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Mes Univers
15 juillet 2008

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 780 - 785

proche_orient_neuvi_me_si_cleMais, bientôt, à l’Ouest, l’agitation est intense. En effet, de religion chiite, et donc opposée aux sunnites, al-Mu’izz fait bientôt du Caire le siège d’un Califat ismaélien, rival du Califat Abbasside de Bagdad, bastion de l’Islam Sunnite. Il étend son Empire à la palestine et à la syrie, et contrôle les lieux Saints d’Orient : la mecque, Médine et Jérusalem. Son règne, et celui de son successeur, al-Azziz – 975 – 996 -, se caractérisent par leur tolérance à l’égard des Chrétiens et des Juifs : on construit des églises et des monastères coptes, on protège les synagogues. La nomination de chrétiens et de juifs à des postes de vizirs et de hauts fonctionnaires permet une large ouverture d’esprit en même temps qu’elle écarte du pouvoir les sunnites, demeurés majoritaires dans la population égyptienne.

Lorsqu’il part pour l’Egypte, le calife al-Mu’izz confie la gestion du Maghreb à un Berbère, Bulukkin ibn Ziri. Simple gouverneur en théorie, ce dernier ne tarde pas à se comporter en vice-roi, fondant sa propre dynastie, celle des Zirides et déplaçant la capitale de Kairouan à Mansuriyah. Son fils, Bulukkin al-Mansour affiche un peu plus son indépendance tout en maintenant les liens avec les Fatimides, qui conservent encore des moyens de pression. Finalement, c’est son petit-fils, al-Mu’izz, qui rompt définitivement avec le Caire et renoue avec Bagdad. Sous prétexte de parfaire l’arabisation du Maghreb – mais en réalité pour se venger -, le calife Fatimide a-Mustansir y envoie deux tribus turbulentes originaires d’Arabie. Au total, ce sont quelque 200 000 nomades qui déferlent sur le pays, ruinant les pouvoirs organisés et se taillant des principautés ; à leur suite, les Seldjoukides, descendent des steppes de l’Asie centrale et en font de même.

Mais tout change avec le sixième calife, Al-Hakam – 996 – 1021 -, qui se distingue par son comportement extravaguant et énigmatique, tour à tour cruel et ascétique, fanatique et généreux. En 1017, sur les conseils d’un de ses fidèles, al-Durzi, il se proclame Dieu. Toutefois, il disparaît peu après, le plus mystérieusement du monde : un matin, on ne retrouve que ses vêtements ensanglantés au pied de la colline du Mokattam, où il a coutume d’interroger les astres. Al-Durzi est alors obligé de fuir et trouve refuge en Syrie, où il donne son nom à une nouvelle secte, les Druzes, dont la doctrine s’appuie sur l’Esotérisme et la métempsycose.

A la même époque, à Bagdad, le sultan Buwayhide Baha al-Dawla dépose le calife Abbasside régnant et installe à sa place le jeune al-Qadir, en espérant le maintenir fermement sous son autorité. Mais le jeune garçon prend de l’assurance et tente de lutter contre les multiples sectes. En 1019, il fait lire solennellement la profession de foi officielle des Musulmans et ferme ainsi la « porte de l’ijtihad » - ou « effort de recherche personnel » -. Sa décision entraîne, pour longtemps, le déclin des sciences dans le monde Islamique.

Espagne, Xème siècle :

Abd Al-Rahman règne sur l’Emirat de Cordoue de 912 à 961. Il transforme celui-ci en Califat et prend lui même, en 929, le triple titre de calife, de « Prince des Croyants » – « Almir al Mu’minin » et de « Combattant Victorieux pour la religion de Dieu » - « Nasir li-dini Allah ». Et ses raids, entre autres à Saint Jacques de Compostelle, brisent l’élan de reconquête des chrétiens.

Or, à la même époque, le califat de Cordoue attire les esprits occidentaux avides de Sciences nouvelles.

