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Mes Univers
6 juin 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 685 - 690

marocMaroc, première moitié du VIème siècle :

Vers 525, les populations qui peuplent le territoire Marocain croient en une divinité qu’elles appellent « la première Mère du Monde ». Pour elles, c’est elle qui a créé les Etoiles ; mais aussi, qui a développé la malfaisance sur la terre : elle a apporté le malheur aux hommes en leur inculquant les sept premières langues du Monde.

Elles imaginent par ailleurs, qu’à l’Aube des Ages, les premiers hommes et les premières femmes sont nés de la terre : « Les femmes s’appelaient « Cyrèses » et étaient les maîtresses de l’Espace Sauvage ». Les hommes se nommaient « Karèses » et étaient les Gardiens et les Sentinelles des dieux. Mais, ils étaient également les protecteurs des Puissances Surnaturelles ; et ils pouvaient se réunir entre eux à l’occasion d’événements importants afin d’influer sur eux.

Or, le Monde Souterrain d’où étaient sortis le premier homme et la première femme était habité par toutes sortes de Génies, de Géants, et de Nains. Et, entre ce Monde et le Monde des Hommes, des communications existaient : des puits ou des grottes permettaient ce contact. Mais, une porte ou une dalle de fer bloquait l’entrée de chacune d’elles.

Il était pourtant un moment où ce Monde Souterrain menaçait d’envahir le Monde des Hommes : c’était la nuit au cours de laquelle les habitants de l’autre coté de la terre venaient volontiers hanter les parages ; c’était aussi la nuit au cours de laquelle seuls les plus valeureux ou les plus pieux des hommes, avaient la capacité de vaincre les Forces Surnaturelles néfastes. ».

Et enfin, les populations Marocaines pensent que leur déesse Talfasa est un Dragon Féminin ; et qu’elle est une sorte d’Hydre à sept tètes qui hante les forêts et les sources.

Espagne, première moitié du VIème siècle :

En 550, l’Espagne reste vulnérable en raison des querelles intestines des Wisigoths qui y sont installés. Or, en 554, révolté contre le roi Agila, Athanagild obtient l’aide des Romains d’Orient de Justinien, mais doit leur abandonner la bétique – Sud de l’Espagne.

Italie, première moitié du VIème siècle :

En 510, le roi Ostrogoth Théodoric recrée dans la provence conquise une préfecture du Prétoire des Gaules, et organise ses conquêtes d’Illyrie, faites sur les Gépides et sur les Lombards. C’est alors l’apogée territoriale de son royaume.

Car, Théodoric porte le titre de « notre Seigneur, roi très Glorieux » et maintient une stricte séparation entre Goths et Romains, qui restent citoyens de l’Empire. Un tiers des terres italiennes est réservé aux Goths. La carrière militaire leur est attribuée, alors que les fonctions civiles sont toujours mises à la disposition des Romains : les grandes familles sénatoriales exercent ainsi les fonctions traditionnelles à la cour de Ravenne et à Rome, comme au temps de l’Empire d’Occident, tels Anicus Probus – préfet du Prétoire – ou Cassiodore – questeur du Palais. Chaque année, Théodoric nomme un consul occidental. Parfois, il se rend à Rome, où il est accueilli comme un Empereur par le Sénat, le peuple, et le pape. Les Goths sont Ariens et ont leur propre clergé, mais Théodoric soutient le pape en conflit avec l’Empereur d’Orient Anastase, monophysite convaincu. Par une politique d’alliances matrimoniales, il noue par ailleurs des relations avec tous les royaumes Barbares d’Occident – Francs, Burgondes, Wisigoths, Vandales, Hérules, Thuringiens. Et il est le tuteur du royaume Wisigoth d’Espagne, où règne bientôt son petit fils Amalaric.

Le roi Ostrogoth, émule des Romains, embellit en outre Ravenne, y bâtissant un nouveau palais, la basilique de Saint-Apollinaire-le Neuf, ainsi que son propre mausolée. Mais, il fait aussi emprisonner le pape Jean.

