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14 août 2009

De Deiteus Mythica, le Mythe des Demi-Dieux : Pages 1479 - 1481

egypte_contemporaineEn Novembre 1927, l’Esotériste Spanuth est en visite sur le site de Medinet Habou. Là, accidentellement, il déterre les vestiges d’un Temple. Il suppose très vite que celui-ci a été consacré au culte de Ramsès III. Il établit qu’il a été érigé entre 1200 et 1168 avant J.C. Et il réalise que plusieurs murs sont décorés de reliefs tout à fait particuliers : leurs inscriptions évoquent en effet les démêlées du Pharaon et des « Peuples de la mer ».

Spanuth assimile aussitôt les Peuples de la mer à des tribus qui habité l’Europe du Nord au 13ème siècle avant notre Ere. Il estime que ce sont elles qui ont constitué les plus anciennes souches Germaniques de cette région : les Frisons, les Saxons, et les Danois. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’il écrit alors :

« Puis, la première armée poursuivit sa route vers le Sud ; elle atteignit bientôt les frontières orientales de l’Egypte. La seconde colonne, de son coté, passa en Afrique du Nord par l’Italie. Elle conclut ensuite une alliance avec les Libyens, et viola la frontière occidentale de l’Egypte.

Les combats qui s’ensuivirent furent terribles. Mais, finalement, la victoire revint aux Egyptiens : ils refoulèrent leurs ennemis vers l’Ouest et vers les régions Sahariennes. Mais, ils furent tellement impressionnés par les chars de guerre Nordiques, qu’ils dessinèrent leurs formes sur des fresques demeurées célèbres. En même temps, grâce à elles, ils soulignèrent que leurs adversaires furent peu nombreux, et que les dégâts qu’ils occasionnèrent furent assez superficiels. ».

En Février 1928, Mahmoud Hamza est à Khatana Qantir. Il y déterre quelques édifices en ruines. Il se demande s’ils n’appartiennent pas à l’ancienne cité de Pi Ramsès. Il suppose que leur date de construction se situe entre la 12ème et la 13ème dynastie. Et, tandis que ses ouvriers mettent au jour des monuments érigés au cours des règnes d’Amenemhat Ier et de Sésostris III, il comprend en les examinant, que la façon dont ils ont été élaborés renforce son hypothèse      

En Avril 1928, l’un des treize rouleaux du fameux Nag Hammadi est retrouvé au Caire : en effet, à cette date, un marchand de la ville le vend à la c.G. Fondation. Et, pourtant, son acquéreur est ennuyé par l’irrégularité de la transaction ; mais il est émerveillé quand il se rend compte que parmi les textes qui apparaissent sur le document, se discerne « l’Evangile de Thomas ».

Or, quelques semaines plus tard, après que les chercheurs de la c.G. Fondation aient débuté l’étude du parchemin, ceux-ci réalisent qu’il se compose de textes Bibliques, ainsi que de Codex à caractère fortement Gnostique. Par ailleurs, il leur semble que l’ensemble ait été rédigé à la fin du IVème siècle, ou au début du Vème siècle. Il leur apparaît que ce ne sont que des copies d’originaux qui remonteraient à une époque très antérieure. Et ils se souviennent que d’après les Canons de l’Eglise, l’Evangile de Thomas, l’Evangile de Vérité, et l’Evangile des Egyptiens, sont mentionnés dès le milieu du IIème siècle par les Pères de l’Eglise. Il est donc plus que probable, pour eux, qu’ils aient été écrits dès le milieu du 1er siècle de notre Ere.

En Janvier 1929, après une vague de découvertes incroyables en Egypte, plusieurs Esotéristes se posent beaucoup de questions sur la civilisation des bâtisseurs de Pyramides. Ils se demandent, entre autres, si, à l’époque des Pharaons, les sites de Karnak et de Guizèh n’ont pas été des Nœuds Telluriques importants dans cette partie du Monde ? Ils se demandent aussi si les mesures et les formes des pyramides n’ont pas été établies pour faire des monuments des aimants attirant à eux la force tellurique enfouie au cœur du globe ?

En Avril 1929, l’Université de Philadelphie délègue un de ses professeurs, Allan Rowe, afin qu’il effectue des recherches sur le site de Saqqarah. Et, au bout de deux semaines de travail, il y exhume les vestiges d’un petit Sanctuaire ; dont il dégage très vite la chaussée.

En Mai 1929, le Savant Français Pierre Montet arrive à Tanis. Là, en compagnie de trois de ses confrères, il dégage un Temple dédié à Ramsès II. Il retrouve les tombes inviolées des quatre Pharaons qui lui ont succédé au cours de la 21ème et de la 22ème dynasties. Mais, il se penche plus particulièrement sur celle de Psounnenes Ier.

En Septembre 1929, l’Archéologue Allemand Steindorff se trouve à proximité du site d’Ahiba. Il y apprend que la cité a jadis été l’une des capitales Nubienne de la période dynastique. Grâce à ces renseignements, il exhume dans ses alentours plus de 1000 caveaux intacts. Et, il se rend compte qu’il est sur l’un des sites Archéologiques Egyptien les plus riches et les plus complets jamais trouvé à ce jour. 

Par ailleurs, au même moment, l’assistant de Steindorff Emery, lui, explore la forteresse de Kouban. Il inventorie les hypogées royaux de Ballana et de Qoustoul. Il se glisse à l’intérieur des nécropoles de Kur et de Sai en Nubie Soudanaise. Il scrute les Sanctuaires d’Aksha et de Senna à Dendour. Et il se dirige vers les restes des cités de Taffeh, de Debad, et d’Ellisya.

En 1931, l’Université du Caire donne pour mission à Sami Gabra, d’examiner un lieu qui se situe au Sud d’Hermopolis. Là, il voit une nécropole gigantesque apparaître sous ses yeux. Peu à peu, il réalise qu’elle est composée de dizaines de Temples, de centaines de tombeaux, mais aussi, de milliers d’habitations. Trois semaines plus tard, il apprend que deux de ses assistants, Ermer et Kurwan – ont exhumé deux tumulus ; l’un à Qoustoul, et l’autre à Balane. Il est informé qu’ils ont repéré une anfractuosité entre les deux endroits. Ils y sont entrés. Et, au centre de cette dernière, ils y ont vu des motifs Mythologiques, ainsi que le sarcophage d’un Souverain inconnu.   

En 1932, un Archéologue du nom de J. Ketel effectue un certain nombre d’investigations aux abords de l’île d’Eléphantine. Là, il exhume plus d’une centaine de statues. Il comprend qu’elles ont été rassemblées à cet endroit au cours de la 11ème dynastie. A leur proximité, il discerne trois chapelles. Et il constate que les édifices ont été consacrés au fondateur supposé de cette dynastie : Montouhotep.

Quelques jours plus tard, J. Ketel réalise que l’une des chapelles est en fait un Temple dédié à Satis et à Heka-ib ; et qu’il a été rénové à cette même époque.

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