Par ailleurs, la catalogne, née de l’intervention de Charlemagne en Espagne, est d’abord incorporée à l’Empire Carolingien, puis à l’Etat Franc. Elle devient pratiquement indépendante quand la royauté franque, affaiblie, s’avère incapable de venir secourir Barcelone, que, al-Mansur soumet au pillage en 985.

Mais en même temps, en Navarre, autour de Pampelune, qu’un second foyer de résistance chrétien se développe  sous la protection des Basques.

Pourtant, peu avant l’an Mille, ces petits noyaux chrétiens sont souvent en proie à des conflits dynastiques. Les récents raids d’al-Mansur ont prouvé leur fragilité. Pendant plusieurs années, la frontière qui les sépare du califat est sans cesse disputée par les avant-gardes des deux camps. Cette zone tampon, plus ou moins bien définie, est un lieu de solitude, de terreur et de liberté. Là s’aventurent les premiers pionniers de ces territoires sans maîtres : des renégats et des esclaves en fuite s’y font défricheurs de terres vierges.

Royaume Franc, Xème siècle :

En 901, le mois de Mars est marqué par un progrès important dans l’utilisation du cheval de trait. En effet, outre l’invention de la ferrure qui protège les sabots en ralentissant leur usure, commence à se répandre, grâce au harnais ou au collier de trait ; une nouvelle forme d’attelage.

Car, jusqu'à présent, le cheval est relié au véhicule qu’il tire par une bande de cuir souple, disposée au tour de son cou, ce qui gène sa respiration. Le harnais, pièce rigide placée sur l’encolure du cheval, lui assure un meilleur équilibre et, surtout, lui épargne cet étranglement. Il permet ainsi de multiplier par trois ou quatre le rendement du cheval de trait et, par contrecoup, celui des récoltes.

En 902, égrenant ses monastères de l’Elbe aux Pyrénées, l’ordre Bénédictin se donne pour mission de faire rayonner la gloire de Dieu par les peuples Barbares. Mais les moines, eux non plus, ne résistent pas à la tourmente. Sauvant tant bien que mal les saintes reliques dont ils ont la charge, les moines fuient leurs abbayes, saccagées et en flammes. Désemparés par ce monde brutal auquel ils ne sont pas préparés, ils trouvent souvent refuge auprès de seigneurs locaux qui, pour s’assurer le Paradis, fondent des monastères, s’en nomment eux mêmes abbés, et réduisent les malheureux moines à l’état servile. Mais les puissants, qui mentent, trahissent, pillent, ravagent, peuvent aussi parfois avoir de grands élans de foi. Tel est le cas de Guillaume d’Aquitaine, qui fonde Cluny, où la règle de Saint Benoît atteint son apogée.

Car, le domaine que lègue ce dernier en 910 est celui d’un grand seigneur. Il est composé tout à la fois de champs, de forêts et de prés, de » bâtiments et de serfs. Certains moines, dits « convers », sont spécialement chargés des problèmes domestiques, permettant ainsi aux autres religieux de s’adonner exclusivement à Dieu, par la prière et le chant. Les frères convers surveillent les récoltes, s’assurent que le foin est bien engrangé avant que l’hiver n’arrive, veillent à l’abattage des animaux, au tissage de la laine, à l’entretien des édifices et des outils. Pour soigner et soulager les malades – moines ou hôtes de passage -, les frères herboristes cultivent, dans leurs jardins de simple, le thym, la sauge et la camomille, avec lesquels ils confectionnent décoctions et cataplasmes.   

Déchargés de toute préoccupation matérielle, les frères « de chœur » se vouent à la vie contemplative. Les temps de prière rythment la longue journée de moine, qui, commencée avec l’office de matines, se termine avec celui de complies, à la tombée de la nuit. Les psaumes accompagnent les prières les moines en chantent jusqu'à 150 par jour. Quand ils ne chantent ni ne prient, les religieux s’installent à leur pupitre dans la grande salle de travail, le scriptorium, et recopient psaumes et textes sacrés ou antiques. A l’abri de l’agitation du monde, sûrs de l’amour divin et heureux d’y consacrer leur vie, ils enrichissent leurs manuscrits d’enluminures joyeuses et savamment composées : bientôt, la bibliothèque de Cluny devient la plus riche d’Occident, après celle du Mont-Cassin. Enfin, les moines s’adonnent aux œuvres de charité : chaque jour, leur hôtellerie, située à la limite des bâtiments religieux, accueille tous ceux que la misère jette sur les routes.