Benoît est né en 480, à Murcie, en Italie centrale. Destiné à la carrière administrative, il est ensuite parti étudier à Rome. Il n’a pas vingt ans lorsqu’il a abandonné ses études et a rejoint une communauté d’ermites. Et il s’est retiré pendant trois ans, dans une grotte près du lac de Subiaco.

Appelé à diriger une abbaye vers 520, il se heurte à l’incompréhension des moines, qu’il rebute par la dureté de ses exigences, et revient à Subiaco. De nombreux disciples le rejoignent, qu’il répartit en groupes de douze. En 529, accompagné de quelques fidèles, il gagne le sommet du mont Cassin, dominant la plaine de Campanie, et y fonde un monastère. Benoît a quarante-neuf ans. Convaincu de l’importance de la communauté pour la vie monastique, il édicte une règle qui est l’aboutissement de longues années d’expérience et de réflexion.

La « Règle du Maitre » est la plus longue – 94 articles – contre 73 pour la « Règle de Benoît ». En tout cas, pour lui, le moine est solitaire. Il fuit le monde et les tentations terrestres pour rencontrer Dieu et prier pour le salut des hommes. Benoît veut qu’il vive sa solitude dans la communauté et la soumission a une règle. En entrant au monastère, le moine abandonne tous ses biens, et doit complète obéissance au père abbé. Il doit prier – la prière collective rythme sa vie quotidienne -, travailler – pour combattre l’oisiveté et assurer la subsistance de la communauté – et se nourrir de la parole divine. Mais, parfois, le travail agricole cède la place aux taches domestiques – cuisine, fabrication des outils ou des vêtements -.

En effet, « ne rien préférer à l’œuvre de Dieu » devient la devise de Benoît et de ses « Bénédictins ». La vie des moines est ainsi rythmée par les offices au cours desquels la communauté récite les textes des Ecritures Saintes, chante prières et psaumes. L’office est célébré sept fois par jour – laudes, prime, tierce, sexte, none, vêpres et complies – et une fois pendant la nuit – vigiles.

En 524, le sénateur Boèce est déchu de sa fonction de maître des Offices par le roi Théodoric, est emprisonné sous l’accusation de trahison. Et il en profite alors pour achever sa « Consolation Philosophique » avant d’être exécuté.

Ce testament spirituel tente de résoudre le problème du Bien accablé et du Mal triomphant, en recourant, non pas à la religion Chrétienne, mais à la philosophie Antique. En effet, Boèce est pétri de culture Grecque : il est le traducteur de « la logique » d’Aristote, de la « Géométrie » d’Euclide, et de « l’Astronomie » de Ptolémée. Il a également rédigé des ouvrages d’arithmétique et de théorie musicale, ainsi que trois traités sur « la timée ».

En 526, le moine Denys le Petit publie une table pascale destinée à fixer pour les années 532 – 626 la date du Dimanche de Pâques. Il adopte pour cela le comput alexandrin, qui la fixe entre le 22 Mars et le 25 Avril, et non le vieux comput Romain, déjà abandonné par le pape Léon le Grand.

Dans ses Tables, Denys invente une Ere commençant à la naissance du Christ : l’Ere Chrétienne. Par ailleurs, Denys rassemble de nombreux canons conciliaires latins et grecs – traduits par ses soins -, ainsi que les décrétales des papes. Ces derniers deviennent alors vite les premiers grands recueils de droit canon largement diffusés.

En 526 également, le roi Théodoric s’éteint, et c’est sa fille Amalasone qui devient régente du royaume au nom de son fils de 7 ans Athalaric. Mais la souveraine hérite d’une situation tendue. De fait, elle comble d’égards le Sénat de Rome, restitue à leurs familles les biens des condamnés Albinus et Boèce, et accorde des faveurs à la papauté. Elle suscite pourtant ainsi une réaction nationaliste chez les Goths. Et c’est pourquoi, en 532, elle fait assassiner trois de ses chefs les plus prestigieux.

