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5 juin 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 680 - 685

chineChine, seconde moitié du Vème siècle :

Convertis au Bouddhisme dès 455, les « Toba » installés au Nord du Shanxi, et fondateurs de la dynastie Wei, font apparaître cette religion comme une religion rédemptrice. Les Wei l’adoptent d’autant plus facilement que celle-ci est étrangère comme eux, et qu’elle constitue une arme contre le confucianisme et le taoïsme.

En 457, plusieurs Scribes habitant la cité de Yuanjian décident de rédiger un document relatant l’Histoire de la dynastie Bouddhiste des Song. Puis, ils y expliquent qu’en 444, leur Empereur Taiwudi a brusquement fait volte face. Ils détaillent de quelle manière celui-ci a proclamé le Taoïsme Religion d’Etat, qu’il a interdit le Bouddhisme, et qu’il a confisqué les propriétés Monastiques de ses Adeptes. Ils soulignent également le fait qu’en 452, son successeur, Wen Gen, a lui aussi redéfini la politique Spirituelle de son Royaume. Ils disent que c’est lui qui a rétabli le Bouddhisme, que pour effacer les persécutions dont elle a été l’objet, il a cédé aux pressions du Moine Tan Yao, et a autorisé l’excavation de nouveaux Temples. Ils font apparaître que Wen Gen a exigé que cette quarantaine de Grottes conventuelles soit percée près de Yuangang. Ils déclament qu’il a autorisé 30 000 familles ouvrières de Dunhuang – dans le Gansu – et de Tan Yao, à rejoindre le Chantier. Et, ils rappellent qu’il a accepté la construction de ces Hypogées, à condition qu’ils glorifient les premiers Souverains de la dynastie Wei.

Wen Gen est alors à ce point satisfait de l’avancée des opérations, qu’il consent à ce que les Moines Bouddhistes honorent son épouse Li, et son fils Xiao Wen, dans deux de leurs Cavernes en cours de travaux. Dès lors, ceux-ci ornent leurs parois de niches séparées par des Monolithes. Ils y installent quelques statues de Bouddha assis. Ils y aménagent des poutres, des consoles, des pagodes ornées de figures fantastiques et de musiciens en train de danser. Et, enfin, sous la tutelle de l’un des enfants de l’Empereur – Wen Ming -, ils consacrent l’une de leurs dernières Cavernes au culte du Père et de la mère de celui-ci.

Des apports originaux du Bouddhisme à la chine de cette époque sont constitués par les Sanctuaires rupestres, comme celui de Dun Huang. En effet, de 460 à 493, les souverains Wei font ériger les premières grottes de Yungang, dans le Nord du Shanxi. On assiste à la floraison d’une sculpture rupestre Bouddhique qui, désormais, domine la création artistique. Il s’agit pourtant encore d’un art archaïque, dépouillé, et parfois naïf, mais plein de force et d’invention. 

Sûrs de leur implantation,  les Barbares déplacent en 494 leur capitale de Datong à Luoyang, au Sud du fleuve Jaune et fondent des sanctuaires rupestres. La population est encadrée par une administration très organisée. La langue « xianbei » est interdite dans la nouvelle cour, et les mariages avec des Chinois sont fortement recommandés. 

