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Mes Univers
27 janvier 2017

Jour de colère :

X9Aujourd'hui, je suis particulièrement furieux ; à la fois triste et consterné ; en colère et atterré par tant de méchanceté, de mépris, de bêtise, de petitesse. Il y a des personnes dont le comportement, ici, non seulement frise le ridicule, mais dévoilent un visage navrant, indécent, et surtout lâche. Si eux n'ont pas honte de leurs actions, moi j'en ai honte pour eux, car ils révèlent ce qu'il y a de plus indigne, d'irrespectueux, dans les rapports humains que les uns et les autres peuvent avoir via un réseau social comme Facebook. Et s'ils se permettent de tels agissements grâce à l'anonymat que leur procure internet, je n'ose imaginer ce qu'ils s'autorisent dans la Réalité ; au quotidien, avec leurs proches, leurs amis, ou envers les anonymes qu'ils croisent au sein de leur existence journalière !!!

 

Ceux et celles qui me lisent et me suivent régulièrement ou épisodiquement le savent, j'ai beaucoup de contacts divers et variés qui appartiennent à mes « amis » Facebook. Il y en avec lesquels je suis en lien quotidien, d'autres un peu moins souvent, d'autres encore assez rarement, d'autres enfin, pratiquement jamais, voire jamais. Ces personnes sont issues de milieux sociaux-culturels, philosophiques, professionnels, religieux, territoriaux, etc. multiples. Je ne fais aucune distinction entre les uns et les autres. Ce qui prime avant tout, ce sont les affinités, les centres d’intérêts, les façons d'envisager le monde, les rapports avec les gens, la sensibilité, les passions, les ambitions, j'en passe, qui nous sont communes ou pas. Il y a tant de facteurs qui entrent en ligne de compte lors de l'élaboration progressive de liens amicaux. C'est vrai dans la réalité ; c'est également exact sur Internet ou sur les réseaux sociaux.

 

Parmi ces « amis », il y a plusieurs personnes connues du grand public parce qu'il les voit souvent à la télévision ou à la radio. Des acteurs, des journalistes, des romanciers, des artistes, des musiciens, etc. Vous comprenez que je n'ai pas le droit de citer leur nom ou de révéler leur profession. Ces personnes ont le droit au respect de la vie privée et à l'anonymat. Elles ont le droit de ne pas être harcelées par des hordes de fans qui souhaiteraient faire leur connaissance, les approcher, etc. Leur tranquillité, leur sérénité, leur famille, leurs proches, etc. doivent être préservées. C'est normal, naturel. D'autant que l'emploi qu'elles ont est souvent prenant, fatiguant – pour ne pas dire plus -, exigeant. Elles sont énormément sollicitées, prises par les fonctions qu'elles occupent. Les réseaux sociaux comme Facebook, par exemple, sont une sorte de « décompresseur ». Un moyen de s'évader quelques instants de leurs obligations. Une sorte de bouffée d'oxygène où elles ont le droit de se montrer sous leur véritable jour aux ami(e)s qu'elles y ont ; et qui, à 99 % sont aussi des proches au sein de leur réalité quotidienne.

 

J'ai le privilège et l'honneur de les côtoyer ici. Et j'avoue que je considère cela comme une faveur qui me touche au plus profond de mon cœur et de mon âme. Moi qui ne me vois que comme un « petit écrivaillon » sans véritable envergure, outre les plus de 1500 hommes ou femmes qui me lisent ici, outre les centaines d'individus qui suivent mon « fil d'actualité », outre les quelques dizaines de gens qui se rendent chaque jour sur mon blog, ou qui explorent les écrits que je diffuse sur quelques sites littéraires, je me sens particulièrement favorisé. Car ce n'est pas rien de savoir qu'il y a des personnes possédant une aura nationale, qui apprécient ce que vous écrivez. Ce n'est pas rien d’être encouragé, poussé en avant, par elles, parce qu'elles croient en vous et votre « talent ».