Malgré tout, après la réussite de ce coup de force, l’opposition renaît : le nouveau roi Ostrogoth Théodahat fait étrangler sa femme Amalasonte. Et la guerre avec l’Empire d’Orient devient inévitable.

Parallèlement, né dans une famille d’aristocrates, Saint-Benoît a mené pendant trois ans une vie d’ermite, avant d’être élu abbé de la communauté de Vicovaro, près de Tivoli. Là, la jalousie d’un prêtre l’a obligé à se réfugier sur le mont Cassin. Et, en 537, il y fonde un  monastère, et il y rédige une règle pour ses quelques disciples.

Le plan de cette règle, divisé en 73 chapitres, fixe les grands principes de la vie monastique. Le monastère est une famille gouvernée par un abbé, élu à vie par les moines. Après un noviciat d’un an, le moine prononce ses vœux définitifs de chasteté et de pauvreté. Sa vie est partagée entre la prière, le travail manuel – jardinage et artisanat qui assurent l’autonomie de la communauté – et la copie de manuscrits. La règle insiste sur l’ascèse, la discipline intérieure, l’abnégation et l’obéissance. Et l’emploi du temps comporte de nombreux offices.

D’un autre coté, le sénateur Cassiodore fonde à l’intérieur de son domaine de Vivarium un ermitage et une Bibliothèque destinée à réunir des ouvrages religieux et profanes. Et ses moines ont pour tâche de reproduire les ouvrages anciens afin de pouvoir transmettre la culture Antique.

Cassiodore a suivi une brillante carrière sénatoriale au service des rois Ostrogoths de Ravenne : questeur du palais, consul, maître des offices, et enfin, préfet du Prétoire. Mais la guerre contre les Romains d’Orient l’a obligé à se retirer.

Désormais, il se consacre donc à une œuvre immense. Il écrit une « Histoire des Goths », une « Chronique » et une « Histoire Ecclésiastique », publie des rescrits royaux – « Variae », rédige des traités de grammaire, de philosophie et de religion. Et surtout, il compose ses « Institutions Divines et Humaines » en deux livres : le premier est consacré aux études bibliques, le second, aux « Sept Arts Libéraux » ; grammaire, rhétorique, dialectique, astronomie, arithmétique, musique et géométrie.

Par ailleurs, se construisent de nombreuses églises à Ravenne : San Vitale et Saint-Apollinaire in Classe. Mais ce sont les mosaïques pariétales et absidiales qui constituent leurs chefs d’œuvres. A San Vitale, la salle rectangulaire du chœur réunit étroitement architecture et mosaïque. Les deux tableaux symétriques représentent Justinien et Théodora apportant des offrandes sont d’une somptuosité raffinée. Les personnages, vus de face, semblent suspendus dans l’espace. Et, de fait, l’art des mosaïques, par sa subtile polychromie et son organisation, atteint des sommets.

L’Empereur Romain d’Orient, Justinien, entendant restaurer son territoire dans son intégralité, songe maintenant à récupérer l’Italie, possession des Ostrogoths. Se posant en vengeur de la reine Amalasonte, assassinée par son mari Théodahat, il envahit la péninsule. Son général Bélisaire prend Naples et Rome en 536, puis soumet l’Italie du Nord : le roi Vitigès capitule dans Ravenne en 540. Et Justinien peut dès lors se proclamer « Gothicus » et recréer une préfecture du Prétoire.

Mais, en réalité, la guerre ne fait que commencer. Sous la conduite de Totila, leur nouveau souverain, les Ostrogoths font face. Totila dégage l’Italie du Nord, prend Naples en 543, entre dans Rome en 546. Décapitées par le rappel de Bélisaire, privées de renforts par le début d’une seconde guerre perse, les troupes byzantines ne conservent que Ravenne. En 551, Justinien confie une armée de 20 000 hommes à l’eunuque arménien Narsès. A Tadinae, Narsès brise les charges de la cavalerie des Goths et tu Totila. Cernés sur les pentes du Vésuve, le dernier roi Ostrogoth, Teias, périt après deux jours de combats. Et l’Italie redevient dès lors Romaine.   

