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Mes Univers
6 novembre 2020

Le 06/11/2020, politique, démocratie, et humanité :

X1

Avant de me replonger à corps perdu dans la rédaction de mes Mémoires, puis de mon ouvrage sur l'origine de la Civilisation, j'aimerai dire ceci. Et je m'adresse en priorité aux personnes qui exècrent de plus en plus les représentants de l’État, toute forme d'autorité, ou nos gouvernants politiques, économiques, industriels, etc. Car, il me semble que dans leur naïveté et la violence de leurs propos, leurs arguments délétères et souillés de certitudes toutes faites, d’à-priori, de propagande, de fake-news, de bas étages, elles oublient ou négligent un certain nombre de points essentiels.
 
D'ailleurs ce qui vaut pour la France est en partie également vrai pour les États-Unis et ce qui s'y déroule actuellement :
 
La France a connu plusieurs régimes : la monarchie, deux empires, cinq républiques, et même deux dictatures - la Terreur et le Pétainisme. Elle a connu de nombreuses formes de gouvernements : autoritarisme, absolutisme, parlementarisme, démocratie, etc. Aucun n'est parfait ; car chacun a ses qualités et ses défauts, étant à l'image de leur époque ou des hommes qui les ont forgé. Cependant, celui que nous avons aujourd'hui est celui qui a duré le plus longtemps au cours des deux siècles ayant suivi la Révolution Française - avec la IIIe République. Comme je le mentionne parfois : "si ce régime et sa forme de gouvernement ne sont pas les meilleurs, ce sont les MOINS PIRES.
 
Chaque régime et chaque forme de gouvernement est perfectible. On peut sans les améliorer, les transformer, les adapter aux nécessités du temps et des événements. On peut les faire évoluer, les dénaturer - voyez ce qui se passe en ce moment même aux USA, et qui n'a rien à voir avec les ambitions des Pères Fondateurs de la démocratie américaine en 1776 -, on peut les renverser et en créer de nouvelles. Tout est possible. Rien n'est arrêté ad vitam æternam.
 
Cependant, ce qu'oublient ceux et celles qui invectivent nos institutions, ainsi que ceux et celles qui les dirigent, c'est que ce ne sont que des hommes et des femmes à leur image. Et en tant que tels, ils ou elles sont dotés des mêmes qualités et des mêmes défauts, des mêmes forces et des mêmes faiblesses, des mêmes rêves et des mêmes cauchemars, des mêmes victoires et des mêmes défaites, des mêmes espoirs et des mêmes désespoirs, que sais-je encore, que ces gens qui les méprisent ou les haïssent. Tout comme ces derniers, ils ne sont pas parfaits. Ce sont des êtres humains comme les autres. Et si leurs parcours personnel, leur éducation, leurs parcours professionnels, leur culture, leurs ambitions, sont différents de ceux qu'ils dirigent, ils ont les mêmes aspirations.
 
Je ne suis d'aucun parti, d'aucune mouvance idéologique, identitaire, doctrinaire, religieuse, ou philosophique. J'observe le monde qui m'entoure. Je m'informe à l'aide de tous les vecteurs qui sont à ma disposition. Je vérifie les données que je recueille. Je les compare avec d'autres ; je les analyse, je les approfondis, je les complète. Je sépare le bon grain de l'ivraie. J'écarte - avec le plus d'objectivité ; mais qui peut croire être totalement objectif ? C'est hors de notre portée puisque notre personnalité, notre itinéraire de vie, nos expériences, etc. influent forcément consciemment ou inconsciemment sur la façon dont nous voyons la réalité... -les tentatives de désinformations, la propagande, les fake-news, qui pullulent au milieu d'elles.
 
Je réfléchis, je raisonne, et en dernier lieu, je me fais ma propre opinion. Puis, avec, j'alimente ma pensée, mon esprit, ma conscience, des nouveaux apports qui, au final, en résultent inévitablement.
 
