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21 juillet 2009

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1435 - 1436

asie_du_sud_estAsie du Sud-Est, seconde moitié du XIXème siècle :

En 1858, le Français Henri Mouhot décide d’explorer le Sud de la péninsule Vietnamienne. Il entame son voyage. Un jour, perdue au milieu de la forêt, il découvre les vestiges d’une ancienne Cité. Il réussit à déchiffrer son nom sur les parois de l’un de ses Temple. Et, abasourdi, il réalise qu’il s’agit de la mythique Métropole d’Angkor.

Dès lors, il se met à fouiller les lieux le plus minutieusement possible. Il remarque bientôt que son Temple-montagne – ou, « Bârâbudur » - a été plusieurs fois rénové. Il se rend compte qu’il a dû ètre environné de terrasses, d’escaliers, de balustrades, et de tours. Il observe que plusieurs de ses Enceintes Sacrées sont ornées de bas reliefs représentant – pour la plupart – l’ascension des rois Khmers vers le sommet du Temple-montagne. Il note que le lieu vers lequel ils se dirigent est un autel destiné à vénérer le « Linga » de Siva. Et, en scrutant ces fresques, il se souvient d’avoir lu quelque part que les Souverains d’Angkor ont autrefois dominé la plus grande partie de l’Asie du Sud-Est :

« L’Histoire d’Angkor du VIème au XIIIème siècle se décomposa en quatre phases : la préangkorienne, l’intermédiaire, l’Angkorienne, et la postangkorienne. ».

C’est d’ailleurs en se souvenant de cela, qu’il se permet de marquer dans son journal : « Plus de cent Temples apparaissent au cœur de cette Forèt. Une douzaine d’entre eux semblent avoir la taille des Sanctuaires de Louxor, ou de la cathédrale de Reims. Ils sont répartis sur plus de 600 km². Ils laissent apercevoir le fabuleux Temple d’Angkor, avec ses 37 tours regroupées autour d’un Pagode. Ils permettent à une route de se dégager vers plusieurs des donjons accompagnant ce dernier. Ils ne parviennent pas à cacher leurs murs ornés de visages Brahmaniques tournés en direction des quatre Points Cardinaux. Ils ne réussissent pas à dissimuler leurs Emblèmes évoquant la course des Cieux, des Mondes, des Astres, et du Soleil tout le long de l’Année. Et, enfin, ils n’arrivent pas à occulter leurs Illustrations de la précession des Equinoxes.

Je suppose que ce lieu  Symbolise le Cosmos. Mais, en même temps, je me demande si ce qui s’y est déroulé n’est pas en rapport avec la disparition Mystérieuse de ses Constructeurs ? ».   

En 1875, l’Archéologue Britannique J.T. Wass effectue un voyage un Mandchourie Méridionale. Un jour, il y exhume une stèle honorant le Souverain Coréen Kwanggadeo. Et, bientôt, il marque dans son journal : « Il semble me souvenir que ce Monarque a régné sur cette Région – autrefois appelée « Royaume de Korguruy » - de 375 à 413. Mais, je crois également me rappeler que c’est son fils Changsu qui l’a fait bâtir.

De fait, cette stèle laisse entre autres apparaître quatre idéogrammes très étranges. Et d’ailleurs, ces derniers restent l’objet de vives discussions entre spécialistes Coréens et spécialistes Japonais. ».

En 1890, le Médecin Hollandais Eugène Dubois se pose beaucoup de questions en ce qui concerne le Chaînon Manquant entre l’Homme et le Singe. Or, à cette Epoque, il se trouve sur l’ile de Java, l’explore depuis un certain temps. Bientôt, il met au jour un site Archéologique regorgeant de fossiles. Il exhume un étrange squelette, auquel il donne le nom de « Pithecantropus Erectus » ; ce qui signifie : « Homme de Trinil ». Et, lorsqu’un peu plus tard, il le montre à certains de ses collègues, ceux-ci déclarent qu’il s’agit d’ossements humains, tandis que d’autres soutiennent que ce sont des restes de singe anthropomorphe.

