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Mes Univers
17 septembre 2009

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1535 - 1537

angleterreEn Octobre 1912, un Mythologue Anglais du nom de F.C. Ships publie un livre aux théories explosives. En effet, il y émet l’hypothèse selon laquelle les Aborigènes d’Australie, les Papous, et les Hottentots, sont les descendants des survivants qui ont réchappé à la catastrophe qui a engloutie la lémurie il y a 40 millions d’années : « Par exemple, la race Première de l’Ile de Pâques, habita d’abord en Polynésie, en Asie, et en Afrique Orientale. C’est d’ailleurs là qu’apparaissent des volcans toujours en activité à l’heure actuelle. ».

Puis : « Le Sahara Préhistorique fut un gigantesque « melting pot » où se mélangèrent les ethnies d’origines fort diverses. Or, avec l’assèchement progressif du Sahara, ces derniers Lémuriens se replièrent vers les savanes. Et leurs fils formèrent un clan d’où sortit le peuple Peul.

En outre, tout semble prouver que c’est dans la région des Grands Lacs que la culture Soudanienne vit le jour ; sans doute avec l’aide d’une Race dont les antécédents nous sont inconnus. »

Dans un autre chapitre, F.C. Ships déclare que la culture de Bimini a été connue par de nombreuses Civilisations Antiques. Il souligne que des textes Chinois, Africains, Berbères, Incas, Océaniens, et Celtes, se réfèrent parfois à elle. Et il se demande s’il n’y a pas eu des Noirs Africains en Amérique du Sud, bien avant l’arrivée de Christophe Colomb aux portes de ce Continent ? : « Il est probable que les Africains aient, de longue date, connu l’existence de ce Continent Occidental. Leurs ancêtres s’y seraient rendus grâce à d’excellentes conditions de navigation. Je pense donc que cette migration a eu lieu au Xème siècle avant notre Ere ; et que ses participants ont débarqué dans la région de Gue Guero. ».

Il rappelle ensuite que le ka Egyptien – ce fragment de la force Génératrice Cosmique – doit par ailleurs être rapprochée du « mana » des tribus Africaines et Polynésiennes : « Chez les Dogons, par exemple, le mana était conservé par l’intermédiaire d’une manducation Rituelle. Il se rattachait en outre à une Science liée à l’Observation des Etoiles ; et en particulier, à celle de l’Etoile Sirius et à celle de sa partenaire invisible, la naine blanche que l’on nomme Sirius B.

De fait, il n’est pas impossible que les Dogons aient longtemps gardé une trace matérielle de leurs Connaissances au sujet de ces Astres. Sous la forme de masques – parfois, vieux de plusieurs siècles -, ils se rendaient dans des grottes pour les prier. Et, ce que je peux dire, c’est que leur obsession à propos de ces minuscules Etoiles, est déconcertante. Il n’est donc pas invraisemblable d’affirmer qu’il faille chercher l’origine de cet intérêt – comme pour les Egyptiens – à l’intérieur de leur héritage Ancestral ; cet héritage qui a d’abord émigré au Mali, puis, au Sud du Sahara, et enfin, en Egypte.

D’ailleurs, d’après moi, les Dogons ont détenu ce Savoir bien longtemps avant 3200 avant J.C. Or, ce n’est qu’à cette époque qu’ils l’ont diffusé en Egypte. Ils l’ont transmis aux habitants de la vallée du Nil au terme d’un processus culturel intense. C’est donc chez eux que nous devons chercher une réponse aux « Mystères » qui se cachent derrière Sirius et Sirius B, ainsi que ceux qui se dissimulent dans l’intérêt des Egyptiens pour la constellation d’Orion. ».

Avant la première Guerre Mondiale, grâce à sa supériorité maritime, économique et financière, l’Angleterre possède un Empire colonial important, mis en valeur à son seul profit : 33 millions de km², 450 millions d’habitants. Il comprend des points d’escale : Gibraltar, Malte, Chypre, Aden, Zanzibar et Singapour ; des comptoirs coloniaux, comme Hongkong, ou des protectorats en Arabie, mais surtout d’importants ensembles territoriaux, comme l’Inde, répartis sur tous les Continents.

Or, les colonies de peuplement sont rares ; plus rare encore est le cas de colonies où, comme en Australie, on pratique l’exclusion, en niant l’existence des aborigènes. Les colons, même peu nombreux, ont en effet besoin de main d’œuvre et doivent donc nouer des contacts avec les indigènes.

De fait, au cours de cette période, dans le domaine politique, l’Etat semble hésiter entre l’assimilation et l’association : l’association transforme les colonies en territoires métropolitains afin « d’amener les peuples coloniaux au niveau du colonisateur », l’association respecte les coutumes locales et laisse les indigènes se gouverner eux mêmes. Cette attitude est donc celle qu’adoptent les Anglais dans les colonies à fort peuplement Européen, qui a leurs Parlements et leurs gouvernements. Ils ont des protectorats administrés par des chefs indigènes « assistés » de « conseillers » britanniques.