Je renouvelle ce processus à chaque fois qu'une information qui m'est inconnue ou méconnue, m'est apportée. Sans parti pris, sans certitude, chacune de ces informations est une pièce du monumental puzzle qui constitue ma pensée, mes idées, mes croyances, etc. Évoluant sans cesse au gré de ce que j'apprends par l'intermédiaire des multiples canaux de diffusion du savoir qui sont à ma portée, elles sont sans cesse réévaluées, examinées, aiguisées, élargies, enrichies. C'est une nécessité, c'est élémentaire, à la base de ce qui nous permet d'exprimer et d'argumenter nos idées, nos valeurs, nos jugements, nos positions, nos desseins...
 
Il me semble - mais ce n'est là que mon avis personnel - que c'est la manière la plus appropriée et la plus sensée de confronter ses idées, ses idéaux, ses projets, ses ambitions, ses convictions, à ceux des gens auxquels nous les soumettons. Or, malheureusement, de plus en plus souvent, ce n'est pas ainsi que les gens fonctionnent. Pour eux, les émotions ont pris le pas sur la raison, le savoir, la réflexion, l'introspection... Un seul mot, une seule phrase, leur certitude, leur foi, leur suffit.
 
Ils réduisent leur identité, leur conscience individuelle ou collective à des notions basiques, simplistes, faciles. Ils n'ont plus aucune nuance. Ils ne savent - ou peuvent ? - plus prendre de distance avec leurs émotions. Ils n'y a plus de graduation en eux ; tout est soit blanc soit noir. Un fait, une idée, une information, à leurs yeux, ne peut être teintée de gris clair ou de gris foncé, de bleu ou de vert. Le bien et le mal, le vrai ou le faux, la victoire ou la défaite, la réussite ou l'échec, il n'y a plus rien entre les deux. Justement parce que tous les apports extérieurs, toutes les informations complémentaires, contradictoires, ou autres, ils ne veulent plus ni les entendre ni les écouter - si, si, il y a une différence entre ces deux mots !!! Incroyable, non ? -
 
Ils s'en tiennent à ce qui leur est fourni, sans se poser de questions, sans se demander qui leur a donné l’information, dans quel but. Si cette information est avérée, fiable. Ils ne se renseignent pas ailleurs, auprès d'une autre personne, en fonction d'un avis différent, en l'observant sous un angle différent, afin de confirmer ou d'infirmer sa véracité. Bref, tout tout de suite, ici, sans distinction.
 
Or, les régimes qui se succédé, les formes de gouvernement qui les ont accompagnés, ont été dirigés - sont dirigés - par des hommes et des femmes qui leur ressemblent. Et qu'exige-t-on d'eux ? Qu'ils trouvent des solutions IMMÉDIATEMENT, et sans NUANCE, aux difficultés dont ils sont la proie. Un exemple : la crise du Covid-19 a débuté il y a quelques mois de cela. Elle a fait des dizaines de milliers de victimes an France. La situation sanitaire, économique, culturelle, sociale, est critique. Nous subissons sa seconde vague ; un deuxième confinement, afin de tenter d'en RESTREINDRE les effets ; et non pas l’ELIMINER. Puisque seul un vaccin pourra l’arrêter. Et nous savons que nous en avons encore pour, AU MINIMUM, jusqu'à l'été prochain.
 
Pourtant, que réclament les gens avec insistance : reprendre leur vie comme avant, et TOUT DE SUITE. Comme s'ils étaient imperméables aux informations VERIFIEES et UTILISABLES qu'on leur apporte. Ils ne souhaitent ENTENDRE et ASSIMILER que ce en quoi ILS DÉSIRENT croire. Peu importe que ce soit vrai ou faux, que ce soit orienté ou parcellaire. Du moment que ça les conforte dans leurs certitudes, que ça exacerbe leurs motions à vif sur le sujet, ils s'en contentent.
 
