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Mes Univers
1 août 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 860 - 865

chinePar ailleurs, dès 1130, les progrès de l’imprimerie par procédé xylographique contribuent à la diffusion du savoir et à l’augmentation de la population alphabétisée. L’avance de la chine du Sud est considérable. Les impressions peuvent atteindre 1500 exemplaires par tirage, à partir de blocs de bois gravés. Les textes sont de toutes nature – traités de sciences naturelles et d’agronomie, de physique, de mathématiques ; recueils de poésie -, et beaucoup rejoignent la bibliothèque Impériale et les collections des notables. Des journaux officiels et privés circulent dans les grands centres urbains ; des plaquettes destinées à diffuser les moyens de diagnostic et de thérapie ainsi que des planches imprimées représentant les 657 points d’acupuncture sont distribués gratuitement par les services officiels dans les préfectures.

En 1137, l’Empereur Song Yao souhaite ériger une Nécropole Dynastique à proximité de Shanghai. Il demande donc à ses Architectes de trouver un site adéquat. Ensuite, il leur ordonne d’y élever un Pilier, avec, sur les parois de celui-ci, une Carte représentant le Monde tel qu’il était autrefois, des Informations Scientifiques extrêmement précises, les Longitudes et les Latitudes des Continents qui apparaissaient à la surface des flots il y a des dizaines de milliers d’années. Mais surtout, il exige que sur l’une de ses faces, soit écrit : « Lorsque le Kis qui précéda notre Epoque arriva à son terme, un jour durait dix jours. De fait, il y eut de sérieuses perturbations dans le mouvement des Etoiles, ainsi que dans le cheminement de notre Planète. ».

Ensuite, tout autour du Monolithe, il fait installer des Statuettes Funéraires représentant les 380 plus hauts dignitaires de l’Etat. Il réclame que certaines de ces Figurines portent des épées, des lances, des hallebardes, ou des haches. Il insiste pour que certaines autres possèdent des éventails, des dais, des tambours, et divers instruments de musique. Il exprime le souhait qu’elles soient accompagnées de deux chars, tiré chacun par quatre chevaux. Il prie pour qu’à leurs cotés soient déposés un échiquier, ses pièces, des peintures, des rouleaux calligraphiés, des pinceaux à écrire, des encriers, du papier, et des vases en or, en argent et bronze. Et, enfin, il recommande qu’y soient exposés 300 Livres rédigés sous la dynastie Yuan, et un bas relief montrant des hibiscus fleuris et des papillons. 

Une fois la construction de son Tombeau achevée, et ces objets déposés, Yao demande à une Société Secrète à laquelle il appartient, « les Triades », de veiller sur son Sépulcre. Dès lors, il fait en sorte que chacun des Initiés rattaché à celle-ci, contribue à son entretien. Au cours d’un Rituel, il recueille leur argent. Puis, il utilise ce pécule afin de se faire tailler un costume Sacramental sur mesure, pour aider la chapelle où ils vivent à fonctionner, et pour les Instruire des Rituels à organiser lors de la cérémonie qui le conduira jusqu'à sa Demeure d’Eternité.    

Asie du Sud-Est, XIIème siècle :

