Mise au point, sixième partie :

Alors, je répéterai ceci, comme je l'ai déjà répété à plusieurs reprises par le passé. Au passage, que c'est usant, de se répéter sans cesse !!! Un ; oui, j'écris de gros textes. Il y en a qui le fait que mes articles soient longs, riches, développés, plaît. Que j'aille le plus loin possible dans mes pensées, dans mes explications, dans mes investigations, dans mes interrogations, dans mes développements historiques, philosophiques, ou sur l'actualité, enthousiasme. Il y en a d'autres qui estiment que Facebook n'est pas le média le plus adapté pour cela. Qui estiment que Facebook est un réceptacle pour la simplification à outrance, pour le partage d'images, de vidéos, de paragraphes ne dépassant pas quelques lignes. En ce qui me concerne, je pense que ce média est assez grand pour que chacun y trouve ce qu'il veut y chercher. Ceux et celles qui sont en quête de textes tels que ceux que je propose y trouvent leur compte. Ceux qui préfèrent des paragraphes courts et condensés aussi. Ces derniers, généralement, ne s'attardent pas sur mes mes textes. Au mieux, ils les zappent, au pire, ils critiquent leur longueur.

Deux : vais-je, moi, sur leurs murs pour critiquer ce qu'ils y mettent. Lorsqu'un texte, une image, une vidéo, etc, m’intéresse ou me plaît, je like. Éventuellement, je pose un petit commentaire. Si ce que je vois me laisse indifférent ou ne m'attire pas, je passe à autre chose. Trois : je suis écrivain. Et en tant qu'écrivain, j'écris. Ma manière de m'exprimer, c'est de jongler avec les mots, de poser mes pensées, mes ressentis, mes imaginaires, mes savoirs, sur le papier. Je suppose – mais qui sait, je me trompe peut-être – que je n'aurai pas tant de contacts qui désirent avoir accès à mon mur , à ce que j'y publie – aussi développé soit-il – si mes articles, extraits de livres, poèmes, ne suscitaient pas la curiosité, l'envie de les parcourir, de les commenter, de les partager, de réfléchir sur les thèmes qu'ils abordent. Plusieurs fois, je me suis posé la question de savoir si je devais ralentir le rythme de mes publications, ou d'en rédiger des moins imposants. A chaque fois, les hommes et les femmes qui me suivent plus ou moins régulièrement m'ont supplié – oui, à ce oint là pour quelques-uns – d'enrichir mon œuvre avec la mème assiduité. De plus, mes lecteurs ne seraient pas sans cesse en augmentation si j'étais dans l'erreur – enfin, je suppose.

Quatre : je viens de publier un livre – le premier volume de mes « Chroniques des Semi-Immortels ». Mon éditeur a actuellement en sa possession plus de 500 pages de la grande majorité des textes évoquant l'actualité, la philosophie, la religion, l'histoire, la science, que j'ai écris et publié sur Facebook ou ailleurs ces deux dernières années. Il y a de grandes chances que cet ouvrage soit publié sous forme de livre d'ici quelques mois ; au grand bonheur de ceux et de celles qui me demandent de temps en temps où ils peuvent se procurer ces textes. Là encore, je suppose que, ni mon éditeur, ni les hommes et les femmes qui me suivent, ne se seraient penché sur eux s'ils les jugeaient insipides, sans valeur, trop longs, trop lourds. Evidemment, mon éditeur y fera les corrections utiles et nécessaires, en éliminera les longueurs, les lourdeurs, les fautes diverses et variées. Cependant, je tien à signaler que pour le premier volume des « Chroniques des Semi-Immortels », celui-ci n'a découvert qu'une seule coquille au sein de mon manuscrit.

Comments

[ballieu]

pourquoi Dominique etre aussi dur !!! sincèrement je vous suit et je suis semsuble a vos souffrances, bien amicalement MFBallieu

!!!