 

Alors que j'estime – mais c'est mon point de vue personnel – que je n'ai pas plus ou moins de talent qu'un autre. Je suis uniquement un anonyme parmi d'autres anonymes qui s'exprime librement. Au travers de mes textes, je me dévoile tel que je suis, ni plus ni moins. Au travers de mes récits personnels, ou de mes exposés sur la politique, l'actualité, la philosophie, l'histoire, etc. je suis sincère, franc, le plus honnête possible avec ceux et celles qui se plongent dans les lignes que je retranscris. Je décris mes combats, mes pensées, mes connaissances, mes expériences, mes passions. Je dépeins l'insatiable curiosité qui est la mienne dans maints secteurs du savoir, de la culture, de la spiritualité. Je ne me prétends pas plus ou moins intelligent, doué de raison, que quiconque.

 

Je sais que quelques-uns ou quelques-unes qui font parti de mes détracteurs, ne croient pas en ce que je souligne là. Ils voient en moi quelqu'un d'orgueilleux, de vaniteux, imbu de sa personne, qui se sent supérieur du fait de ses connaissances ou des écrits qu'il publie ici ou ailleurs. Je sais qu'il y en a qui ne supportent pas – ou peu – les visions du monde, de l'humanité, de la société, de la civilisation, ou de la religion, que j'évoque dans mes exposés. Mes remises en cause de establishment, du conformisme et de la paresse intellectuelle, du culte de l'image, des à-priori et des certitudes auxquels ils s'accrochent bec et ongle. Cette attitude leur permet de justifier leurs critiques, leurs condamnations, leurs sentences, et surtout leurs sanctions à mon égard. Ils croient m'intimider et me faire plier ; me soumettre à leurs positions et à leurs conservatismes. A mes yeux, ces derniers sont d'ailleurs rétrogrades, obsolètes, périmés.

 

Je pense que si les personnes publiques qui me suivent apprécient mes textes – comme tous les anonymes qui en font de même -, c'est justement parce qu'y transparaissent ma personnalité, mes valeurs, mes idées, etc. Beaucoup me l'ont déjà affirmé. Lorsque j'échange avec elles, nous parlons parfois de choses anodines. D'autres fois, il s'agit de sujets plus sérieux. L'actualité notamment, les faits de société, l'évolution du monde, avec ses outrances et ses injustices, ses paradoxes et ses complexités. J'apprends beaucoup d'elles, et elles me poussent à publier, à faire connaître davantage ce que je diffuse ici. L'une d'elles a émis l'idée – judicieuse – de transformer ce que je nomme mes « Brèves Philosophiques » que vous pouvez lire sur le site Atramenta, en livre à part entière. Ce à quoi je vais m'employer d'ici peu en parallèle de la poursuite de la rédaction de mon ouvrage intitulé : « les origines idéologiques et ésotériques du Nazisme ».

 

Je vais retravailler leur forme, les corriger, les aérer, les découper en différents chapitres. Je vais en ôter les lourdeurs, les répétitions, les maladresses grammaticales ou orthographiques, les coquilles. Cela va me prendre du temps et de l'énergie ; mais pas tant que cela. Et ce ne sera jamais aussi épuisant ou chronophage que mon livre sur le Nazisme.

 

Par contre, s'il y a une chose que je ne tolère pas, que je ne supporte pas, c'est que l'on s'en prenne à ces personnes publiques d'une façon ou d'une autre. Plusieurs fois, l'une d'elles a été l'objet « d'attaques » sur Facebook. Des gens malintentionnés sont venus pirater son compte Facebook. Ils lui ont effacé à plusieurs reprises textes, images, vidéos, liens, etc. auxquels elle tenait. N'acceptant pas qu'elle ait son « jardin secret » via ce réseau social, ne tolérant pas qu'elle ait des « amis » via celui-ci – en dehors de son cercle habituel -, ils s'y sont infiltré sans remord ni regret. Régulièrement, elle est contrainte de changer son mot de passe, parce qu'ils veulent la voir se retirer de Facebook. Régulièrement, elle est obligée de me réinviter en tant qu'ami, parce que de petits malins m'ont supprimé de ceux-ci. Ce matin encore, l'un d'eux a modifié ses paramètres de confidentialité à mon encontre.

 

Tout cela par jalousie, envie, médisance, méchanceté, irrespect, afin de blesser, et de mettre des bâtons dans les roues à l'amitié qui nous unit l'un et l'autre. Et ça, pour moi, c'est inadmissible, inacceptable. Je me battrais de toutes mes forces, avec toute l'énergie dont je dispose, pour que ce genre d'événements ne se reproduise pas. Au mieux de mes capacités et de mes possibilités, bien évidemment. Et surtout, en veillant à préserver sa sérénité, son anonymat, son désir de profiter de Facebook comme tout un chacun.