Parallélement, en 494, Xiao Wen monte sur le trône Wei. Pour célébrer son arrivée au Pouvoir, il ordonne d’excaver des Grottes Sacramentales dans les environs de Xian – dans le Shaanxi. Il exige que celles-ci soient creusées entre les collines de Longmen et les rives du Yi ; il veut qu’à leurs entrées, soient élevés des bustes de Gardiens. Il souhaite que sur leurs hauteurs soient installée une triade de personnages évoquant les victoires de l’Empereur Wei Sakyamuni. Il commande qu’en leur cœur soient sculptées cinq statues : un Bouddha colossal, deux bodhisattvas, et deux de ses Disciples ; Ananda et Kasyapa. Il réclame que leurs plafonds soient ornés d’une multitude d’Asparas – des Déesses représentées sous les traits de Danseuses Célestes -, de fleurs de Lotus, et de musiciens suspendus dans les Airs. Il insiste pour que leurs murs soient habillés d’images tirées du « Sutra du Lotus ». Il somme pour les cavités qui s’y trouvent éparpillées soient encadrées par des tètes de Dragon, de Lions, de Monstres, et de Nains. Il propose que le bas de leurs parois soit sculpté de reliefs désignant un cortège Impérial. Il juge que leurs sommets doivent montrer des silhouettes de courtisans grandeur-nature. Et, il estime que leurs cotés doivent ètre escortés de Phrases issus de Récits évoquant les Vies Antérieures de Bouddha.    

Asie du Sud-Est, seconde moitié du Vème siècle :

A partir de 475, le Souverain du Royaume de Paikche, Muryong, déclare Kongju Capitale de son Etat. Dans ses environs – à Songsam Ri -, il commence à élever un Tumulus gigantesque : au cœur du vestibule de celui-ci, il érige une statue de Lion ; il dispose deux dalles qu’il recouvre d’inscriptions relatant la vie quotidienne de sa Cour. Dans le caveau qui doit, un jour, contenir sa dépouille, ainsi que celle de son Epouse, il dépose une Couronne d’Or. Et, il enrichit les parois de la salle avec des fresques montrant d’innombrables arbres mêlés à des ramifications d’orchidées. 

Puis, quelques années plus tard, son successeur excave non loin de là une autre Tombe à laquelle il donne le nom de « Tertre du Cheval Céleste ». De fait, il demande à ses Architectes de la composer de trois Chambres. Il leur ordonne que chacune d’elles soit garnie de 32 niches. Il exige qu’à l’intérieur de celles-ci, soient placés les corps d’esclaves fraîchement immolés. Il ordonne que la seconde Salle Funéraire laisse apparaître quatre Sarcophages spécialement préparés pour ses Serviteurs les plus proches. Il commande d’ailleurs que ceux-ci y soient ensevelis vivants juste après son décès. Il réclame que les murs de cette Pièce soient décorés de Peintures montrant des Chevaux Ailés. Et, enfin, il demande que les Autels bâtis à l’intérieur du Tumulus soient ornés de joyaux étincelants. 

Japon, seconde moitié du Vème siècle :

En 478, de nombreux moines, venus de toutes les régions du Japon, construisent les Sanctuaires Shinto d’Ise. 

Arabie, première moitié du VIème siècle :

En 525, les Ethiopiens reprennent le Yémen au prince Juif Dhu Nuvas, et y rétablissent le Christianisme.

Perse, première moitié du VIème siècle :

En 531, à son avènement sur le trône de Perse, Khosrô Ier trouve un Empire troublé par l’agitation du mouvement mazdakiste, enlisé dans une guerre sans issue avec les Romains, et soumis au tribut par les Huns Hephtalites. De fait, dès 532, il conclut une « paix éternelle » avec Justinien, garantissant aux Perses le protectorat sur l’Ibérie, aux Romains sur la lazique. Pacificateur, il restitue aux propriétaires les biens confisqués par les mazdakistes qui ont voulu tout partager, laisse aux femmes enlevées par les révolutionnaires la liberté de rester avec leur ravisseur ou de rentrer chez leur mari, et allège les impôts, surtout pour les vieillards. Limitant l’influence de l’aristocratie, il installe quatre gouverneurs militaires, placés directement sous ses ordres. Tolérant envers les chrétiens, il entretient de bons rapports avec les Patriarches de l’Eglise nestorienne, dont l’un est son ancien médecin. Grand bâtisseur, il élève le Tepe Kesra de Ctésiphon. Et s’alliant aux Turcs, il refuse le tribut aux Huns Hephtalites, les anéantit et annexe la bactriane.