Pour nos institutions, c'est exactement le même principe qui s'applique ici. Dans l'esprit de ces gens, tous ceux qui nous gouvernent sous des "pourris", des "vendus", des "technocrates", "corrompus" "qui ne pensent qu'à leur carrière", etc. Ce qu'ils oublient au passage, c'est que n'importe quel régime passé, présent, ou à venir, a forcément des personnes telles que celles-ci. Est-ce la majorité ou une minorité ? Pour le passé, les historiens peuvent apporter un certain nombre de réponses. Et il est vrai qu'il y a eu des régimes plus ou moins gangrénés par des individus de ce genre.
 
Les dictatures, notamment, les ont favorisé ; les extrémismes de tous poils également. Car ils étaient à l'image de leur époque, et des populations qui les enduraient. Je pense notamment à la Terreur, ou aux Fascismes des années Trente ; y compris en France durant la Guerre. N'oublions jamais que l'antisémitisme n'était pas une spécificité nazie. En France aussi, depuis la fin du XIXe siècle - et l'Affaire Dreyfus l'a démontré avec éclat -, elle était un élément fondamental de cette période ; et pour tout un tas de raisons trop longues à détailler ici. Les gens y adhéraient sans se poser de questions, sans réfléchir sur la véracité des arguments avancés, sur les manipulations dont ils étaient l'objet, ou sur la propagande anti-juive qui était diffusée.
 
De plus, la grande majorité des gens, s'ils n'approuvaient pas les monstruosités, les mensonges, les violences, la haine, etc. essaimées par ces dictatures, courbaient l'échine, se soumettaient à elles, pour ne pas en être victime. Ou, ils y participaient de plus ou moins bon cœur pour ne pas être soupçonnés. Rares étaient ceux et celles qui se battaient contre elles avec les moyens qu'ils avaient à leur disposition. Oui, la grande majorité "silencieuse" attendait et espérait que l'orage passe. Elle se concentrait sur le petit cercle familial, professionnel, amical, relationnel, qui lui était familier. Elle se repliait sur elle-même, comme c'est de nouveau le cas aujourd'hui face aux aléas de l'actualité et de l'évolution à "marche forcée" de la période dans laquelle nous vivons.
 
Hier comme aujourd'hui, les régimes étaient à l'image des hommes qui les composaient. Et les renverser, comme ça a été le cas à de nombreuses reprises, n'y a rien changé. Ces régimes, leurs gouvernements, leurs institutions, se sont succédé. Est-ce-que le comportement, les certitudes, des simplifications à outrances, les a-priori, les certitudes, les amalgames, etc. se sont effacés avec eux.
 
Non !!! Parce que ce sont les hommes, et non les formes de gouvernement, qui en sont à l'origine. Ce sont la peur, les raccourcis, les facilités, par manque d'approfondissement des informations à la portée de chacun, qui les ont engendré. C'est parce que la plupart des gens ne réfléchissent pas à la véracité ou à l'exactitude de ce qu'ils voient ou entendent, que leurs émotions s'exacerbent ; et qu'ils jugent et condamnent leurs gouvernants des faiblesses dont ils sont eux-mêmes dotés. C'est parce qu'ils confondent quelques brebis galeuses avec la totalité de leurs dirigeants, qu'ils se soumettent aux propagandes, aux préjugés, dont ils sont abreuvés par des partisans de la haine et de la violence institutionnalisée.
 
La peur est l'arme favorite des faibles, la violence est la seule réponse qu'ils apportent à ceux et celles qui s'imaginent pouvoir améliorer leur situation individuelle ou collective. Mais, en fait, ceux qui se laissent dominer par la peur, et qui renversent tel ou tel régime - peu importe lequel finalement - au profit d'un autre - aboutissent à l'effet inverse désiré. Le pouvoir, certes, change de mains.
 
