Samedi 28 Décembre 2019 :

Qui plus est, et pour en terminer définitivement avec tout ce que j'ai énoncé précédemment, ma mère et ma grand-mère viennent me rendre visite à mon domicile à partir d'aujourd'hui - samedi 28 Décembre 2019. Et ce, jusqu'à jeudi, je pense - 2 Janvier 2020. Je ne les vois que quelques jours par an ; elles viennent nous voir, Vanessa et moi, 2 à 3 fois dans l'année. Heureusement que Skype ou le téléphone existent - surtout Skype -, puisque ma maman prend chaque jour quelques minutes pour échanger par ce moyen avec nous.

Donc, en plus de me plonger beaucoup plus sérieusement que jusqu'à maintenant dans la rédaction de mon livre sur les origine de la Civilisation - des civilisations -, je vais leur consacrer le maximum de mon temps. Du moins, je vais essayer d'alterner équitablement entre les deux. Par ailleurs, enfin, je dois être en permanence attentif à Vanessa, qui a besoin de moi autant que possible et nécessaire. Sans moi, elle est perdu. Je dois donc faire tout ce qui est en mon pouvoir pour son bonheur, sans tranquillité d'esprit, sa sérénité.

Un dernier mot : hier, j'ai beaucoup évoqué les personnes qui me sont chères, dont je rêve d'être proche, ami, de pouvoir discuter avec elles par téléphone, en les rencontrant, par des échanges mp ou sms. Ces personnes peuvent se reconnaitre aisément. Une ou deux, elle m'ont donné leur numéro de téléphone portable. Donc, nous nous échangeons une à deux fois par semaine des sms. Plus rarement, parce que je ne veux pas, sans leur autorisation, m’immiscer dans leur vie personnelle, de famille, professionnelle, etc., nous nous téléphonons. Au jour et à l'heure où cela ne leur pose pas de problème.

Quant aux autres, elles peuvent aisément s'en rendre compte, que je tente timidement de me rapprocher d'elles - sans succès évidemment -, car je like parfois ce qu'elles publient. Éventuellement, je laisse un commentaire, perdu au milieu de myriades d'autres, au bas de ce qu'elles ont partagé. Plus rarement, je laisse une image avec un petit mot sur leur mur. Je les complimente sur une de leurs photos de profil - peu importe qu'elle soit récente ou ancienne. Ou encore, je leur laisse un mp qui n'a que très rarement une réponse. Exceptionnellement, j'y joins mon numéro de téléphone portable. Et là, elles disparaissent 99 fois sur 100 à tout jamais.

Enfin, si je m'éloigne beaucoup de Facebook pour toutes les raisons que j'ai édicté, je ne m'en absente pas définitivement. Mes différentes pages demeurent ouvertes ; et continueront à le rester. Parfois, j'y publierai de petits textes. Parfois, j'y partagerai des images qui symbolisent mon état d'esprit, mes pensées, mes émotions, mes rêves ou mes espoirs. Parfois aussi, j'y montrerai des extraits de mes travaux historiques. Peut-être, un article sur ce que m'évoque l'actualité du moment, sur un aspect de mes réflexions personnelles sur tel ou tel sujet. Mais beaucoup moins souvent que jusqu'à aujourd'hui.

Car, ce qui prime à mes yeux, c'est d'avancer à un rythme régulier mon ouvrage que je tiens tant, un jour, de terminer. Je n'ai pas usé 25 ans de mon existence à explorer les thèmes dont je vous ai fourni la table des matières il y a quelques jours, pour ne pas les utiliser afin de terminer ce titanesque projet qui est l’œuvre de toute ma vie.

Puis, une fois de plus, malgré tout ce qui me rend triste, tout ce qui me bouleverse, tout ce qui m'émeut, tout ce qui me blesse, tout ce qui me désespère, ici ou ailleurs, de ne pas pouvoir vivre, toutes ces personnes qu'il me semble impossible de toucher, d'atteindre, de côtoyer, de partager des instants sans équivalent avec eux ou elles, je suis conscient que je ne suis pas l'homme le plus malheureux du monde. Je l'ai déjà spécifié, expliqué, approfondi, un nombre incalculable de fois.

Et si, souvent, mes textes sont empreints de toutes ces émotions couleur de nuit, c'est juste parce que le bien-être qui est le mien - notamment lorsque j'écris, lorsque je suis avec Vanessa, ma famille... - ne parviens jamais à combler tout ce que pourrais m'apporter ce que je désire partager, aussi, avec ces personnes en quête desquelles je suis. Puisqu'elles incarnent autre chose, tout simplement...

A très vite...

Dominique Capo