Mais, le cas le plus courant est celui de l’association inégalitaire, où seule une minorité a des droits politiques et économiques. En Afrique du Sud par exemple, la hiérarchie sociale s’établit selon l’appartenance raciale : plus une personne a la peau claire, plus elle est considérée. Le colonisateur s’appuie aussi parfois sur une ethnie au détriment d’une autre, profitant d’antagonismes anciens. De fait, en Inde, les Anglais accordent un traitement privilégié aux musulmans, pour répondre à la montée des revendications des hindouistes.

D’un autre coté, les colonies n’enrichissent pas forcément la métropole ; leur part passe de 25 % en 1850 à 30 % en 1913 pour les investissements extérieurs du royaume. Mais les Britanniques, qui lisent Kipling et admirent Lyautey trouvent des justificatifs morales à la colonisation : les peuples d’outre-mer sont des sauvages à qui les contacts avec le monde blanc, plus « civilisé », ne peuvent être que bénéfiques. Les théories de Darwin donnent une coloration raciste à ces thèses ; les indigènes sont accusés d’avoir négligé de mettre en valeur leurs terres, par inaptitude congénitale, paresse ou naïveté. Cependant, le « bon indigène » docile et soumis est exalté par la littérature et la presse. 

La métropole s’enorgueillit donc d’apporter les « progrès de la civilisation » aux peuples dominés. La mortalité recule dans certaines colonies grâce au quadrillage sanitaire : instituts d’hygiène, dispensaires de soins établis par les missionnaires, lutte contre les maladies tropicales. Mais, par contre, la situation économique évolue la plupart du temps au détriment des populations aborigènes, sauf pour d’infimes fractions des élites locales : en Rhodésie, la pus grande partie des terres est confisquée au profit des colons Anglais ; à Java, chaque village doit fournir un cinquième de ses terres et 70 à 200 jours de travail par adulte et par an sur les domaines publics ; en Afrique, les compagnies à charte exproprient les villageois au profit des plantations, les réquisitionnent pour servir dans les milices armées, être porteurs, récolter le caoutchouc ou rechercher l’ivoire. La nécessité pour les indigènes de payer des impôts en argent les contraint à se livrer à des travaux salariés, ce qui désorganise les modèles de subsistance traditionnels et cause le déclin de l’agriculture vivrière, essentielle pour l’alimentation.

En revanche, tous les voyageurs notent une réelle amélioration des infrastructures, surtout de celles qui rendent plus efficaces les transports, donc les échanges, au profit de la métropole. Le réseau ferré des Indes, inférieur à 800 km en 1870, passe de 4600 en 1880 et à 51 500 en 1910. En Afrique, 84 % des investissements britanniques sont d’origine publique ; le contribuable y finance routes, ports et grands travaux. Ces investissements augmentent les profits des compagnies coloniales, au moment où la croissance s’essouffle en Europe. Le Royaume-Uni maintient ainsi le système du libre échange, malgré les pressions des industriels qui suivent Joseph Chamberlain, et les « dominions » restent libres d’établir des droits de douane sur les marchandises anglaises.

Pourtant, tout cela ne se passe pas sans difficultés : en 1903, le royaume afghan s’oppose à l’armée des Indes. En Afrique, des brigands de grand chemin se mettent au service des villageois, pour les aider à cacher leurs récoltes, leur éviter de payer l’impôt. Mapondéra et sa troupe bénéficient de l’appui de toute la rhodésie du Sud, tandis que des « prophètes » poussent à la résistance les Ndébélés et les Shonas.

Ailleurs, le désir d’indépendance naît d’une longue période de domination. En Egypte, Muhammad Abduh préconise un retour aux sources de l’Islam : fraternité, tolérance, raison. Il défend la langue arabe et l’identité musulmane aux prises avec les gouvernements locaux corrompus et l’Occident matérialiste. En Inde, les revendications nationalistes vont de pair avec le réveil de l’hindouisme, dont les adeptes orthodoxes reviennent à la lecture des livres sacrés, les Veda, et exaltent le peuple des Aryens. Les ascètes Ramakrishna et Vivekananda, libéraux, veulent réaliser une synthèse de toutes les religions autour de l’Hindouisme. Mais les Anglais jouent des antagonismes religieux : le parti du Congrès réclame le « self-government » ; il va bientôt en se radicalisant, jusqu'à revendiquer l’indépendance.

L’Allemagne déclare la guerre à la russie le 1er Août 1914. La france mobilise le lendemain et se voit notifier la déclaration de guerre allemande le 3. Aussitôt, les troupes de Guillaume II pénètrent sur le territoire belge, en violation du traité de neutralité de 1831. Cet acte décide la grande-Bretagne à déclarer la guerre à l’Allemagne, le 4 Août. Une déception attend pourtant les Empires centraux : l’Italie estime que l’invasion de la belgique la dégage de ses obligations d’alliée.

Mais, au Royaume-Uni, la conscription n’existe pas et les effectifs de l’armée professionnelle sont limités. Un corps expéditionnaire de 100 000 hommes est envoyé et les bureaux de recrutement font recette.

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