombreux, forment l’aristocratie politique et foncière. Enfin, il y a les serfs Noirs et Slaves.

En dépit des dissensions religieuses et politiques, Cordoue connaît un intense rayonnement dans toute l’Andalousie, et bien au-delà. En terre Chrétienne, en menant la guerre sainte – « Jihad » -, au Nord, contre les rois Catholiques ; sur mer, grâce à l’occupation des îles Baléares et à la création du port d’Almeria ; sur la rive Sud, musulmane, grâce à la prise de Ceuta et de Tanger et la fondation d’Oran.

Cordoue rivalise de splendeur avec Bagdad, avec moins de faste mais plus de raffinement. Elle développe l’horticulture et les industries de la soie, du cuivre, du plomb et, surtout, de l’argent et devient célèbre pour la fabrication de ses cuirs, maroquineries – les « cordouans » -, ou « cuirs de Cordoue ». L’Andalousie a aussi ses écoles de pensée, ses philosophes et ses savants.

Parallèlement à la réflexion scientifique et à l’invention de techniques nouvelles se développe un véritable art de vivre dans les palais et les jardins. Les troubadours s’accompagnant du luth font revivre la poésie de l’ancienne Perse et célèbrent le plaisir de vivre et la sensualité. Dans tous les domaines, la tolérance est de règle. On assiste alors à la symbiose exceptionnelle de trois cultures, juive, chrétienne et musulmane qui s’expriment en arabe.

Italie, seconde moitié du VIIIème siècle :

En 751, les Lombards occupent Ravenne, qui a été jusqu’alors la dernière position Byzantine en Italie du Nord.

En 756, après une intervention de Pépin le Bref contre le roi Lombard Astulf, Pépin remet au pape 23 villes de l’exarchat de Ravenne et de la pentapole qui, ajoutés à la région de Rome, forment ainsi l’Etat Pontifical.

Dès lors, Astulf abandonne Ravenne ; ce qui permet au pape de se dégager définitivement de la tutelle politique de Byzance. Et le « cadeau » de Pépin marque un tournant : le lien entre le royaume Franc et la papauté constitue désormais l’un des facteurs primordiaux de l’Occident.

En 769, lors du Concile de Latran, l’élection du pape est retirée aux laïques. Par ailleurs, en 772, en butte aux attaques répétées des Lombards, le pape Adrien Ier se résout à demander l’aide et l’intervention de Charlemagne. Ce dernier, qui est lui même en froid avec Didier, le roi des Lombards – dont il vient de répudier la fille qu’il a épousé quatre ans plus tôt -, se porte au secours du pape et s’empare de Pavie, et met ainsi fin au royaume indépendant des Lombards.   

Parallèlement, en 787, à Milan, est fondée la première maison d’accueil pour les orphelins de guerre.

Royaume Franc, seconde moitié du VIIIème siècle :

La dynastie Mérovingienne, dont les derniers représentants sont appelés « rois fainéants » parce qu’ils sont incapables de gouverner, s’écroule : c’est donc sans peine que Pépin le Bref, après s’être assuré du soutien des grands du royaume, détrône Childéric III, le dernier roi mérovingien, qu’il fait enfermer dans un monastère après l’avoir symboliquement dépouillé de sa longue chevelure ; attribut du pouvoir chez les Francs.

Pépin, dit, « le Bref », est alors élu à Soissons, et reçoit la bénédiction de l’évêque Boniface, délégué du pape. Son sacre confirme l’arrivée au pouvoir d’une nouvelle dynastie. Il vient d’une famille très riche dont la puissance n’a cessé de croître au sein du royaume Franc d’Austrasie, au point que ses membres ont fini par se succéder de père en fils comme maire du palais. Or, désormais, Pépin se retrouve seul au pouvoir. Et il ne se prouve pas de celui-ci en 752 pour reconquérir la septimanie.

Puis, en 754, il rencontre le pape Etienne II à Quierzy, sur l’Aisne, afin de signer un traité par lequel il s’engage à fonder au bénéfice de l’Eglise un Etat qui sera placé sous la souveraineté du pape. Le pape reconnaît en échange la légitimité royale de la dynastie Carolingienne. De plus, les accords prévoient que Pépin le Bref garantit au pape la possession du « Patrimonium Petri » ; ou « territoires de l’Eglise Romaine autour de Rome », et lui concède la propriété de l’ancien exarchat Byzantin de Ravenne. Et, de son coté, le pape confirme le sacre de Pépin, et lui confère, ainsi qu’à ses fils, le titre de « Patricius Romanorum » ; ou « Protecteur de Rome ».