Cependant, l’originalité de l’abbaye, qui connaît rapidement une notoriété considérable, tient à son statut bien particulier. Dans la charte de fondation rédigée par Guillaume d’Aquitaine, une clause garantit le rattachement direct de l’abbaye au Saint-Siège et stipule que les prieurs qui en prennent tète doivent être élus par les moines et choisis dans les rangs des Bénédictins. Cluny échappe ainsi à toute autorité royale, seigneuriale ou épiscopale. Elle ne tient ses directives que de Rome et ses abbés sont les égaux des rois. De plus, elle a la chance d’être dirigée pendant longtemps par des hommes remarquables, tant par leur ferveur religieuse que par leur largeur de vues.

Au premier abbé, Bernon, succède tout d’abord saint Odon, dont la spiritualité rayonne bien au-delà des murs du monastère : il voyage en Italie et se rend à Fleury-sur-Loire – où reposent les restes de Saint Benoît -, appelé par des communautés religieuses soucieuses de rendre leur pureté aux cérémonies liturgiques. C’est sous son règne que le pape oriente l’avenir de la petite abbaye bourguignonne en décidant qu’elle doit garder, sous son obédience, les monastères qu’elle va réformer. Après Odon, vient Aymard, qui, grâce à d’importantes donations, agrandit le domaine et en perfectionne l’organisation. Son successeur, Maïeul, sillonne les routes de l’Allemagne à la provence et range de nouvelles communautés sous son autorité. Profondément ému par la misère du monde, il marque Cluny du sceau de la mansuétude et joue de son ascendant sur l’Empereur d’Allemagne pour tenter d’apaiser les conflits qui secouent l’Empire Germanique. Odilon rattache de nouvelles communautés à Cluny, dont l’abbé devient le chef d’une importante fédération monastique.

De plus, ce dernier pense qu’il existe d’autres voies de salut pour les laïques ; lesquelles ont été tracées par Géraud d’Aurillac au début du Xème siècle. Comte d’Auvergne, Géraud est un bon seigneur, rendant la justice, assistant aux offices, essayant de défendre sa ville contre les Normands, refusant de devenir vassal du comte d’Aquitaine. Pour Odilon, il se montre un Chrétien exceptionnel : il jeûne comme un moine, se fait lire des textes saints durant les repas, distribue lui même les aumônes aux pauvres, refuse de se marier et résiste héroïquement à la tentation de la chair, avec l’aide de Dieu. Il fonde sur ses terres une abbaye, Saint Clément. Géraud meurt deux ans avant la fondation de Cluny ; il n’a pas existé de son vivant de communauté assez exemplaire pour qu’il ait pu avoir envie de s’y joindre. C’est pour cette raison qu’il n’a pas été canonisé.

A une époque où l’Eglise est avilie et où prévalent les valeurs seigneuriales et guerrières, Cluny restaure la dignité des clercs, en donnant « l’image d’une société de seigneurs vivant dans la prière et l’obéissance ». Au Xème siècle d’ailleurs, les temps se font moins violents. Rollon, le fier Normand, signe la paix avec le roi de France Charles III le Simple et reçoit le baptême ; le comte d’Avignon, Guillaume le Libérateur, bat les Sarrasins, qui mettent un terme à leur occupation de la provence ; quant à la hongrie, elle abandonne ses mœurs barbares pour adopter le Christianisme sous l’impulsion du roi Etienne Ier. C’est Odilon, abbé de Cluny qui, avec le pape, réussit finalement à imposer la trêve de Dieu, sage mesure qui consiste à interdire les combats certains jours de la semaine.

