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Mes Univers
13 avril 2009

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1375 - 1377

France_moderneEt le lendemain : « Les monuments Egyptiens vont renseigneront mieux que moi. En effet, grâce à ces édifices, vous pouvez reconstituer le Livre entier de l’Histoire de l’Egypte. Les Temples en sont les Lettres ; les Cités en sont les Phrases ; les Obélisques en sont la ponctuation. En outre, vous pouvez facilement vous imaginer que vous ne vous trouvez pas seulement en présence d’un Alphabet, mais également, en face de Formules Magiques très Puissantes. Car, les Symboles qui sont figurés sur leurs parois sont répétés et traduits sous la forme de peintures et de sculptures.   

Vous constaterez, par exemple, que sur dix hommes représentés sur leurs façades, il y en a un Blanc, un Jaune, un Noir ; et que tous les autres sont Rouges. Ceci vous montre alors que l’Egypte est une ancienne colonie de Pount ; ou, quel que soit le nom que vous donniez à cette contrée oubliée.

Un autre exemple concerne les Tutsi. En effet, d’après leurs Récits, ceux-ci sont issus d’une Race de Géants qui habitait autrefois le Congo et les confins de l’Afrique Orientale. Toujours d’après leurs textes, ils ont un rapport avec les fondateurs de la civilisation Egyptienne parce que certains d’entre eux ont quitté les sources du Nil et se sont implantés beaucoup plus au Nord de leur territoire d’origine. D’ailleurs, n’est t’il pas exact que plusieurs Egyptologue de renommée internationale voient en eux les descendants d’Horus ? Et, n’est ce pas lui qui a dominé l’Egypte, après être arrivé d’un archipel disparu dans l’océan Indien ?

Quoi qu’il en soit, les villes d’Egypte d’avant l’avènement de la 1ère dynastie, semblent avoir été gouvernées par des hommes issus de la « Terre Initiale ». Puis, plus tard Memphis a été honorée du titre de « la terre qui se soulève ». Thèbes a été désignée en tant que « Colline de Noun », ou « d’Ile de l’Embrasement ». Il se peut donc que, lorsque l’Atlantide ait été engloutie par les eaux de l’océan, un rameau de sa Civilisation ait essaimé. Celui-ci s’est ensuite scindé en plusieurs groupes : l’un d’eux se dirigeant vers l’Egypte ; et un autre, vers la bretagne et vers l’Irlande. Il se peut également que la tradition de la royauté Solaire se soit régénérée en ces lieux sous des formes nouvelles. Il se peut encore que cette dernière ait été transmise – du moins en partie – à Moïse, puis au peuple Hébreu. Ne découvre t’on pas en effet dans la bible, des passages relatifs à des Anges descendus sur la terre, et à une Race d’Etres Glorieux et Fameux ayant vécu à une époque antédiluvienne ?

Car, il faut souligner que l’importance de l’Egée comme facteur de Civilisation n’est pas le seul. Dès lors, on peut observer la création de ports sur les îles les plus proches de l’Egypte bien avant le IVème millénaire avant J.C. Or, ceux-ci ont été détruits, soit par des invasions, soit par des Cataclysmes. Tel est le cas, par exemple, du port de l’île de Pharos, qui a été submergé par une élévation subite du niveau de la mer au début de l’Age du Bronze. ».

Au mois de Septembre 1890, alors que ses travaux avancent à grands pas, et que ceux de B. Follet ouvrent de nouvelles perspectives à ses hypothèses, le Mythologue F. Caquois demande à un de ses amis Mathématicien – L. Roquet – d’étudier la géographie Sacrée de l’Egypte. Or, voici ce que celui-ci marque au fur et à mesure de ses investigations :

« Trois roues Zodiacales se dessinent en Egypte. La première se situe à Thèbes, la seconde, à Memphis, et la troisième, à Tanis. Toutes trois sont rattachées à un certain nombre de triangles isocèles. Toutes trois englobent des lignes droites ou perpendiculaires joignant un lieu de culte à un autre. Elles sont toujours croisées par des segments qui coïncident avec des tracés Equinoxiaux ou Solsticiaux. Et, les trois rassemblées, elles forment une gigantesque figure que l’on ne peut voir que du Ciel. ». 