En 1113, alors que l’Empire Khmer est en proie à de nombreux troubles depuis les années 1080, les Chams Vietnamiens franchissent soudainement ses frontières. De fait, au bout de quelques mois, le Pouvoir vacille, avant de passer aux mains de Suryavarman II. Peu après, il décide de faire bâtir une nouvelle Cité au cœur de l’unique zone Angkorienne encore épargnée. Il demande à ce que celle-ci soit appelée « Angkor Vat » - ou, « Capitale Temple ». Il surveille régulièrement l’avancée des travaux au fur et à mesure que ceux-ci progressent. Il voit dès lors peu à peu son Sanctuaire s’élever au sommet de trois terrasses. Il suit l’érection des tours d’angle destinées à l’accompagner. Il surveille l’édification du donjon central haut de 65 mètres qui les domine. Tout autour de ce dernier, il demande à ce que soient sculptées 540 Statues évoquant la procession des Equinoxes. Il souligne le fait qu’il désire qu’un certain nombre d’entre elles montrent le brassage qui a existé à l’Aube des Ages au sein de l’Océan Perpétuel. Il appuie le projet d’édification d’un Sanctuaire constitué de 72 Stupas à quelques dizaines de mètres d’elles. Il s’y interesse de près quand il apprend que ses ingénieurs sont sur le point d’y bâtir leur premier Autel. Un mois plus tard, il y préside une Cérémonie afin de lui donner un Titre : « Kal Purush » - ce qui signifie, « le Temps Hommes » - ; puis, pour associer le lieu à la constellation d’Orion. Il y revient plusieurs mois après pour y diriger une Procession inaugurant un second Pyrée, qu’il appelle aussitôt « Agnicayana » - ou, « Table au Feu ». Et, enfin, il y retourne une troisième fois, dans le but de contempler les immenses bas-reliefs composés de 10 800 briques les entourant, et matérialisant le Mahabharata et le Ramayana.   

En 1115, au Royaume de Liao, les Khitans sont vaincus une première fois par des tribus du Nord de la mandchourie nommées « Djurtchets ». Leur chef, Akouta, prend le titre d’Empereur et donne à son pays le nom de « Jin » - « or » en chinois -. Et en 1126, les Djurtchets prennent la capitale chinoise et obligent les Song à se replier au Sud du fleuve Bleu.

Vers 1150, quand le Monarque Khmer Suruavarman II décède, celui-ci vient de subir plusieurs défaites militaires. Dès lors, lorsque son fils Dharanindravarman II accède au trône, celui-ci se rend très vite que son Empire est très faible. Il ne peut pas empêcher ce dernier de vaciller sous la poussée d’envahisseurs Chams. Il s’aperçoit que ses sujets les plus pauvres sont en train de se convertir en masse au Bouddhisme véhiculé par les Chams, et qu’ils sont de plus en plus nombreux à renier la religion de leurs Ancêtres. En 1177, il est obligé d’abdiquer et de s’enfuir. Et, en 1181, c’est le plus charismatique des chefs de tribus Chams qui s’empare d’Angkor, qui s’octroie le titre d’Empereur Khmer, et qui prend le nom de « Jayavarman VII ».

Jayavarman VII commence par faire construire une troisième Angkor, consacrée au Bouddha. Il y fonde des Hôpitaux, des Monastères, ou des Bibliothèques. Il y fait creuser des canaux d’irrigation, des bassins hydrauliques. Dans l’ancienne Angkor, il rénove le Temple Montagne, et lui donne l’aspect d’un damier géant. Il bâtit d’innombrables Monuments Bouddhiques : il y érige, entre autres, un Sanctuaire vénérant « Lokesvara » - ce qui signifie, « le Bodhisattva de la miséricorde », ou « le Seigneur d’Avalokitésvara ». Tout autour d’eux, il édifie des tours dont les murs sont ornés de sculptures montrant les quatre visages de ce dernier. Et, il les environne de chapelles à balustrades aux parois sculptées de Représentations Célestes et Infernales. Et, finalement, après avoir terminé tous ces travaux, il part à la reconquête du Sud-Est Asiatique. 

D’un autre coté, comme ses épouses Jayarajadevi et Indradevi, du Bouddhisme du Grand Véhicule, Jayavarman VII s’attache de fait à promouvoir sa foi. Il fait construire des temples, cent deux hôpitaux placés sous le signe du Bouddha guérisseur et de nombreuses auberges pour les pèlerins. En outre, en fondant la troisième cité d’Angkor, il la consacre entièrement au Bouddha. Le temple central, le Bayon, porte deux cents visages souriants qui témoignent, aux quatre points cardinaux, de la puissance du Bouddha-roi.

