Mot du jour

Aujourd'hui, d'une part, je retourne à la correction orthographique et grammaticale, à l'allègent ou à l'approfondissement de certains passages, à la relecture, de mon texte De Deiteus Mythica. Plus de 3000 pages à décortiquer avec attention, application, patience, concentration, rigueur intellectuelle...

Mais aussi, en y prenant un plaisir inégalable et inégalé comparable à bien des égards à ces instants divins, si rares et si précieux, où je fais l'amour à une femme. Car dans les deux cas, ce sont des moments qui me transportent de passion. La sensualité, l'érotisme, le charme, l'emportement exalté de ces instants où je me voue totalement, démesurément, et avec dévouement, à cette femme qui partage alors ma couche, sont comparables. Certes, pour l'un, c'est l’enthousiasme intellectuel qui se manifeste ; pour l'autre, c'est la ferveur amoureuse qui s'exprime. Mais elles sont finalement les deux faces d'une même pièce. L'une accolée à l'autre sont une fraction de moi que bien peu de personnes sont capables de voir, d'accepter, ou d'apprécier...

D'autre part, je me replonge avec délice dans le prolongement de la remise à jour de mes Brèves Philosophiques. Plus de 600 pages accumulées depuis plus d'une demi-douzaine d'années, et retranscrites sans épuration ou révision d'aucune sorte. Elles ont été composées "au kilomètre" selon la formule consacrée. Donc, là encore, beaucoup de travail en perspective.

Je vous laisse donc. A très vite pour ceux et celles qui ont le courage et le désir - et surtout le plaisir - de me suivre dans mes aventures littéraires...