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memoires
5 avril 2016

autobiographie, pages 84 à 86 / 314

autobiographie, pages 84 à 86 / 314
Parfois aussi, après avoir endossé nos parures de nuit, nous avions entre une grosse demi-heure et une petite heure de liberté avant d'aller dîner. Nous allions alors rejoindre mes grands-parents et ma mère où ils étaient : soit dans le salon en train...
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4 avril 2016

autobiographie, pages 82 à 84 / 314

autobiographie, pages 82 à 84 / 314
Puis, je laissais cette chimère se dissiper. Les deux adolescents en devenir parfois assistés de ma sœur, de mon frère, et de moi, expirait. Ma circonspection se braquait vers la fontaine aux contours taillés dans le mur d'en face. Je percevais le clapotement...
3 avril 2016

autobiographie, pages 80 à 82 / 314

autobiographie, pages 80 à 82 / 314
Que ce soit pour ma sœur, pour mon cadet, ou pour moi, mes grands-parents nous ont éduqué afin de suivre les mêmes préceptes. Et nous avons toujours lancé un « bonjour » bienveillant aux individus qui défilaient régulièrement sur le trottoir longeant...
2 avril 2016

Béances historiques

Béances historiques
Hier, en fin d'après-midi – comme c'est le cas pratiquement chaque jour -, je termine ma session d'écriture aux alentours de dix-sept heures. Mon ordinateur reste allumé. Mais je quitte mon bureau pour rejoindre mon salon, et visionner des émissions,...
2 avril 2016

autobiographie, pages 78 à 80 / 314

autobiographie, pages 78 à 80 / 314
Parfois aussi, j'insistais pour que nous nous rendions dans le boulevard principal de la grande ville riveraine. Il était rare que je parvienne à mes fins. Aussi, quand je réussissais à convaincre mes grands-parents ou ma mère de l'arpenter, il n'y a...
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1 avril 2016

autobiographie, pages 76 à 78 / 314

autobiographie, pages 76 à 78 / 314
Or, les promenades de ma mère étaient calquées sur un principe équivalent. Aussitôt le déjeuner et les informations télévisées de la mi-journée terminés, il était hors de question de rester à « flemmarder » au sein de notre habitation. En Été, mes grands-parents...
31 mars 2016

autobiographie, pages 72 à 76 / 314

autobiographie, pages 72 à 76 / 314
De fait, chaque soir, jusque tard parfois, s'organisaient des réunions plus ou moins improvisées autour de la table de notre salle à manger ou dans notre salon. Mon père, ma mère, et leurs hôtes, discutaient longuement à propos des prochaines kermesses...
30 mars 2016

autobiographie, pages 74 à 76 / 314

autobiographie, pages 74 à 76 / 314
Mes grands-parents n'auraient pas admis les relâchements qui nous étaient permis chez mes parents. Déjà, lorsque j'avais le malheur de me réveiller après dix heures du matin, c'était un drame. Dans ce cas, ma grand-mère venait toquer à la porte de ma...
28 mars 2016

autobiographie, pages 68 à 70 / 314

autobiographie, pages 68 à 70 / 314
Ainsi, lorsque les versants du chemin que nous pistions ont été plus étroits, que ses écueils se sont multipliés, j'ai pris sur moi. Bien que la déclivité ai pris des allures de falaise de plus en plus abrupte, je n'ai rien lâché. Empruntant des détours...
28 mars 2016

Quel fardeau que mon corps

Quel fardeau que mon corps
Je déteste mon corps. Je le maudit parfois. Depuis que je suis enfant, celui-ci n'a été que source d'embarras et de souffrance. Je suis régulièrement la proie de crises de convulsions ; elles ne durent que quelques minutes, mais sont très douloureuses....
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