Pendant quelques semaines, quelques mois, c'est l'allégresse, l'espoir. Regardez comment les gens réagissent à chaque fois qu'un nouveau président arrive au pouvoir ; à chaque fois qu'une révolution renverse le régime précédent. Puis, au bout de cette période, c'est la douche froide. D'autres hommes prennent la place des précédents. Ils se confrontent aux vicissitudes du pouvoir, du gouvernement, des aléas de l'actualité. Malgré tout, les gens recommencent à être insatisfaits, à exprimer leur colère, leur mécontentement, à être soupçonneux et vindicatifs, à imaginer qu'ils sont corrompus ou qu'ils s'accrochent à leurs privilèges. Systématiquement.
 
Pourquoi ? Parce que l'homme est ainsi fait qu'il s'accroche désespérément à ses certitudes, à ses préjugés, à ses corporatismes, à ses idéaux inassouvis ; même lorsque certaines de ses revendications sont exaucées, d'autres prendront sa place. L'homme cherche une perfection qui n'existe pas et qui n'existera jamais.
 
Certes, améliorer sa condition est possible et faisable. Néanmoins, la diversité humaine est telle que nul ne sera jamais totalement et définitivement contenté. Parce que dans un monde ou l'éphémère et l'immédiateté a pris le pouvoir, les peurs et les angoisses du lendemain, de "l'inmaitraisible", si les satisfactions ne font pas force de loi, ce sont les émotions les plus vindicatives qui prennent le relais. Si, dans un monde où l'individualité ou les corporatismes sont plus "importants" que le bien commun, que les nécessités collectives, il y aura toujours des mécontents qui désigneront les "autres" comme les responsables de leurs propres malheurs ou désillusions.
 
Car, et là encore, c'est une particularité que l'on retrouve chez la plupart des gens qui ne s'informent que peu, ou qui sont s'appuient uniquement sur leurs certitudes et leurs a-priori, sur leurs informations partiales ou orientées, c'est qu'il leur faut toujours un coupable ou un responsable venu d'ailleurs ; et surtout, qui n'est pas issu de leur communauté restreinte. C'est toujours de la faute de l'autre, c'est bien connu !!! Celui ou celle qui critique le système en place, le régime qui le gouverne, est toujours la victime ; celui qui subit. Il n'a rien fait, il n'a rien vu, il n'a rien entendu. Il profite de ses bienfaits, de ses privilèges. Mais, quand l'ensemble de ses revendications ne lui suis pas accordées, le système est pourri, les dirigeants sont des corrompus ou des parvenus.
 
Toujours les mêmes ressorts ; comme si malgré l'information accessible, comme si le jugement éclairé, étaient niés. Pire, qu'ils le craignaient puisqu'il remettrait en cause le fait qu'ils y participent.
De même, ces gens oublient une chose essentielle : un régime, quel qu'il soit, est destiné à voir les priorités et les nécessités du bien commun sur une longue période. La politique n'est rien de plus que la gestion des aléas auxquels est confronté une nation, dans la DURÉE. Il se doit de regarder ce qui est vital, essentiel, fondamental, pour l'ensemble des gens. Et non pas pour une majorité ou une minorité plus bruyante ou plus violente que les autres.
 
Si chacun doit être entendu, écouté, et un temps soit peu satisfait, une nation est composée d'une multitude de gens, d'opinion, d'idéaux, de métiers, de situations. Mais non !!! Les gens ne le considèrent pas ainsi. Pour eux, c'est eux, et seulement, qui comptent avant tout. L’intérêt général, les priorités du moment, ne comptent pas, ou si peu...
 
La politique, et les dirigeants qui nous gouvernent, ont cette notion fondamentale en permanence à l'esprit. Peu importe que l'on soit d'accord ou pas avec leur orientation idéologique, avec leurs perceptives, avec ce qu'ils croient être juste ou nécessaire. Des corrompus, des profiteurs, des carriéristes, etc., il y en a toujours eu ; et il y en aura toujours. Parce que c'est humain. Cette facette de notre humanité est aussi la leur, qu'on le veuille ou non, qu’on l'accepte ou non.
 