Pourtant, son grand projet est de triompher de l’ennemi séculaire, l’Empire Romain d’Orient. En 540, il se jette sur la syrie, pille Antioche et en déporte la population à Ctésiphon. Mais la guerre s’enlise ensuite dans le Caucase, et Khosrô Ier négocie la paix en 562. Tandis qu’en 570, il chasse du Yémen les Ethiopiens clients des Romains. C’est alors l’apogée de sa puissance. 

Empire Romain d’Orient – Empire Byzantin, première moitié du VIème siècle :

L’Empire d’Orient est gouverné par de très grandes figures. Quand, en 518, disparaît le brillant Empereur Anastase, - qui a rétabli les finances, lutté contre les Bulgares et les Huns, et a fait construire en Thrace les « longs murs qui protègent Constantinople -, le Sénat choisit pour lui succéder le chef de la garde, originaire d’Illyricum, parlant latin et non grec, Justin. En 519, celui-ci met fin au Schisme religieux avec Rome en acceptant avec le Patriarche Jean, la profession de foi du pape Hormisdas. En 521, il nomme Justinien César, parce que celui-ci a joué un grand rôle dans le retour de l’orthodoxie et le rétablissement des relations avec le pape. En 523, il apprend que le Vandale Hildéric a mis fin aux violentes persécutions contre les catholiques, et qu’il a suscité le mécontentement des Vandales Ariens. Peu après, il adopte le plus doué de ses neveux, Petrus Sabbatius, qui prend le nom de Justinianus. Tandis qu’à sa mort, le 1er Août 527, l’Auguste Justinien, âgé de 46 ans, devient Empereur, en compagnie de son épouse Théodora.

Justinien est alors un esprit encyclopédique, un travailleur acharné, qui dirige l’Empire du fond de son palais. Il entend restaurer l’Empire dans son antique grandeur. Chrétien fervent, il ferme l’école philosophique d’Athènes pour rompre avec la culture païenne. L’Impératrice Théodora, elle, est une femme de basse extraction : fille d’un montreur d’ours de l’Hippodrome, elle a été actrice et prostituée. Elle a eu deux enfants d’un père inconnu. Elle s’est livrée à des danses lascives dans l’arène, quand, ébloui par sa beauté, Justinien s’est épris d’elle. Elle a alors été élevée au rang de patricienne et est devenu Impératrice. Et elle se coule désormais à la perfection dans le moule du cérémonial impérial. Car son influence est sensible à toutes les sphères du pouvoir.

Mais Justinien hérite d’une situation difficile : la société rurale est désorganisé par le système du patronage, qui ruine l’autorité des grands propriétaires, lesquels ont aussi formé l’ossature de l’aristocratie urbaine ; désormais, ceux qui ont quelque pouvoir, et surtout les potentats militaires locaux, proposent aux paysans de les protéger contre les exigences jugées excessives du fisc impérial et des propriétaires fonciers, moyennant paiement d’une légère redevance et reconnaissance de leur nouvelle autorité.

Dans les grandes villes, l’agitation est endémique. A Constantinople, le peuple est organisé au sein de factions, ou dèmes, les bleus et les verts, du nom des supporters de l’Hippodrome. Cette population turbulente est prompte à l’émeute ; généralement, les affrontements opposent une faction à l’autre, mais que les mécontentements viennent à se conjuguer et c’est le trône qui est menacé.

Ainsi, il tente de rogner l’autonomie des « demes » - ou « factions sportives » -, qui se dressent aussitôt contre lui. Aux cris de « Nika » - « sois vainqueur » -, les Bleus et les Verts, leur rivalité oubliée, incendient la cathédrale de Constantinople, la demeure du préfet de la ville, ainsi que le vestibule du palais de Justinien. Une partie de l’aristocratie les soutient et fait proclamer Empereur Hypatios, un neveu d’Anastase. Justinien songe alors un moment à fuir, mais la fidélité de l’armée et de son général Bélisaire, ainsi que les conseils de sa femme Théodora, lui permettent de réprimer la révolte. Et, en Janvier 532, faisant irruption dans l’hippodrome, les bucellaires Goths – ou « garde privée » - de Bélisaire égorgent plusieurs milliers de personnes ; terminant ainsi une sédition qui a failli lui coûter le trône.