La dynastie Carolingienne semble rétablie. Pas pour longtemps. Car, dès 922, les Grands élisent un second roi en la personne du frère d’Eudes, Robert, qu’ils font sacrer par l’archevêque de Sens. La guerre entre les deux partis devient inévitable : le nouveau roi trouve la mort le 15 Juin 923. Charles le Simple est détrôné la même année ; après avoir alors proposé la couronne au fils de Robert, Hugues, qui la refuse, les Grands l’offrent à Raoul, fils du duc de Bourgogne.

En 927, un phénomène extraordinaire, qui a un retentissement considérable dans tout le royaume, se produit : à Verdun, comme dans tout l’Est de la france, de nombreuses personnes voient apparaître plusieurs heures durant, des armées de feu dans le ciel. Celles-ci excitent alors les nuages ; elles en font des tempêtes. Puis, elles pratiquent l’astrologie afin de les orienter en direction de lieux bien précis. Enfin, une fois la nuit tombée, ces troupes se mettent à avancer sur la plaine, avant de disparaître au-delà de l’horizon.

Puis, à la mort de Raoul, en 936, Hugues est le plus puissant personnage du royaume, mais il ne souhaite pas devenir roi. Bien au contraire, il organise la restauration des Carolingiens et place Louis IV d’Outremer sur le trône. Le roi le remercie en lui reconnaissant le titre de « dux Francorum », ou « dux Franciae » - duc des Francs ; Hugues, surnommé  le Grand, exerce désormais une véritable vice-royauté sur la francia, territoire s’étendant entre Loire et Meuse. Il meurt en 956, léguant à son fils, prénommé Hugues lui aussi, ses titres et ses fonctions.

En 956, le souverain jouit d’un prestige sans commune mesure avec celui que détiennent les princes les plus puissants du royaume. Sacré, il est choisi par Dieu pour exercer sa charge ; c’est à travers lui que s’épanouit le royaume ; c’est grâce à lui que règne l’ordre. Le domaine royal, groupé autour de Paris, d’Etampes et d’Orléans, entre Seine et Oise, est composé d’un ensemble confus de biens matériels et fonciers – châteaux, terres, moulins -, de droits et de redevances, qui sont plus vaste que le domaine direct de bien des vassaux. C’est une des premières régions touchées par l’essor économique, notamment grâce au défrichement énergiquement mené et à une forte poussée démographique. Le royaume n’en n’est pas moins divisé en grandes unités territoriales : le duché de Bourgogne, dont hérite Robert le Pieux, mais qu’il confie à son fils cadet, le duché de Normandie, le duché d’Aquitaine, le marquisat de Gotie, le marquisat de Provence, les comtés de Flandre, de Champagne, d’Anjou.

Un profond changement apparaît dans l’essor économique qui, avec l’établissement de la seigneurie, la restructuration des campagnes et la révolution féodale, gagne toute la france, puis l’Europe.

La production croissante et régulière ses surplus agricoles redonne vie aux échanges et aux villes. Parallèlement, la monnaie commence à circuler régulièrement et le progrès technique, notamment dans le domaine textile, permet de répondre à une demande toujours plus importante.

Les bourgs apparaissent. Là se fixe une population de marchands et d’artisans, que le seigneur cherche à attirer par des privilèges et, surtout, la garantie d’une liberté qui contraste avec la servitude des campagnes environnantes. Ces bourgs se juxtaposent aux cités épiscopales, abbayes et châteaux, auxquels ils fournissent les produits qu’une richesse nouvelle permet d’acquérir. Des marchés et des foires assurent les échanges sur une plus grande échelle. Bientôt, des guildes y naissent, dans lesquelles les commerçants se regroupent pour défendre leurs intérêts. Le mouvement prend même une envergure exceptionnelle pour au moins trois sortes de villes : les villes de commerce international, les centres artisanaux et les capitales.

A la même époque, apparaît, entre Loire et Rhin, un nouveau type de fortifications, auquel on donne le nom de « château ». Le phénomène s’étend bientôt à tout l’Occident.

