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22 novembre 2009

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1645 - 1647

P_rouPérou, première moitié du XXème siècle :

Leguia, qui dirige le Pérou à partir de 1918, réalise un vaste programme d’aménagement du territoire, en développant réseaux routiers et chemins de fer et en dotant son pays d’écoles et d’établissements sanitaires.

En 1924, James Churchward rencontre William Niven au Pérou juste après que celui-ci ait découvert un ensemble impressionnant de tablettes antiques. Leur écriture lui rappelle celle des documents Nacaals que Churchward a consulté dans sa jeunesse au pied de l’Himalaya. Dès lors, il accompagne un temps Niven dans ses recherches. Il se met à traduire les documents en sa compagnie ; et il se rend compte que leur contenu est très différent de tout ce qui a été trouvé jusque là en Amérique centrale. Ce dernier ressemble plutôt aux informations qu’il a jadis mises au jour. Et, en fait, il lui apparaît que ce sont des éléments inédits relatifs à l’histoire et à la disparition de Mu. Les Tablettes relatent en effet d’autres événements – liés à ceux inscrits sur les documents du monastère dans lequel il a séjourné deux ans – mais s’étant accomplis sur le Continent Sud Américain. Il apprend notamment que son Empire a débuté 200 000 ans avant notre Ere ; et que son apogée date de 75 000 ans avant J.C.

Churchward écrit à ce moment là : « Toutes mes affirmations sont fondées sur la traduction de deux séries de tablettes anciennes. Il y a les tablettes Nacaales découvertes par moi aux Indes de nombreuses années plus tôt ; et par une importante collection de tablettes de pierres – plus de 2500 – retrouvées récemment par William Niven. Ces deux séries de tablettes ont la même origine car chaque série est composée d’extraits d’écriture sacrée, et sont inspirées de Mu. Voici une de mes traductions :

« Ce Continent de Mu s’étendait sur 5000 km du Nord au Sud ; depuis les îles Hawaii qui marquent encore aujourd’hui son extrémité septentrionale, jusqu'à l’île de Pâques et aux Fidji. D’Est en Ouest, il se déployait sur 8000 km. Il était formé de trois terres séparées par d’étroits chenaux. Ce vaste ensemble se présentait comme une immense plaine vallonnée au climat tropical et à la végétation luxuriante. Ce paradis originel était fertile et propice à toutes les cultures.

Des villes importantes regroupaient une population nombreuse évaluée à plus de 60 millions d’habitants. Mu était véritablement le centre de toute Civilisation, et les autres foyers de culture n’étaient que ses colonies. Ses citoyens étaient divisés en dix tribus qui se consacraient essentiellement à l’agriculture, à la navigation et au commerce. Tous adoraient le Soleil et croyaient en l’immortalité de l’âme.

Le peuple dominant était de race blanche ; il avait les yeux sombres et les cheveux noirs. L’hégémonie qu’il exerçait sur les autres peuples – jaunes ou noirs – était des plus bienveillantes : sauvagerie et violence étaient bien sûr bannies de cet Eden enchanteur.

Pourtant, c’est ce magnifique ensemble, porteur de la civilisation la plus ancienne qu’ait connue notre planète, qui fut rayé de la carte du Monde. Cela commença par une série d’éruptions volcaniques et de raz de marées gigantesques ; ils firent de ce vaste Continent la poussière d’archipels que l’on rencontre encore aujourd’hui au cœur de l’immensité du Pacifique. Routes, cités, temples, furent engloutis dans les profondeurs de l’océan. Les rares rescapés, incapables de survivre dans un état de sauvagerie à peu près total, réduits au cannibalisme, disparurent rapidement sans pouvoir s’adapter à de nouvelles conditions de vie par trop différentes à celles que leur avaient garanties pendant des millénaires une Civilisation supérieure. ».

En 1927, l’aviateur Péri survole les cimes Andines. Il s’aventure au dessus du plateau de Nazca. Or, tout à coup, il assiste à un spectacle auquel il ne trouve aucune explication logique. Il aperçoit en effet de gigantesques dessins géométriques ou figures animalières tracés sur le sol au moyen de petits cailloux blanchis ; ceux-ci s’étendent jusqu'à l’horizon. Pétri calcule alors qu’une seule de ces représentations couvre au minimum 370 hectares.

En 1932, Daniel Rozo découvre, ce qui est d’après lui, les témoignages d’une Civilisation de Géants. Il s’agit d’un cirque de roches sculptées et choisies en fonction de leur orientation. D’un coté s’élève en effet une construction cyclopéenne avec un calendrier taillé ; de l’autre, une foule pétrifiée d’hommes et d’animaux. Une tète royale à double face, d’une taille de 25 mètres, est située en son centre. Elle comporte une inscription en damier sur le cou, laquelle est gravée et peinte en noir.

Un peu plus tard, lorsque Daniel Rozo se rend sur les rives du lac Titicaca – le lac le plus haut du monde -, il met au jour un os humain géant. Quand il parle ensuite de sa découverte aux habitants du pays, ceux-ci lui disent que ce sont les restes de l’un es héritiers de « l’Homme-Soleil ». Ils lui disent aussi que ce dernier a été l’ultime résident de la vieille Camana ; cette antique terre qui a jadis disparue sous la mer. 

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