Dans la foulée, L. Roquet prend soin d’examiner le Calendrier Egyptien. Alors, il se rend compte qu’il se base sur des révolutions Synodiques : celles de Mars, de Vénus, et de la lune. Et, à sa grande surprise, il s’aperçoit finalement qu’il est identique à ceux du Mexique, de la chaldée, de l’Inde, et de la chine.

L. Roquet se penche ensuite sur le Mystère de la grande Pyramide : « Si, comme l’affirme  F. Caquois, la grande Pyramide n’est pas un tombeau, elle est, soit un cénotaphe, soit la cachette d’un Secret étroitement lié aux Rites Funéraires, soit enfin, un lieu où se rencontrent la mort et la résurrection. C’est, pour tout dire, un site Initiatique. Mais cela ne l’empêche pas d’avoir d’autres usages plus ou moins discernables. Son Symbolisme extérieur et intérieur le démontre. Et, de fait, si son Architecte a calculé ses dimensions, ses volumes, ou ses formes, avec une telle précision, je ne crois pas qu’il l’a fait gratuitement. Je suppose qu’elles ont une fonction précise ; de même que ses salles et ses corridors.

Ainsi par exemple, pour devenir Fils d’Horus, le roi devait s’y rendre, puis, arrivé là, se soumettre à une véritable discipline. Peut-on admettre, sans risque de méconnaître profondément l’âme Egyptienne, que, pour atteindre cet état d’omnipotence, le Souverain ait pu ne pas y subir un certain nombre d’Epreuves Magiques ? Rappelons par ailleurs que la majorité des monarques de cette période passent pour avoir été des personnages forts savants. Les Egyptiens prêtaient aux uns, la rédaction de traités d’Astronomie, de Médecine, de Magie ; aux autres, l’écriture de Livres d’Alchimie. Et il leur était indispensable de comprendre toutes ces choses pour qu’ils puissent se prétendre Divins ; elles leur permettaient en effet de gravir tous les échelons qui menaient à la porte entre les Mondes.

Il faut absolument que nous oubliions ce que nous sommes pour admettre que cette vision du Monde ait pu exister. Il faut que nous perdions de vue que nous sommes des Occidentaux de la fin du XIXème siècle, sous nous voulons savoir ce qu’était un « Fils d’Horus » : il était le détenteur de la puissance Magique Royale. Il était l’Initié aux Mystères de la mort qui était capable de ressusciter. Il faut enfin accepter le fait qu’Osiris n’était qu’un Initié, et, qu’entre le vieux roi qui mourait, et le prince qui rejoignait celui-ci dans le Royaume des Ombres, il n’y avait que l’espace d’une Porte. ». 

A la suite de ces réflexions, L. Roquet commence à déterminer les valeurs arithmétiques et géométriques de la grande Pyramide. Car, selon lui, les Egyptiens y ont vu l’un des moyens pour Pharaon, de rejoindre l’Ame de ses Ancêtres. Peu à peu, L. Roquet évalue donc la hauteur et le périmètre de l’édifice. Il découvre que ceux-ci égalent le rayon et la circonférence d’un cercle ; soit, 2pi. Il remarque que leur représentation chiffrée est conçue de manière à se superposer à l’hémisphère terrestre ; et, pour cela, ils basent leur projection cartographique à partir de quatre figures triangulaires : leur sommet désignant le pole ; et leur périmètre, l’Equateur : « C’est la raison pour laquelle, en multipliant 2pi par la hauteur du monument, on obtient le total de la circonférence de notre planète. Ce dernier est ainsi une image symbolique, à 1/43 200ème du globe. ». L. Roquet a enfin l’impression que la grande Pyramide ressemble beaucoup au Temple de Salomon en ce qui concerne sa méthode d’élaboration, parce que tous deux ont été érigés grâce à des relevés algorithmiques équivalents. Il marque alors :