Après sa mort, c’est un dévot qui remplace Jayavarman II à la tète de l’Empire Khmer. En effet, celui-ci se soumet aux Rites Brahmaniques avec dévotion. Il se métamorphose progressivement en Mystique ayant la volonté d’entrer en contact avec l’Harmonie Universelle. De fait, il exige que son Peuple s’adonne à la pratique la plus austère du Bouddhisme. Il l’oblige à abandonner l’entretien des canaux et de la forêt alentours. Et, finalement, il l’épuise lors de la restauration d’innombrables Monuments.

En 1185, Gengis Khan et ses troupes conquièrent la péninsule Coréenne. Le Monarque Mongol met dès lors la classe dirigeante du Royaume de Koryo sous tutelle. Et, très vite, ceux-ci sont obligés d’accepter sa Culture et la forme de Société qu’il représente.

Car, Gengis Khan y apporte – entre autres - de nouvelles Techniques Agricoles. Il y introduit également la cueillette du coton. Parallélement, il y proclame un certain nombre de Lois influencées par le Confucianisme. Il s’arrange pour que les Aristocrates issus de sa Cour dominent la vie Etatique Coréenne. Il y rappelle que le Bouddhisme doit continuer à y ètre considérée comme une Religion Fédératrice. Et, il y encourage les Monastères qui réussissent à conserver leur rôle, non seulement Religieux, mais aussi Social et Artistique.    

Japon, XIIème siècle :

A partir de 1123 commencent des luttes violentes entre les clans rivaux des Taira et des Minamoto. Ces derniers se sont fait remarquer dès la fin du siècle précédent en combattant des chefs rebelles à l’Empereur, se forgeant ainsi une réputation de protecteurs du trône. Les Taira, eux, contrôlent les provinces occidentales et occupent de nombreuses fonctions officielles. Ils sont aussi habiles au combat sur mer que les Minamoto sur terre. Les deux lignées s’affrontent à trois reprises. En 1156, les Minamoto essaient une première fois de prendre le pouvoir. La tentative échoue : le chef du clan Minamoto, Tameyoshi, est condamné à mort, en revanche, Kiomori, chef des Taira, monte en grade. Puis, en 1160, les Minamoto conspirent à nouveau : « c’est le soulèvement de Heiji ». Autre échec des rebelles, il se termine par la fuite tragique des vaincus sous la neige et par la décapitation en place publique de leur meneur. Enfin, en 1180, Yorimasa, un chef Minamoto, appelle tout le clan à la lutte contre les Taira. Cette révolte n’a pas plus de succès que les deux précédentes. Au fur et à mesure que se déroulent ces événements, le clan Taira ne cesse de prendre de l’importance. A sa tète, Kyomori exerce une régence de fait mais se montre trop ambitieux, provoquant les moines, ne respectant pas le pouvoir, même symbolique, de l’Empereur. En réalité, il se conduit en véritable dictateur, imposant, entre autres, à la cour de changer de capitale. Sa mort, en 1181, amorce le déclin des Taira. L’Empereur et la puissante famille des Fujiwara font appel aux Minamoto pour les contrer : Yoritomo trouve de plus en plus d’alliés dans les provinces de l’Est et regroupe une armée autour de Kamakura. Bientôt éclate la guerre des Minamoto contre les Taira, qui dure jusqu’en 1185, entrecoupée de plusieurs interruptions. Elle est la cause d’une grande famine en 1182, accompagnée d’une épidémie de peste. Elle se termine par la défaite totale des Taira, après un combat naval le 25 Avril 1185, à Dan-no-Ura.

