21 décembre 2020
J'écris
Oui, vidé pour oublier cette envie, ce désir d'exister aux yeux des autres ; ce désir de partager avec eux cette réalité où je n'ai pas ma place.
Pire, cette réalité qui est la mienne n'est faite que de silence et de solitude, que de sang et de larmes. Cette réalité et qui m'a, depuis toujours, sacrifiée sur l'autel du bonheur des autres....
Alors, j'écris...
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