Eugène Dubois ne s’émeut pas de leurs conclusions, et écrit : « Je suis persuadé que le plus ancien Hominien d’Indonésie est le « Pithecantropus Mojorkertensis ». En effet, pour moi, les fragments des deux mâchoires que j’ai trouvé sur place, en raison de leur épaisseur et de la forme de leurs dents, ne peuvent ètre rattachées à aucune Espèce d’Hominien connue. Et, je dois en déduire qu’elles appartiennent à une Race inconnue d’Hominiens qui a vécu entre 1,9 millions d’années avant notre Ere et 200 000 avant J.C.

Puis, je suis sûr que certains Pithecantropus Mojorkertensis se sont mis à Evoluer aux alentours de 250 000 avant notre Ere. Est alors apparue la famille « Méganthropus Paléojavanicus ». Et, de fait, cette dernière a peu à peu remplacé les Pithecantropus Mojorkertensis en Indonésie jusqu'au terme du Pléistocène Supérieur. ».

Ensuite, Eugène Dubois s’interesse plus particulièrement aux événements qui ont jalonné la fin de l’Ere Préhistorique. Entre le Paléolithique et le Néolithique, il identifie plusieurs Cultures dans tout le Sud-Est Asiatique. Mais, il se passionne plus particulièrement pour l’une d’entre elles : la civilisation Hoabinhienne :

« Il me semble évident que la culture Hoabinhienne à vécu trois Eres différentes. Elle a englobé plusieurs Sociétés Paléolithiques et Néolithiques. Elle s’est étendue du Sud de la chine au Nord de Sumatra. Elle s’est caractérisée par son abandon précoce de la chasse et de la cueillette, pour une économie basée sur l’Agriculture, la fabrication de la céramique ou d’outils de pierre aux tranchants polis. Et, à partir de 3500 avant notre Ere, elle a été marquée par des transformations profondes, puisqu’elle a engendré plusieurs Communautés vivant de la pèche sur les cotes de Sumatra, au Vietnam, et en Malaisie.

Je dois malgré tout souligner que industrie locale de ces dernières n’a, en aucune façon, été influencée par les Civilisations Chinoise et Indienne. Bien qu’isolées, elles ont su domestiquer le porc, le bœuf. Elles ont intensifié l’exploitation de leurs champs de riz. Entre 3000 et 2500 avant J.C., elles ont régulièrement utilisé leurs nouvelles techniques pour vendre des objets manufacturés à des Populations de plus en plus lointaines. Et, enfin, dès 2500 avant notre Ere, elles en ont profité pour produire de plus en plus grande quantité, mais surtout, pour hiérarchiser leurs Assemblées villageoises.

C’est pour cette raison qu’à ce moment là qu’à la fin du IIIème millénaire avant J.C., une Civilisation sœur de la culture Hoabinhienne, a pris modèle sur elle. En effet, la société Dong s’est, comme elle, tout d’abord développé au Sud-Est de la chine et au Nord du Vietnam. Elle s’est implantée au cœur de la vallée du Dong Koi – ou, « Fleuve Rouge ». Elle a prospéré en se spécialisant dans la métallurgie et la vente de riz. Et, enfin, elle a creusé un certain nombre de Sépultures Princières.

Puis, entre 1500 et 1000 avant notre Ere, c’est la civilisation Dong Dau qui a succédé à la culture Dong. Dès le début, celle-ci s’est mise à fabriquer des objets manufacturés : des hameçons, des haches, ou des pointes de flèches en Bronze. Elle s’est bientôt étendue vers la vallée de Song Koi, et, au faite de sa gloire, s’est métamorphosé en Société Song Koi. Je peux donc affirmer qu’elle doit ètre considéré comme l’aboutissement d’une expression Culturelle locale. Et je dois souligner le fait que c’est elle qui, au début du 1er millénaire avant J.C., a donné naissance a cette Organisme Social préfigurant les modèles Chinois. ».         

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