Donc, une erreur de jugement entraîne la mort de la plupart des nobles Taira. Le chef des Minamoto, Yoritomo, prend le pouvoir. Il se fait accorder par l’Empereur Go-Shirrakawa, terrifié par sa puissance militaire, le droit de lever des impôts, de nommer des intendants et des commissaires. Il élimine du pouvoir le véritable vainqueur des Minamoto, son frère Yoshitsune. Ne souffrant aucun rival, il part ensuite attaquer les Fujiwara du Nord et, en 1189, il prend possession de leurs domaines et de leurs richesses. En Août 1192, à la mort de l’Empereur, Minamoto Yoritomo devient « sei-i-tai-shogun » - c’est à dire « généralissime contre les barbares » -. En fait, il est le maître absolu du Japon, dans tous les domaines. Il établit sa capitale dans la petite baie de Kamakura : le site est facile à défendre et abrite un sanctuaire du clan Minamoto.

Au fur et à mesure que la cité s’agrandit, elle accueille des garnisons et se couvre de temples. Le Bouddhisme s’y développe fortement. Pour embellir les nombreux monastères, le souverain fait en outre appel à des artistes de Kyoto et de Nara. Jocho, le sculpteur le plus réputé de son temps, y travaille aussi.

Le régent en titre, Fujiwara Kanezane, ne dirige de ce fait plus à Kyoto que l’ancienne aristocratie. Le pouvoir se déplace vers l’Est. Yoritomo désigne son installation à Kamakura du nom de « bakufu », terme chinois s’appliquant au camp d’un général en guerre. Il ne séjourne plus à Kyoto que pour des visites diplomatiques ou pour l’inauguration de monuments religieux.

Au cours de son règne, le bakufu est une sorte de bureau des affaires militaires. Yoritomo Minamoto le complète d’un secrétariat de conseillers administratifs et d’un organe judiciaire. Malgré son origine militaire, c’est plutôt un gouvernement civil reposant sur un système vassalique : le pouvoir du shogun, à la tète du bakufu, dépend du nombre et de l’obéissance de ses vassaux, ou « kenin » - « hommes de la maison ». Il exerce une étroite surveillance sur leur vie privée, les récompense pour leurs services et, parfois, leur octroie le statut de combattant – ou « samouraï » -.

Parallèlement, une secte – dite du Lotus – se développe au Japon. Son créateur, Nichiren, prêche le sutra du Lotus, dans lequel se trouve, selon lui, l’entière vérité. Il considère les dirigeants des autres sectes comme des diables et des menteurs et accuse le gouvernement d’incapacité. Sa combativité lui attire l’estime des guerriers et du peuple.

Le succès de cette secte est liée à l’idée de Mapo – plus ou moins identique à la notion du Jugement Dernier chez les chrétiens -, suscitant le besoin de croyances réconfort  antes.

Iles de l’Océanie, XIIème siècle :

Les peuples des îles océaniennes vivent de nombreux mouvements. Pourtant, ils conservent leurs différences ethniques et culturelles. Les îles sont en effet peuplées de sédentaires qui ont développé une activité agricole, l’Australie de nomades qui ne vivent que de chasse et de cueillette. Les Océaniens sédentaires possèdent collectivement la terre, ce qui explique une certaine forme d’égalitarisme.

Au contraire, la structure sociale de la polynésie est hiérarchisée : à caractère seigneurial, elle a ses esclaves, sa plèbe, ses nobles, ses chefs et ses rois. La religion est tout aussi variée : les aborigènes d’Australie croient en la réincarnation des esprits des morts ; d’autres populations sont animistes ; celles de Mélanésie sont préanimistes. Les Mélanésiens croient en deux idées forces : le « mana », une vertu qui apporte le succès, et le « tabou », l’interdit.

Afrique Noire, première moitié du XIIIème siècle :

En 1210, l’Arménien Abu Salih se rend en Egypte, où il étudie attentivement les églises et les monastères Chrétiens du pays. Puis, il s’aventure dans les contrées voisines. Il s’enfonce en Ethiopie. Et, dans son journal de bord, il décrit tout ce qu’il rencontre sur son parcours.

