Aux insignifiants roquets pour qui l'insulte et le dénigrement est la seule réponse qu'ils sont capables de relayer :

Ah ! Que certaines personnes aiment insulter, répandre leur fiel et leur haine, montrer leur étroitesse d'esprit et leur ignorance ! Ah qu'elles aiment les diffuser ici et ailleurs, les brandir comme un étendard dont ils sont fiers, dont ils s'enorgueillissent ! Ah ! qu'elles aiment dénigrer, se moquer, dévoiler leur insignifiance et leur médiocrité, faire montre de grossièreté et de vulgarité, à la moindre occasion. Ah ! qu'elles se plaisent, qu'elles jouissent mème, de s'en prendre à ceux et à celles dont ils abhorrent les écrits parce que ceux-ci ne vont pas dans le sens de leurs idées, de leur vision du monde teintée de médiocrité et d'obscurantisme.

Ces personnes arpentent les réseaux sociaux en quête de ceux et celles qui ne pensent pas comme elles. Ces personnes, assoiffées de sang, les harcèlent, se plaisent à tenter de les rabaisser, de les humilier, ou de les blesser. Par leurs commentaires venimeux, stupides, béotiens, qu'ils se plaisent à critiquer tout et n'importe quoi ; du moment que la tète de celui ou celle qui s'exprime ne leur revient pas. Ces personnes s'en donnent à cœur joie en vérité.

Par contre, ces mêmes personnes ne supportent pas que ceux et celles qu'elles considèrent comme inférieures, qu'elles essayent d'intimider, d'impressionner ou d'effrayer, leur tiennent tète. Elles ne tolèrent pas d'être, à leur tour, la cible de quolibets, de dérision, de dédain. Rire des autres, ok ! mépriser les autres, ok ! avilir les autres, ok ! Mais que ces personnes se retrouvent à la place de celles qu'elles stigmatisent, qu'elles fustigent, ou qu'elles critiquent, là, elles ne sont plus d'accord. Quand ce sont elles qui sont jugées, réprouvées, ou satirisées, elles s'en indignent, leurs propos outranciers sont exacerbés.

Qu'est-ce-que cela montre de ces personnes ? Tout simplement, que ce sont des petites personnes, de dérisoires et fades personnes. Imbues d'elles-mêmes, arc-boutées sur leurs a-priori ou sur leurs propos acerbes, j'aurai presque pitié d'elles. Car leur méchanceté prouve une chose : combien elles sont malheureuses, combien elles sont fables d'esprit, combien elles sont minables, voire ridicules. Ce sont des personnes misérables qui n'ont que cette arme pour s'exprimer, pour exister.

Je suis un homme comme les autres. Quand on m'attaque, je réponds. Et j'appuie là où ça fait mal. Je suis franc, direct, mais aussi intransigeant envers ceux et celles qui se comportent avec suffisance et vulgarité à mon égard. Je suis intraitable avec ceux et celles qui se plaisent à faire montre de médiocrité, qui se plaisent à être des êtres limités, frustres, triviaux. Et qui en sont fiers. Ils sont une insulte à tout ce que je défends ici ou ailleurs.

Que mes articles ne leur plaisent pas c'est une chose. C'est normal, nous ne sommes pas tous et toutes d'accord sur tout. Nous n'avons pas tous et toutes les mêmes parcours, la même éducation, les mêmes passions, les mêmes centres d’intérêts, les mêmes ambitions, les même projets, les mêmes rêves, que sais-je encore. C'est ce qui est à la base de notre diversité, de la richesse des échanges que nous avons les uns avec les autres. Alors, si ce que j'écris ne les intéresse ou ne leur plaît pas, que ces personnes lez zappent ; qu'elles se penchent sur des textes, des photos, des vidéos, à même de leur convenir. Il y a assez de place pour tout le monde ici.

Y a t'il besoin d'insulter, d'attaquer, de maudire, les personnes qui sont différentes de nous, qui expriment leur différence d'opinion, de mode de vie, d'origine, etc. ? Non, évidemment. Vous savez, quand j'aperçois une photo, une vidéo, un texte, avec lesquels je ne suis pas d'accord, qui me heurtent, qui m'indignent, je réponds par un autre article. J'argumente mon propos, je retranscris ce qu'il a suscité chez moi. Ces derniers alimentent ma réflexion sur le sujet qu'ils abordent, et ma façon de répondre à ce qu'ils traitent. Je like, éventuellement ; mais rarement. Je préfère y répondre par écrit.