Or, ce rite est, d’une part, emprunté à l’Espagne Wisigothique où les rois sont oints par le métropolitain de Tolède ; tandis que de l’autre, il est issu de l’Ancien Testament. Par l’onction, le roi Franc est, de ce fait, élevé au rang des anciens rois d’Israël et il peut se comparer lui même à David. Choisi directement par Dieu, il est responsable devant Dieu seul et doit, dans son gouvernement, se conformer à la volonté divine : la royauté patrimoniale se transforme donc en ministère sacerdotal.   

Pépin interdit dès lors de choisir à l’avenir un roi en dehors de la famille élue car, désormais, le souverain Franc est « roi par la grâce de Dieu ». Celui qui a pu apparaître comme un usurpateur est l’élu du Dieu des Chrétiens. Mais, pour asseoir son autorité sur des bases solides, il doit pourtant encore briser de vives résistances.

Pépin pacifie son territoire. Il soumet le duc de Bavière, l’Aquitaine et reprend aux Arabes la septimanie. L’ancienne Gaule romaine est enfin rassemblée sous l’autorité du roi des Francs.

Pépin poursuit ensuite la réforme de l’Eglise : il impose la dîme à tous les cultivateurs du royaume pour l’entretien du culte et renforce ses liens avec Rome en adoptant la liturgie romaine. Le roi réforme aussi la monnaie. Pépin s’efforce de rétablir le monopole royal sur la frappe. Ainsi, sur les deniers d’argent, on constate la disparition des noms des monétaires privés qui battaient jusqu'à présent monnaie dans un millier de localités différentes.

Maitre de l’Occident Chrétien, Pépin noue des relations avec le nouveau calife de Bagdad et songe à marier son fils à une princesse grecque. Il meurt à Saint Denis – où il est inhumé -, après avoir partagé son royaume entre ses deux fils, Charles et Carloman.

En 759, Pépin le Bref et ses armées reprennent Narbonne, qui était aux mains des Arabes depuis 719. Mais, en 768, il meurt à Saint-Denis, quelques mois après avoir incorporé le duché d’Aquitaine à son royaume. Et ses deux fils, Charles et Carloman sont sacrés « corégents » : Carloman reçoit la provence, la septimanie, la bourgogne, l’Alsace, l’Alémanie et la moitié de l’Aquitaine ; Charles, lui, reçoit les territoires de l’Ouest et du Nord compris entre les Pyrénées et la thuringe.

Durant les trois années qui suivent, des divisions et des divergences politiques se développent entre les deux frères. Poussé par sa mère, et contre l’avis de son frère et du pape, Charles épouse en 770 une fille du roi Lombard Didier. Ce mariage aggrave le différend entre les deux frères. Mais la mort de Carloman survient avant la rupture définitive entre les deux frères.

De fait, Charlemagne porte une grosse moustache, à la mode des Francs, dont il respecte les traditions. Il mesure 1,92 mètre, a une santé de fer et témoigne d’un robuste appétit. Il est rompu aux exercices sportifs et militaires, et est un excellent nageur. Il admire les arts et parle latin, écoute de la musique, se fait dire pendant les repas des récits historiques, n’étant pas parvenu à apprendre à lire, s’applique à l’étude des langues étrangères et s’initie à la grammaire ou à la rhétorique. Il se montre capable de la plus grande générosité comme de la cruauté la plus extrême.

La tâche du nouveau roi Carolingien est immense : le royaume reste à construire, tant économiquement que politiquement. La légitimité du pouvoir des Carolingiens ne date que du sacre de son père, Pépin le Bref, par le pape. La consolidation du pouvoir Franc, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur des frontières, nécessite plusieurs entreprises diplomatiques et guerrières. Car, le but de Charlemagne est de ressusciter l’Empire Romain d’Occident, de manière à pouvoir rivaliser avec Byzance.

Principale puissance de l’Occident, le pays est aussi le maître et le protecteur de la chrétienté. Il doit résoudre en priorité trois problèmes. D’abord, stopper l’expansion lombarde en Italie : en effet, le royaume lombard jouxte celui des Francs et menace les Etats Pontificaux ; Charles s’engage donc en 774 par le traité de Quierzy, à protéger Rome et le pape ; il s’empare ainsi de Pavie, du Bénévent, et de l’Istrie, puis ceint la couronne de fer du roi Didier, le roi des Lombards, avant de faire proclamer roi d’Italie son fils Pépin. Ensuite, assurer la christianisation des peuplades Germaniques païennes du Nord et de l’Est du royaume, au besoin, par la force : conduite par Widukind, la résistance des Saxons est acharnée, et Charles doit recourir à la terreur pour en venir à bout. Enfin, éliminer les pouvoirs rivaux des ducs hostiles, notamment les Bavarois, et intégrer ces peuplades dans le royaume.   