Gaule, première moitié du VIème siècle :

En 506, Clovis réunit une coalition contre le roi Wisigoth Alaric II, maître du quart Sud-ouest de la gaule. En 507, il combat le souverain Wisigoth à Vouillé, où celui-ci meurt. Il envahit la gaule Narbonnaise. Son allié Gondebaud, de son coté, s’empare de Toulouse. Et les Wisigoths sont désormais obligés de se replier vers l’Espagne.

Juste avant que la cité ne tombe aux mains des Francs, les derniers Wisigoths se rendent auprès des Prêtres Aryens. En leur compagnie, ils détruisent la carte menant au trésor de Delphes ; Ils tuent la plupart des Mages qui la gardaient depuis des années. Ils murent l’entrée de la crypte aux couloirs labyrinthique qui y conduit. Et, quelques jours plus tard, ils sont tous exterminés en résistant aux guerriers de Gondebaud. C’est un vrai massacre.

Gondebaud s’enfonce aussitôt dans les corridors du Sanctuaire. Il découvre la crypte murée. Il la fait détruire par ses soldats. Puis, il s’empare de la plus grande partie des richesses qui y étaient dissimulées ; avant de remonter à la surface. Seuls quelques vestiges du trésor, camouflés dans des lieux plus lointains et plus obscurs ne sont pas pillés ; et parmi eux ceux où se trouvent ses secrets immémoriaux.

Peu après, les Mages rescapés de Toulouse s’enfuient et commencent à émigrer un peu partout en Europe ; ils fondent nombre de Sociétés Secrètes dont ils deviennent les Guides Spirituels. Ce n’est qu’ensuite qu’ils se mettent à la recherche des quelques « Livres aux Mystères » dont ils connaissent la valeur depuis leur Initiation. Dans les écrits par lesquels ils ont été Enseignés de l’existence d’un Savoir Ancestral, ils ont en effet appris que ceux-ci traitent – entre autres – de l’évocation d’Esprits Supérieurs et Inférieurs – terrestres, aériens ou aquatiques. Ils ont découvert qu’ils cachent des Enigmes concernant des Etres Elémentaires plus inoffensifs, tels que les Elfes, les Lutins, ou les Ames planétaires.

L’un d’eux retrouve vite la trace du manuscrit du Mage Ireo Circio, intitulé « le Secret des Secrets ». Il le lit. Il se rend compte que l’ouvrage contient des Rituels permettant de fabriquer plus de 45 talismans différents, ainsi qu’un grands nombre de pentacles grâce auxquels il serait capable d’entrer en contact avec des Entités parallèles. Il y discerne des signes liés aux Planètes et aux Etoiles ; ces derniers sont à même de l’aider pour ses opérations Magiques. Puis, il en extrait ses Forces, manipule ses Sciences, décrypte les Mathématiques rattachées au Nombre d’Or qu’il révèle. Il comprend enfin que l’Air, la terre, l’Eau et le Feu sont des parties intégrantes des Espèces existant à l’intérieur des trois Plans que renferme l’Univers ; et qu’il peut s’en servir comme catalyseurs.

Ce Mage tente donc ensuite de conclure des pactes avec plusieurs de ces Créatures Surnaturelles ; il essaye en même temps de les appeler à ses cotés par l’intermédiaire de Frères décédés. Et il exerce sa Magie Noire en les laissant faire ce qu’elles veulent dans notre Monde ; tout en s’abritant à chaque fois à l’intérieur de Cercles de Protection enduits d’onguents spéciaux.