En 533, Justinien confie à Tribunien la direction d’une commission chargée de réunir en un seul code toutes les lois encore en vigueur. Celui-ci regroupe alors la législation des Codes grégorien, hermogénien et théodosien, ainsi que les Constitutions impériales postérieures. Il modifie les textes pour en éliminer ce qui est contradictoire ou périmé. Il s’emploie à lui rattacher une sélection des écrits de la jurisprudence classique, toujours applicable, touchant le droit privé. Et il débouche finalement sur la publication du « Digeste », un manuel à l’intention des étudiants en droit ; bientôt complété par les « Institutes ».

Affermi sur son trône, Justinien décide de reconstruire la cathédrale de Constantinople – la basilique Sainte-Sophie ». Il opte aussitôt pour des dimensions inconnues jusque là – 61 mètres - et demande qu’elle soit relevée d’une coupole, symbole de la sphère céleste ; de façon à pouvoir occuper dans la grande Eglise la place de lieutenant de Dieu qui lui revient. Et il confie ensuite la maîtrise de l’ouvrage, non à un architecte, mais à deux géomètres et physiciens, Anthémios de Tralles et Isidore de Milet.

Par ailleurs, Justinien signe à prix d’or – 11 000 livres – une « paix éternelle » avec le roi de Perse, avant de tenter de réaliser son grand dessein, la reconquête de l’Occident. C’est une nécessité idéologique plus que stratégique. Pour Justinien, en effet, l’Empire Byzantin, qui est l’image terrestre du royaume de Dieu, continuateur de l’Empire Romain, se doit de reconquérir les territoires qui ont autrefois été Romains.

Reconquérir l’Afrique du Nord, dominée depuis plus un certain temps par les Vandales, est, somme toute, assez facile. A la tète de 20 000 hommes, Bésilaire – né en 500 à Germania, d’abord bucellaire de Justinien, puis, maître de la milice d’Orient, commandant les troupes romaines lors de la première guerre perse, jouant un rôle essentiel dans la révolte de Nika, mais surtout, stratège tenace et inventif - en vient à bout en moins d’une année : profitant de l’absence de la flotte Vandale retenue en Sardaigne, il débarque à Byzacène. La victoire de Decimum lui ouvre les portes de Carthage. Renforcé par l’armée de retour de Sardaigne, le roi Vandale Gélimer bloque alors la cité. Mais ses troupes se volatilisent en une heure à la bataille de Tricamarum, et il s’enfuit chez les Maures. Justinien peut donc se parer du titre de « Vandalicus » et organiser une préfecture du Prétoire d’Afrique. Quant à Bélisaire, il reçoit l’honneur exceptionnel du triomphe, réservé aux seuls Empereurs depuis Auguste.

D’un autre coté, les armées impériales s’emparent du Sud de l’Espagne, avec Carthagène, Malaga et Cordoue. En 535, avec 10 000 hommes, l’Empereur peut entamer la conquête de l’Italie. Il reprend Naples, et entre à Rome sans coup férir. Dès 537, les Byzantins repoussent les Ostrogoths au Nord du Pô, puis, en 540, investissent Ravenne. Tandis qu’au même moment, l’Empereur Justinien inaugure l’église Sainte-Sophie de Constantinople ; le chef d’œuvre des architectes Anthémios de Tralles et Isidore de Millet ; et qu’il nomme en 541 le sénateur Basilius consul.