Toujours au cours de l’année 774, Charlemagne fait entamer la construction d’un somptueux palais à Ingelheim.

Au même moment, les moines de l’abbaye de Saint-Gall attribuent la paternité de chant d’Eglise – appelé « Grégorien » - au pape Grégoire le Grand : il s’agit d’une mélodie de type stéréotypé pour voix d’hommes, mais qui s’adapte au style et au genre des pièces liturgiques dont elle magnifie les textes et en souligne le sens.

De fait, le chant Grégorien est en plein essor. Mais, peu à peu, il subit de telle déformations qu’un réforme s’avère nécessaire ; celle-ci est donc entreprise par les évêques Rémi et Chrodegang. Et une fois établie, un répertoire déterminé, il faut lui donner un nom prestigieux. C’est pour cette raison que celui de Saint-Grégoire est choisi. 

Charles rêve ensuite de délivrer l’Espagne toute entière du pouvoir musulman. Il profite de querelles locales pour franchir les Pyrénées en 778. Mais, au col de Roncevaux, Roland – qui est l’allié de Charles, tombe, attaqué par surprise par les Vascons, alors que son armée revient victorieuse des batailles menées en Espagne contre les Arabes. Puis, après la contre-offensive sarrasine, qui révèle la fragilité des défenses du royaume, Charles crée, au profit de son fils, la marche de Gascogne, renforcée par la conquête de Barcelone, et par celle de Pampelune, capitale de la navarre.

Parallèlement, en 779, Charles rend la dîme – un impôt perçu par l’Eglise – obligatoire. Peu après, il institue les « plaids » généraux qui rassemblent toute la haute aristocratie. Après l’avoir rencontré en Italie, il décide de faire appel à Alcuin pour en faire un de ses principaux collaborateurs en 782. Il charge ce savant religieux Anglo-Saxon – un élève indirect de Bède le Vénérable et d’Egbert – d’organiser l’Ecole du palais d’Aix pour préparer les jeunes aristocrates aux plus hautes fonctions publiques et ecclésiastiques.

Son action consiste surtout à une restauration culturelle par un Enseignement de la grammaire et de l’art de bien parler. Il fait partie de « l’Académie du Palais », un groupe de lettrés de la cour proche du souverain, aux cotés d’intellectuels tels que les Italiens Pierre de Pise, et l’Espagnol Théodulf. Et il fonde à Saint-Martin de Tours une Ecole ecclésiastique qui devient bientôt le foyer de la science Chrétienne.   

En 782 également, Charles annexe la saxe et condamne à mort les Saxons qui refusent le baptême. Mais, peu après, Widukind, leur chef, inflige une défaite aux Francs à Sündtal. Puis, en 783, il exige le serment de fidélité aux habitants de l’Etat Pontifical. 

En 786, Tassilon III, le duc de Bavière, a fait de sa capitale, Ratisbonne, un foyer de culture. En 787, il refuse d’aller à Worms pour rendre hommage à Charles. Celui-ci envahit alors la bavière, dépose Tassilon, qui est relégué à l’abbaye de Jumièges, et annexe le duché. Il faut en revanche à Charles une multitude de campagnes et une politique de terreur pour venir à bout de la saxe. Puis, en 789, Charles promulgue un capitulaire qui décrète la création d’écoles dans chaque évêché, ainsi que le baptême de chaque enfant avant l’âge d’un an.

En 794, Charlemagne doit se préoccuper de relever le niveau intellectuel de son peuple. De fait, la renaissance intellectuelle s’accompagne d’un formidable renouveau dans le Arts, favorisé par l’unité politique de l’Europe, où se rencontrent l’influence de l’Antiquité, transmise par l’Italie et l’Empire Byzantin, et des formules originaires de l’Irlande et de l’Angleterre Anglo-Saxonne. La synthèse de ces éléments donne donc naissance à un Art de cour prestigieux.

La basilique connaît ainsi un regain de prestige avec les décors fastueux de mosaïques. Ce courant gagne bientôt la germanie avec la construction de la basilique de Fulda, la plus grande Basilique érigée jusqu’alors en Occident ; fidèle imitation de Saint-Pierre de Rome. Puis, les chantiers se multiplient entre la seine et le Rhin ; le plus important est celui d’Aix-la-Chapelle, la nouvelle capitale, où est édifiée la chapelle du palais. L’atelier Palatin y prend une importance particulière, notamment dans la production d’enluminures avec le fameux « Evangéliaire de Godescale » - commandé par Charlemagne pour son épouse Hildegarde -, ainsi que ceux de Saint-Riquier ou de Lorsh.