« Si leurs dimensions et leurs proportions ont des traits communs, il est cependant évident qu’ils n’ont pas été copiés l’un sur l’autre. Il y a application différente d’une même Science ; ce qui implique la possession d’une Clef Mathématique commune, mais également – et cela est proprement angoissant – la préservation de Lois qui conditionne ses moyens d’action. Or, ces principes sont autant rattachés aux Pyramides qu’à l’Arche d’Alliance. Car il ne faut pas oublier que Moïse a gravé ces Lois sur deux Tables, qu’il les a rangé dans le Tabernacle, qu’il l’a transmit à David, puis, à Salomon.

Supposons dès lors que Moïse ait lui même été Initié à un Savoir Mathématique vieux de plusieurs milliers d’années. Supposons, qu’avant lui, Imhotep en a recueilli le fruit. Celui-ci s’est donc perpétué au travers d’autres grands Savants, ou d’autres grands Civilisateurs ; tels, Jésus Christ. Et, s’il existe une part de vérité dans cette hypothèse, n’est t’il pas possible que certains des plus importants penseurs de notre Histoire aient été, eux aussi, les héritiers de ce Savoir ? ».

Et, quelques lignes plus bas : « Je savais déjà que des liens avaient existé entre les Templiers et les Francs-Maçons ; ceux-ci descendaient certainement de ceux-là. Mais, désormais, je voyais ce que j’en étais venu à nommer « la connexion Hébraïque ». En effet, celle-ci replaçait ces liens dans le contexte ancien – et pourtant toujours vivant – d’une Sagesse remontant à l’époque Pharaonique. Je me demandais donc, si, en dehors des Francs-Maçons et des Templiers, il y avait eu d’autres groupes ou d’autres individus dont les œuvres et les idées avaient été très en avance sur leur temps. Je me disais qu’ils avaient pu être Initiés à cette même Tradition. 

Je découvrais finalement qu’il y en avait beaucoup. Par exemple, l’Astronome de la renaissance Copernic, dont la théorie héliocentrique avait ruiné les préjugés médiévaux, et qui avait ouvertement déclaré en être arrivé à sa vision révolutionnaire, par l’Etudes des Ecrits Secrets des Anciens Egyptiens, avait compris les œuvres de leurs Mages. Dans le même ordre d’idées, au XVIIème siècle, Kepler – qui, entre autres, avait raconté un voyage imaginaire sur la lune – avait reconnu qu’en énonçant sa Loi sur les orbites planétaires, il avait seulement volé « leurs vaisseaux dorés » aux Egyptiens. Quant à Isaac Newton, il avait déclaré que les Egyptiens avaient caché des Mystères incompréhensibles au vulgaire sous le voile de Rites Religieux et de Symboles Hiéroglyphiques. Parmi ces Mystères, avait t’il cru, figurait la connaissance que la terre tournait autour du Soleil, et non le contraire. De fait, la grande intelligence et l’immense culture de Newton, lui avaient permis d’associer la physique aux Sciences Modernes. Ses plus grandes découvertes avaient concerné la mécanique, l’Optique, l’Astronomie, et les Mathématiques. Grâce à lui, de grands pas avaient été franchis dans la compréhension de la nature de la lumière. Mais, surtout, on lui avait dû la formulation de la loi de l’Attraction Universelle, qui avait radicalement changé la vision de l’Homme sur son Environnement. Par contre, ce que l’on avait moins su, c’est que ce Scientifique avait passé une partie de sa vie à étudier la littérature Hermétique et l’Alchimie. Ses traités sur le sujet avaient représenté, paraît t’il, plus d’un dixième de sa Bibliothèque personnelle. Et, il avait été littéralement obsédé par l’idée qu’une Sagesse Secrète se dissimulait derrière les Ecritures.       

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