Or, à un moment donné, il y explique qu’il a aperçu l’Arche d’Alliance, et que celle-ci concorde parfaitement avec la description qu’en fait la bible. Il dit également que la relique cache certainement les deux Tables de la loi sur lesquelles Dieu a écrit les Dix Commandements. Il y représente quatre Rituels qui sont fréquemment célébrés à Aksoum en son honneur : celle de la grande Nativité, celle du Glorieux Baptême, celle de la sainte Résurrection, et celle de l’Illumination de la croix. Et enfin, il y souligne que des Templiers prennent part à ces processions.

Avec la mort du roi Manabasi en 1211, les membres de l’Ordre du Temple toujours en poste en Ethiopie, jouent un rôle de plus en plus important. Ils font en sorte d’entretenir d’excellentes relations avec ses deux successeurs, Imrahana Christos et Naakuto Laab. Ces derniers leur accordent même un accès privilégié à l’Arche d’Alliance déposée dans la cathédrale d’Aksoum. Et ils peuvent ainsi fréquemment approcher la relique, sans toutefois, pouvoir lui faire quitter le pays.

De fait, désormais, les membres de l’Ordre du Temple n’attendent plus qu’une occasion favorable pour cela. Mais le temps passe ; les Templiers vieillissent sans qu’ils parviennent à mettre leur plan à exécution. D’autres sont envoyés à leur place pour les remplacer. Et ces derniers constatent en arrivant, qu’il n’y a aucune urgence ; en fait, ils demeurent plutôt satisfaits de voir l’Arche d’Alliance demeurer en Ethiopie. 

Or, en 1270, la situation évolue soudainement et considérablement : le souverain se laisse convaincre d’abdiquer en faveur de son oncle Yekuno Amlak – qui se réclame d’ascendance salomonienne. Une fois monté sur le trône, Yekuno Amlak exige que soit élaborée une nouvelle version du Kebra Nagast. Il y fait écrire que Ménélik est le fondateur de sa dynastie. Il y fait marquer que l’Arche d’Alliance est liée à lui parce que son ancêtre l’a transportée de Jérusalem au lac Tana durant le règne du roi Salomon. Il se sert ensuite de cette version inédite pour légitimiser son autorité. Puis, finalement, il se sent gêné par la présence de ce corps étranger, militant, et armé d’une technologie avancée, qu’est l’Ordre du Temple.

Yekuno Amlak imagine en effet bientôt que ses membres pourraient lever des renforts par milliers, pour envahir son pays. Il se rend compte de leur intérêt manifeste pour l’Arche d’Alliance. Il a peur qu’ils veuillent un jour s’en emparer par la force d’une manière ou d’une autre. Et il sait que, parce qu’il n’est installé sur son trône que depuis peu, il ne peut rien entreprendre contre eux. Alors, il les endort en faisant semblant de désirer leur collaboration. Et, son armée n’étant pas considérable, il laisse à son fils la charge de résoudre ce problème ; tout en conservant pour lui la précieuse Relique.

Malheureusement, son successeur, Yagba Zion, s’avère encore plus faible que lui sur le plan militaire ; et lui non plus ne peut rien entreprendre contre eux. Or, c’est au cours de son règne que les Templiers font la relation entre Salomon et la reine de Saba ; et que l’un d’eux écrit à leur sujet : « La souveraine du Midi, venue des confins de la terre. Tantôt reine, tantôt Magicienne, elle laissa entrevoir sous sa robe, ça et là, un pied fourchu. Elle fut la prophétesse de la vraie Croix. Elle fut riche : elle posséda des meubles d’ivoire et d’or, sertis de pierreries. Elle détint des colonnes d’argent ciselées et plaquées d’or. ».

Royaume Franc d’Orient, première moitié du XIIIème siècle :

Les Templiers installés en Terre Sainte à cette époque étudient attentivement la bible. Et certains d’entre eux voient dans la jérusalem Céleste de l’Apocalypse de Saint-Jean, une sorte de Cité Idéale. En effet, elle comporte douze Portes Symboliques. Les Templiers rattachent donc celles-ci autant au douze Apôtres de Jésus qu’aux douze signes du Zodiaque.

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