 

C'est une personne que j'aime beaucoup en tant qu'amie. Elle est connue, mais j'agirais de la même manière si elle était un individu lambda. D'ailleurs, j'ai déjà eu l'occasion d'agir pareillement à l'encontre de personnes pour qui mon amitié est forte, mais qui n'ont aucune notoriété. Comme je le disais au début, c'est avant tout une question d'affinités, de lien qui nous unit les uns aux autres. Il y a des gens vers lesquels on se sent attiré amicalement, plus que d'autres. Il y a aussi des gens auxquels je tends la main – et vive versa -, mais avec lesquels ce n'est pas réciproque.

 

Par contre, avec celle-ci, nous nous comprenons, nous avons beaucoup de points communs, une grande sensibilité en maints domaines. Elle comme moi avons vécu beaucoup d'épreuves. Elle a toute mon attention, comme j'ai toute la sienne, avec respect, en n'empiétant jamais sur les limites relationnelles que nous nous sommes fixés. En étant au fait de nos qualités et de nos défauts, de nos forces et nos faiblesses, de nos valeurs ou nos blessures… En acceptant l'autre tel qu'il est sans le juger ou le condamner, sans à-priori.

 

Alors, quand je constate les attaques dont elle fait l'objet, c'est un peu comme si j'étais moi-même visé. C'est mesquin, petit, minable, honteux. J'ai déjà enduré ce genre d'actions de la part de malintentionnés qui se croient tout permis, qui n'ont aucun respect pour rien ni pour quiconque. Ils se prennent pour ceux ou celles qui doivent imposer ce qu'ils considèrent comme normal. Alors qu'on ne leur a rien demandé. Ils interviennent, dissimulés derrière leur écran. Ils s'amusent des embûches qu'ils déploient. Ils regardent leurs victimes se débattre dans les difficultés, alors que des événements plus importants devraient davantage retenir notre attention. Comme s'ils n'avaient rien d'autre à faire de leur journée, et que c'était là leur hobby, leur passe-temps.

 

De fait, je suis en colère. Je sais que cette colère est inutile, puisque je ne peux pas les atteindre. Par contre, s'ils étaient physiquement devant moi, ou si je savais qu sont ces gens, j'interviendrai énergiquement. Je n'hésiterai pas à les dénoncer en place publique ; qu'ils se rendent compte ce que cela fait d’être mis à nu devant tout le monde. Puis, s'il y avait des recours juridiques, je les emploierai également. Car dans notre pays, le droit à l'anonymat, au respect de la vie privée, est garanti par la loi ; y compris lorsqu'on est quelqu'un de connu.

 

Depuis que j'écris ici ou ailleurs, mes textes étant consultables par tous, en France ou à l'autre bout du monde, à mon minuscule niveau, je suis dans la même situation. Mais jamais je ne me laisserai intimider, insulter, attaquer, soumettre, par qui que ce soit. Et je veillerai que ce soit également le cas pour cette amie. Je réagirai de la même façon vis-à-vis de tous les autres dont les liens amicaux sont précieux à mes yeux. Que cela plaise ou pas. Que cela soit accepté, toléré, ou pas. Et gare à ceux et à celles qui s'imaginent que ce ne sont que des paroles en l'air. Ils seraient surpris de discerner à quel point je suis susceptible d'agir autrement que par des mots !!!

 

Non pas en exerçant une violence verbale ou physique. Ce sont, à mes yeux, des comportements bestiaux, liés à l'instinct plutôt qu'à l'intelligence ; c'est décadent. Ça salit l'âme. C'est une preuve de faiblesse.

 

Néanmoins, il y a des quantités de moyens différents, plus efficaces et plus respectables, qui sont à disposition. Il suffit juste de les employer judicieusement à l'encontre de ceux et celles qui, justement, ne procèdent pas ainsi. J'espère que je me suis bien fait comprendre. Et que cette amie, ou d'autres, ne seront plus les cibles de tels agissements. Je l'espère de tout cœur, non pour eux ou elles, mais pour leurs persécuteurs...

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