Jeudi 28/11/2019 :

Aujourd'hui, après avoir réglé un certain nombre de détails relevant du quotidien - le plus gros souci que j'avais ces derniers jours vient d'être régularisé -, je me replonge assidument dans la rédaction de mon chapitre sur l'origine de la civilisation sumérienne. Évidemment, d'autres préoccupations liées à tout ce qui relève des affres de la vie de tous les jours m'accaparent. Surtout mon esprit. Néanmoins, j'ai confiance vis-à-vis de leur résolution très prochainement.

De fait, je peux me consacrer désormais entièrement à l'étude de la civilisation mésopotamienne du IVe millénaire avant notre Ère. Mes notes, mes textes "bruts", mes lectures, sur le sujet, sont nombreuses. Je continue avec passion à les réexaminer. J'y consacre en permanence toute mon attention, toute ma rigueur intellectuelle, tout mon savoir. Je corrige sans cesse - parfois mot par mot, phrase par phrase. J’ôte de chaque paragraphe, de chaque page les fautes d'orthographe et de grammaire, de chaque paragraphe ou de chaque page produit. Je contrôle et efface les erreurs, les lourdeurs, les répétitions lexicographiques afin que l'ensemble, finalement, soit le plus agréable à lire.

C'est un travail de titan. Mais c'est autant mon métier que ma passion. Et mon vœu le plus cher est que celui ou celle qui se plonge dans mes textes un jour, soit heureux d'avoir effectué ce voyage au cœur de ce que je désire partager. Mon vœu, c'est qu'il ou elle voit, au travers de ce que je publie, une part de moi-même que nul ne peut deviner en me toisant. Une part qui se situe au-delà des apparences, des jugements, des condamnations, des mises à l'écart, des rejets, dont j'ai si souvent fait l'objet du fait de mon handicap, de ma maladie, de mon insatiable intellectualité . Une part essentielle de la personne que je suis pourtant.

Je retourne donc à Ur, Sumer, Akkad,etc., pour poursuivre cette œuvre littéraire, pour poursuivre mes recherches sur l'Aube de la Civilisation. Comme je m'y emploie depuis 25 ans. Parce qu'elle est un élément fondamental de qui je suis véritablement...

Dominique Capo