Un peu plus tard, un autre Mage ayant échappé au massacre de Toulouse, de son coté, remet au jour « l’Alchorat », le fameux ouvrage rédigé par Chiramidès, Architas et Démocrite. Mais, le manuscrit est décomposé en quatre sections : la première, « l’Anchtichion », révèle la manière d’évoquer les Esprits des Dieux Anciens ; la seconde, « la synochitide », les Ombres Infernales ; la troisième, « l’Aglaoptis », de solliciter les Divinités issues de l’Age précédent ; et la quatrième, « la théonyclida », dévoile le moyen de posséder le don de Divination et la manière de ramener les morts à la vie.

Or, ce Mage s’intéresse plus particulièrement à la synochitide et à la façon d’appeler des Serviteurs auprès de lui. Il apprend donc les Lettres à inscrire sur la pierre avec de la graisse de bouc ; comment les rendre invisibles lors des cérémonies d’adjuration ; puis la technique pour les prononcer correctement – en les répétant sous multiples formes – afin de favoriser l’apparition des Démons Célestes. Et il réalise qu’une statue ayant l’apparence de l’Entité choisie, modelée avec des substances appropriées, est à même d’asservir totalement cette dernière.

Par ailleurs, à partir de ce moment là, ce Mage commence à user de Sacrements sacrificatoires et nécromantiques particuliers afin de transmettre ses dons et ses Connaissances à ses Initiés. Pour ce faire, tout d’abord, il charge un objet matériel d’un fragment de ses propres Forces Psychiques. Puis, il l’envoûte par l’intermédiaire de Symboles Sacrés. L’objet possède donc bientôt des caractéristiques, ainsi que des propriétés, qui sont propres à celui qui l’a conçu ; lequel peut ensuite le transmettre à qui il veut.

D’un autre coté, à la même époque, le Mage met au point une Tradition spécifique à la communauté dont il est le Grand Maitre. Lorsqu’un Frère vient tout juste d’être Initié par lui aux premiers dogmes de son Enseignement, celui-ci se doit de porter un cordon jaune comme ceinture pendant un an. Quant aux « Doyens » - ou « Initiés » à part entière -, ils sont obligés de porter une « Rose » d’argent suspendue à une chaîne d’or autour du cou. Au cœur de celle-ci est inscrit le Mot Sacré : « INRI ».

En 508, le roi des Francs Clovis termine de conquérir l’Aquitaine. L’Empereur Anastase le reconnaît officiellement comme roi. Il investit définitivement le royaume Wisigoth jusqu’aux Pyrénées ; exception faite des pays riverains de la méditerranée, énergiquement défendus par les Ostrogoths de Théodoric. Et, de fait, le Languedoc continue d’appartenir au Royaume Wisigoth replié en Espagne.

Clovis passe les dernières années de son règne à éliminer les autres rois Francs Saliens, ses parents, et impose la reconnaissance de son autorité aux Francs du Rhin. Et fin 510, il réunit le premier concile des évêques Gaulois sous son autorité.

En 511, maître d’un royaume s’étendant de la vallée du Rhin aux Pyrénées, il s’installe à Paris, dont il fait le « siège du royaume ». La même année, il réunit à Orléans le premier concile national des Gaules, qui rassemble trente-deux évêques. Il meurt le 27 Novembre 511 et est enterré dans la basilique des Saints-Apôtres, qu’il a fait construire sur le tombeau de Sainte-Geneviève.

Dès lors, le royaume de Clovis est partagé entre ses quatre fils : à Reims, Thierry Ier – qui est le premier à frapper des sous d’or, jusque là privilège Impérial - ; à Orléans, Clodomir ; à Paris, Childebert ; et à Soissons, Clotaire Ier. Parallèlement, en 516, le roi Burgonde Gondebaud décède. C’est son fils Sigismond qui lui succède et établit aussitôt le catholicisme.

En 513, un vaste réseau de Confréries Occultes apparaît à travers toute la gaule. Non pas que les Mages des Sectes qui voient le jour un peu partout se soient concertés pour le former, puis l’organiser – au contraire, ils sont toujours aussi jaloux les uns des autres, complotent et intriguent pour ne pas être surpassés par leurs concurrents -, mais, ils s’installent jusque dans les contrées les plus reculées du Continent.

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