L’élément fondamental du château est la motte, butte artificielle faite de terre rapportée ; elle est entourée à sa base d’un fossé, que surmonte une palissade de bois ; le sommet aplani en plate-forme porte une tour quadrangulaire en bois, ou « donjon ». L’accès au donjon se fait par une échelle conduisant à une porte unique. Les dimensions de la motte sont modestes : 15 mètres de hauteur pour 30 mètres de diamètre à la base ; la superficie enclose dépasse rarement le demi-hectare. A la motte est associée une basse-cour, ou « bayle », protégée par un talus de terre surmonté d’une palissade.

Dans le château vivent des chevaliers, dont le rôle est de se battre. Autour du château vivent les paysans soumis au ban seigneurial : ils travaillent la terre pour leur seigneur, lui versent des redevances et sont tenus, s’il l’exige, de se battre pour lui. En échange de quoi, ils peuvent se réfugier dans la basse-cour du château s’il y a du danger. Trop vulnérables n cas d’incendie, les châteaux sont très vite construits en pierre.

L’Eglise, de son coté, résiste mal à la tourmente des grandes invasions. Les clercs, dont l’existence doit être vouée à l’étude et à la prière, se laissent happer par les grands conflits du moment, et prennent parti dans toutes les querelles qui déchirent l’Occident.

Alors qu’aux temps Carolingiens, les Princes ont dû respecter l’autorité et le savoir des évêques, ils profitent désormais du désarroi des moines et des prêtres pour mettre la main sur les immenses propriétés de l’Eglise. Ce sont en effet maintenant les ducs et les comtes qui nomment les titulaires des évêchés et des grandes abbayes, qu’ils vendent parfois au plus offrant. Ces hautes charges peuvent donc être la propriété d’une seule famille, où elles sont transmises de l’oncle au neveu ou de père en fils. Détenteurs de terres qu’ils tiennent d’un seigneur, les dignitaires religieux deviennent aussi des rouages du système féodal. Ils sont soumis aux mêmes obligations que les autres seigneurs et ont les mêmes droits : ils ont des obligations militaires, rendent la justice, perçoivent des redevances. C’est le temps du déclin de la papauté, soumise aux intrigues de l’aristocratie romaine, le temps où un pape, Jean X, est étouffé sous son oreiller et laisse la place à Jean XI, fils que son prédécesseur a eu d’une belle romaine.

Alors que la renaissance culturelle Carolingienne a été due aux travaux de l’élite intellectuelle constituée par le clergé, l’autorité morale de l’Eglise s’affaiblit désormais, et le clergé des paroisses est ignorant et débauché. L’activité intellectuelle s’est considérablement réduite, les ateliers des monastères et des chapelles princières cessent d’être des lieux d’intense production, les écoles des palais sont désertées, on ne construit plus de grandes églises qu’en Germanie. Ce déclin atteint tous les types de production artistique, à l’exception d’un seul, l’orfèvrerie, qui fabrique en quantité croix, médailles et médaillons, reliures, mais surtout châsses et coffrets pour enfermer le bien le plus précieux des hommes désemparés, les reliques des saints qu’ils vénèrent.

Au cours de cette période, seule l’abbaye de Déols, dans le Berry, est fondée. Elle est inaugurée par Ebbes le Noble et consacrée par le pape Pascal II. Elle devient alors en peu de temps le seul centre Religieux et Initiatique d’importance dans la région.

Ce, jusqu'à la date à laquelle le Mont Saint-Michel – dit « la merveille de l’Occident » - commence à être construit à la pointe du littoral breton. Se fondations sont d’ailleurs érigées en remplacement d’un ancien temple druidique souterrain particulièrement vénéré autrefois : le Sanctuaire du Dragon.

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Commentaires
M
ton blog me semble pas mal<br /> il y a énormément de lecture<br /> sur internet, c'est pas forcément ce qu'il y a de mieux mais a part ca c est pas mal!!!<br /> <br /> si tu as le temps, tu peux passer sur mon blog aussi : http://mystic-ness.skyrock.com<br /> <br /> bye
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