Mais, peu à peu, les influences italiennes sont modifiées par le goût des conquérants Francs. C’est alors une véritable révolution stylistique qui est en train de s’opérer à la cour de Charlemagne, où les miniaturistes Irlandais et les peintres Grecs se côtoient.

Le travail de l’ivoire, ainsi que celui de l’orfèvrerie connaissent le même essor e contribuent à créer d’immenses trésors, signes de puissance. Ces œuvres servent pour la plupart à orner les églises, tel le fabuleux autel d’or visible à San-Ambrogio de Milan. C’est un grand Art Occidental qui voit le jour ; tandis qu’on assiste en même temps à une renaissance de l’urbanisme : les villes font sauter les ceintures de leurs murailles et commencent à faire reconstruire leurs cathédrales. 

En 795, Charles crée une marche au Sud des Pyrénées : la catalogne. En 796, il ordonne le début de la construction de la chapelle de son palais à Aix la chapelle.

En 799, après les Germains, il se tourne vers les peuples d’Europe centrale. La conquête de la bavière le met alors au contact avec des Avars, Asiatiques installés dans la vallée danubienne. Sous les ordres de leur Kagan, ceux-ci pillent l’Europe centrale et amassent leur butin dans le « ring », camp fortifié par neuf enceintes concentriques. Mais les armées franques de Charles s’emparent enfin de celui-ci, et 15 chars à bœufs sont alors nécessaires pour le transport du trésor qui a renfermé.

La même année, Charlemagne est informé d’un fait étrange survenu quelques mois plus tôt à Apte : un de ses vassaux a découvert deux anciennes cryptes sous sa maison. Mais, lorsqu’il les a mis au jour, une lampe s’est soudainement mise à briller à l’intérieur de l’une d’elles ; alors que personne ne semblait s’y être aventuré depuis longtemps.

Le soir de Noël de l’an 800, Charlemagne est couronné Empereur d’Occident par le pape Léon III, à Rome. Or, l’Empereur se montre fort mécontent du déroulement de la cérémonie, les Rites ayant été inversés en faveur du pape. Charlemagne n’abandonne pourtant pas son titre de roi des Francs et de roi des Lombards.

De fait, son royaume s’étend de la mer du Nord à l’Italie, et de l’Atlantique aux Carpates. Une grande partie de l’Occident Chrétien est réunie autour du royaume Franc. La seule administration centrale est transférée à Aix-la-Chapelle, ne suffit plus à un si vaste territoire : l’Empire est donc divisé en comtés administrés au nom de Charlemagne. Les habitants de l’Empire sont soumis à la surveillance des comtes et des ecclésiastiques, solidaires du pouvoir. Les comtes sont eux mêmes contrôlés par une armée de vassaux du roi, les « missi dominici », composée de guerriers redoutables. L’entretien de cette armée est garanti par un gigantesque domaine foncier assurant l’équipement des nouvelles recrues. Ce qui fait que, désormais, Charlemagne n’a qu’une ambition : rivaliser en puissance et en prestige avec l’Empire d’Orient.

En 804, Alcuin, qui est l’un des principaux conseillers de Charlemagne, décède à Sain-Martin de Tours.

En 805, le Kagan se convertit au Christianisme et se reconnaît vassal de Charlemagne. Sur l’Elbe, qu’ils ont atteint après la conquête de la saxe, les Francs se heurtent aux tribus Slaves, regroupées autour de leurs châteaux, et qu’il est difficile de soumettre. Et plusieurs expéditions sont lancées en direction de la bohème, qui accepte la tutelle Franque.

La conquête s’interrompt alors bientôt : il perfectionne désormais le système des Marches – territoires confiés à des « comtes de la marche », ou « marchii », puis « marquis », lesquels administrent ces glacis protecteurs sur les frontières les plus exposées ; Marche d’Espagne au pied des Pyrénées ; Marche des Avars au-delà de l’Enns – la future Autriche - ; mais aussi Marches de Bretagne, de Gothie -.

Dès lors, la puissance Franque est reconnue par tous les souverains, des roitelets de Grande-Bretagne et d’Espagne, du calife de Bagdad à l’Impératrice de Byzance. Dans l’entourage de Charles, on ne cesse de comparer sa grandeur, digne de la rome antique, à la crise de la papauté et à celle de Byzance, où l’Impératrice Irène a usurpé le trône de son fils Constantin VI.

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