Or, en 542, une terrible épidémie de peste se déclare en Orient. Elle atteint vite Constantinople, où elle tue des milliers de personnes. Elle gagne tout l’Empire, décimant ses populations. L’année suivante, le conseiller de Justinien Belesaire part en Afrique défendre les Provinces de l’Empire, et y remporte une victoire éclatante. En 548, l’Impératrice Théodora meurt d’un cancer ; et Justinien perd ainsi sa conseillère la plus proche. En 549, les Ostrogoths d’Italie, désormais conduits par Totila, reprennent le terrain perdu et s’attribuent même la sicile ; mais les tribus Berbères d’Afrique se soumettent. Et en 550, l’Empereur d’Orient envoie une puissante armée, conduite par le grand chambellan Narsès, qui rétablit son autorité dans une péninsule saccagée, et qui fait de nouveau de la méditerranée un lac Romain. 

En 552, les petites cellules paysannes, à cette époque, correspondent à une famille conjugale : les parents et les enfants, exceptionnellement les grands-parents, avec comme instrument essentiel l’araire tiré par une paire de bœufs. Au centre des exploitations, la maison et son jardin ; les paysans les plus pauvres n’ont pratiquement que cela et louent leurs bras sur les terres des plus fortunés. La tenure de base s’étend, selon la qualité, sur cinq à dix hectares. Sur les terres de plein champ, on cultive avant tout céréales et légumineuses. Mais le jardin joue un rôle important dans l’alimentation du paysan, notamment grâce aux apports du vignoble.

En 552 également, le Patriarche d’Alexandrie Apollinaire rétablit le catholicisme dans sa cité, après une sanglante répression. Mais il ne peut en chasser définitivement les monophysites – coptes -, qui résistent à l’Eglise de l’Empereur d’Orient. En 553, Justinien donne l’ordre de réunir un Vème concile œcuménique, qui condamne les « Trois Chapitres » des Nestoriens, consacre la puissance impériale dans le domaine de la foi, et réduit l’autorité du pape Vigile.

Au même moment, Procope – né à Césarée de Palestine – allie le talent de l’écrivain à celui de l’observateur, et se veut l’imitateur d’Hérodote, de Thucydide et de Polybe. Il rédige une « Histoire Secrète » accusant Justinien de tyrannie, et où il se livre à une satire violente et obscène de l’Empereur. Il achève son « Livre des Guerres » : écrit en grec, l’ouvrage est composé de huit livres, eux-mêmes divisés en trois parties : les guerres perse, vandale, et gothique. Et son dernier livre relate les conquêtes de Justinien.

En 561, Justinien conclut un nouveau pacte de paix avec l’Empereur Perse Khosrô Ier : la frontière entre les deux territoires reste inchangée, mais, cette, fois, les Byzantins s’engagent à verser un tribut annuel.

Puis, en Décembre 562, l’Empereur Justinien – désormais octogénaire – préside à la consécration du chef d’œuvre de sa vie : la basilique Sainte-Sophie. Car, la coupole qui s’est écroulée en 558, vient d’être rebâtie.

Cette « Grande Eglise » est construite à l’emplacement de la sainte-Sophie édifiée par Constantin. Des matériaux précieux et rares y sont intégrés. De plan carré – 90 mètres de coté -, elle est organisée de façon à donner à l’intérieur l’impression d’un immense espace, presque irréel, aux dépens de l’extérieur, moins réussi. Mais, l’exploit réside dans la coupole, d’un diamètre gigantesque de 33 mètres, et d’une hauteur de 55 mètres. Dès lors, sa résistance est accrue par des arêtes et une gaine de maçonnerie extérieure. D’un poids considérable, elle repose sur quatre pendentifs et quatre énormes piliers habilement dissimulés, soutenus à l’extérieur par des contreforts. Des fenêtres aménagées à la base de la coupole semblent la détacher par un cercle de lumière. Sur les cotés, deux murs droits, ajoutés de colonnades et de baies, donnent un axe ; tandis qu’à l’abside et à l’entrée, le regard s’élève vers une demi-coupole au contact de la coupole centrale. 

Et, enfin, en 565, l’Empereur Justinien meurt. Il laisse alors un Empire à l’apogée de sa gloire, bien que Slaves, Lombards, Avars et Bulgares le menacent.

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