Chacun sa manière de s'exprimer, je le répète. Mais tenter d'insulter, de dénigrer, de rabaisser, ne mène à rien. L'auteur de cette façon de procéder ne prouve qu'une chose : eh bien, qu'il n'a aucun argument construit, développé, évolué, à opposer. Il n'est capable de répondre que par sa violence verbale, que par son mépris, que par sa haire. Les instincts les plus primaires qui soient, et contre lesquels je m'élève à longueur de texte.

Je ne me considère pas comme plus ou moins intelligent que quiconque. Je ne me considère pas au-dessus ou au-dessous des autres, bien que, souvent, on ait vu en moi un " forcément inférieur" du fait de la maladie de Sturge-Weber, de l'angiome facial, et de l'hémiplégie partielle du coté droit de mon corps, dont je suis atteint. Ces défectuosités, au contraire, sont ma force. Toute ma vie, ils m'ont obligé à me dépasser. Ils m'ont contraint à affronter des difficultés, des épreuves, des obstacles, que je ne souhaiterais pas, y compris à mon pire ennemi si j'en avais. On s'en est souvent pris à moi gratuitement, sans aucune autre raison que de me blesser ou me rejeter.

Peu m'importe, en fait. Car il y a longtemps que j'ai compris que, dans ces cas là, les méprisables, les ignares, les sous-développés, ce sont les personnes qui se permettent ce genre de comportement. Elles croient me blesser, m'humilier, me faire courber l'échine. Elles renforcent ma détermination ) les combattre, à dévoiler à la face du monde leur véritable visage. Elles me font rire également, par leurs attitudes rétrogrades, suffisantes, nombrilistes. J'en ai vu d'autres, j'en verrai d'autres probablement. Ces personnes ne m'impressionnent pas, ne me font pas peur. Je les attends, prêt à répliquer pour leur renvoyer leur petitesse à la face.

Je désire évoluer et non régresser. Or, c'est ce que font ces personnes : régresser. Et en se comportant ainsi, elles ne pourront jamais m'atteindre. Leurs sarcasmes sont tellement insignifiants qu'ils m'amusent, qu'ils me distraient, en fait. Elles ont beau perdurer avec leurs commentaires "à deux balles", elles ne me feront pas taire. Elles auront beau s'épuiser chaque jour, à chacun des textes que je publie, à les inonder de médisances ou d'interprétations oiseuses, ces personnes s'obstinent seulement à se montrer pitoyables.

Pire, elles ne m’empêchent pas et ne m’empêcheront jamais à continuer à dire ce que je pense, à exprimer mes opinions, à défendre mes partis-pris. Je continuerai à les combattre et à appuyer là où ça fait mal pour montrer le niveau de bêtise que ces personnes révèlent parfois. Et si elles assimilent mes combats à un sentiment de supériorité de ma part, j'aurai beau tenter de les convaincre du contraire, ils n'entendront aucun de mes arguments démontrant l’inanité de leur préjugé. Et si elles assimilent ma culture livresque, mon intellectualité, ma curiosité insatiable en maints domaines, à de l'orgueil, voire de l'insolence, grand bien leur fasse. Là aussi, je ne pourrais pas leur faire entendre raison, puisqu'elles sont certaines de leur jugement. Le seul résultat que ces personnes obtiendront de moi, c'est des réparties aussi acerbes que les leurs ; c'est que leurs outrances me feront rire aux éclats.

Sur ce, je les laisse pérorer dans mon dos. Je consulterai leurs commentaires, s'ils en font. J'y répondrai à ma manière. Je continuerai à écrire des articles sur des sujets qui me tiennent à cœur. Je continuerai à argumenter, à raisonner, à réfléchir, à analyser, et à tirer des enseignements personnels que je répercuterai au sein de ces derniers. Car, me taire voudrait dire qu'ils ont réussi à me faire plier. Et ça, comme pour tout ce que j'incarne par ma différence, jamais je ne leur ferai ce plaisir. Au contraire, ils m'inciteront à persévérer sur cette voie, je vous le dis...