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24 février 2010

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1727 - 1728

angleterreEn 1969, après de nombreuses années de recherches, un Esotériste nommé F. Hallford rédige un traité concernant la tradition Druidique la plus ancienne. Et il y marque :

« Selon la plupart des données historiques que j’ai recueilli au cours de mes investigations, je suis forcé de constater que des peuples Celtes ont vécu en Europe Centrale – et plus précisément, entre le Rhin et le Danube – dès 2000 avant notre Ere. D’autres documents m’ont révélé qu’à l’Origine, ceux-ci sont arrivés d’Orient. Et d’autres encore, m’ont permis de comprendre que leurs plus lointains Ancêtres – Aryens – ont été présents dans le Nord de l’Inde aux environs de 2700 avant J.C.

Malgré tout, à cette époque reculée, il est très probable que ces tribus étaient disparates. Seule la religion faisait d’elles une Communauté à part entière. Jusqu’au jour où elles se sont regroupées autour d’un personnage – peu à peu devenu Mythique -, du nom de « Ram » ; lequel est rattaché à un très vieux Mot Celte. Et c’est leur épopée, après qu’elles l’aient élu chef, qui a ensuite été décrite par des auteurs inconnus au sein du Légendaire « Ramayana ».

C’est pour cette raison que je m’interroge désormais en ce qui concerne les Racines Spirituelles Celtes ; et plus particulièrement, Druidiques ? J’en arrive alors en effet à me dire que la religion de ce peuple est née en Asie. Celui-ci l’a ensuite importé en Occident, quand il a émigré en Europe Orientale, puis, au-delà – et, peut-être même, en Amérique. En même temps, il l’a diffusé chez les Cimmériens de Thessalie, dont les Ovates – ou, « Gardiens des Rites Sacrés » - s’en sont emparés pour imposer leur joug ; ou, chez les Thessaliens. Il l’a également enrichie par l’intermédiaire de leurs Bardes ; lesquels se sont bientôt mis à chanter afin d’évoquer les Mystères entourant leurs Divinités, ainsi que de leur Nature Cosmique. Au niveau cultuel, il s’est mis à assimiler ces dernières – telles Esus – aux innombrables Démons qui hantent la surface de la terre. Il les associe progressivement à des Symboles – comme la swastika dont les branches se tournent vers la droite, qui possède un graphisme provenant d’Asie Centrale, que l’on aperçoit parfois au cœur de très vieux textes Extrême-Orientaux, et, qui, à l’origine, traduit une des représentations les plus Puissantes de la déesse Kali – très anciens. Et il commence à les inscrire au centre de ses lieux Cérémoniels et Magiques.

D’ailleurs, en conséquences, lorsqu’on y réfléchit, il n’est donc pas surprenant que les noms de dieux Celtes, Grecs, Etrusques, et Latins, se ressemblent tant ; si ces populations ont très tôt été en contact les unes avec les autres. Ainsi, par exemple, Boruo a de nombreux traits communs avec l’Apollon Grec et Latin, et avec l’Aplu Etrusque ; Aerocura en a avec la déméter et le Cérès Latin ; Andarta en a avec l’Artémis Grecque, l’Artumes Etrusque, et la diane Latine ; Taranis en a avec le Zeus Grec, le Tinia Etrusque, et le Jupiter Latin ; Teutatès en a avec l’Arès Grec, le Maris Etrusque, et le Mars Latin ; Lug en a avec l’Hermès Grec, le Turms Etrusque, et le Mercure Latin ; Brigit en a avec l’Athéna Grecque, la menrua Etrusque, et la minerve Latine ; Romerta en a avec l’Hestia Grecque, et la vesta Latine ; ou, Gobannon en a avec l’Héphaïstos Grec, le Velchons Etrusque, et le Vulcain Latin.   

En tout cas, ce que je peux affirmer avec certitude, c’est que, lorsqu’ils ont fini par s’implanter en Europe Occidentale, les Celtes considéraient leurs Druides, non seulement comme des Prêtres, mais aussi comme des Philosophes, des Juges, des Professeurs, des Médecins, et des Poètes. Ils voyaient également en eux des sortes de Mages capables d’user de leur Art à l’aide de Moyens Naturels – comme les Plantes -, ou, à l’aide de Pouvoirs Parapsychologiques. Ils les apercevaient encore de temps en temps au centre de leurs « Nemetons », arpentant leurs bosquets tout en proférant les Paroles de leurs Rituels. Et, enfin, ils les croisaient parfois, lorsqu’ils se dirigeaient vers frontière de la forêt de feuillus – chênes et hêtres – qui recouvraient alors la plus grande partie de la péninsule Bretonne ; et où ils pouvaient, à loisir, suivre les Doctrines dont ils avaient hérité, et qui étaient très complexes et très proches des Cérémonies Chamaniques des plaines Asiatiques.   

De ce fait, je suppose qu’au cours de ces séances si particulières, les Druides tentaient d’user de leur influence auprès de leurs dieux. Ils pensaient qu’en pratiquant leur Sorcellerie à l’aide de Gestes et de Mots spéciaux, ils pouvaient appeler leurs Divinités auprès d’eux ; et ainsi, exercer leur demander quelque service, les remercier de leur intervention bénéfique auprès de la communauté dont ils avaient la charge, ou amoindrir leur colère à son encontre. Pour cela, ils essayaient de capter les multiples Forces Naturelles issues de ces dernières, et qui étaient répandues à travers le Monde. Dans le but de les soumettre, ils s’efforçaient de s’approprier ce qu’elles cachaient de plus Sacré, puis, cherchaient à les manipuler dans le sens qui leur convenait. Ou, plus rarement, en inventant de nouveaux Mécanismes Magiques – réduisant leurs Puissances Transcendantes - ils se hasardaient à les utiliser pour leur seul profit. ».

Pourtant, dans un autre chapitre, F. Hallford avance une seconde hypothèse, quant à l’origine du peuple Celte :

« Néanmoins, plusieurs de mes sources évoquent une autre explication : selon elles, entre 3000 et 2000 avant notre Ere, le Globe a été confronté à plusieurs Cataclysmes Géologiques de grande ampleur ; lesquels ont entraîné une demi-douzaine de déplacements de l’Axe Terrestre. Peu après, l’Europe remodelée a vu ses occupants émigrer dans de multiples directions ; ils ont ainsi pris la route, soit de l’Orient, soit des steppes de Transcaucasie, soit de l’Ukraine. Puis, à partir de 1800 avant J.C., certains d’entre eux sont revenus vers le point de départ. Vers 1500 avant notre Ere, ils ont commencé à se réimplanter en Gaule « Nouvelle ». Ils se sont arrêtés devant les rivages de l’Océan Atlantique. C’est de cette manière qu’ils ont progressivement investi un territoire comprenant l’ensemble des Iles Britanniques et de l’Irlande, des Contrées Baltes, et de l’Europe Centrale. Et, c’est à ce moment là qu’ils ont acquis, pour les uns, le nom de « Celtes », et pour les autres, le nom de « Germains ». 

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