Que des gens leur dénient cette faculté, ces erreurs, ces fautes, c'est comme s'ils se la déniaient à eux-même. Et c'est justement ce qui est à la base de leur intolérance, de leur violence, de leur haine, de leur barbarie parfois. C'est l'image qu'ils ont d'eux-mêmes qu'ils méprisent, qu'ils bafouent, qu'ils veulent détruire ; en vain, évidemment.
 
La politique, c'est le temps long. Ce n'est pas l'immédiateté ou l'éphémérité. Pourtant, c'est ce qu'exigent de plus en plus les gens. Et c'est là la racine qui ronge nos institutions, les régimes et les gouvernements. On en change, on n'est pas satisfait de ce qu'il nous propose TOUT DE SUITE, et ICI. Donc, on descend dans la rue, on le maudit, on invective les élus que ces mêmes gens ont porté au pouvoir deux, trois, quatre, cinq ans auparavant. On renverse des autocraties ou des dictatures, comme cela a été le cas en France par le passé également. Mais on n'est toujours pas heureux et satisfait. Comme si le monde, comme si les autorités, se devaient d'atteindre cette perfection que le commun des mortels ne parvient pas à atteindre.
 
Cette attitude, d'ailleurs, rejoint cet idéal que les croyants cherchent dans la foi, les dogmes religieux, depuis des milliers d'années. Un idéal inatteignable, puisque au-delà de l'Humain. Or, depuis l'origine de la croyance en une entité supérieure, pareillement à ce que les gens en attendent de nos institutions et de nos gouvernants, ils ne peuvent qu'être déçus du résultat.
 
Le pouvoir de la Religion étant plus terrestre que spirituel, puisque composé d'hommes faillibles et dotés de qualités et de défauts, c'est ici-bas qu'il s'incarne. Et il déçoit forcément par ses incapacités à résoudre tous les problèmes concrets d'une société en perpétuelle ébullition. Une évolution qui va d'ailleurs beaucoup plus vite que les dogmes et les "NORMES" instituées par ses représentants. D'où les extrémisme qui en résultent dans les deux cas.
 
C'est une des leçons du passé de notre nation que l'on croyait acquise grâce à la laïcité, et qui aujourd'hui, est à nouveau remise en question par des esprits archaïques qui n'ont pas réalisé que le monde avait changé depuis l'avènement de leur religion... Des esprits nostalgiques d'une époque où la foi était plus importante que la science, que la raison, et que l'intelligence. Une époque où seuls les prêtres, les imams, etc. étaient les seigneurs de cette Terre, et qui se cramponnent à leurs privilèges désuets et anachroniques...
 
Cette peur, toujours cette peur, qui en est à la base. Et cette impossibilité, cette incapacité, de la part de la plupart des gens, de raisonner, de voir plus loin que leur petit parcours de vie, que leurs intérêts personnels et immédiats. Cette peur qui les empêche de réaliser qu'ils appartiennent à une communauté beaucoup plus hétérogène, diverse, complexe, riche, différente, qu'ils ne le supposent. Cette peur qui les empêche de s'informer à partir de multiples sources, des fois que certaines d'entre elles viendraient remettre en cause leurs certitudes, qui viendraient fondamentalement les remettre en question.
 
"Quoi !!! Ce n'est pas l'autre, l'étranger, celui qui est différent de moi, qui est responsable et coupable ? Je le suis autant que lui !!! Mais c'est impossible !!! Quoi !!! Quel que soit le régime qui me gouverne, les mêmes faiblesses, les mêmes erreurs, les mêmes fautes, se répéteront !!! Parce que ce sont des hommes et des femmes semblables à moi, aussi faillibles que moi, qui les font !!! Quoi !!! Je ne vois que ces erreurs, que ces fautes, etc. Je ne prends pas en compte la communauté à laquelle j'appartiens, et sans laquelle je ne serai rien !!!
 
Quoi, tout ceci, finalement, n'est qu'humain, rien de plus, rien de moins !!!, pleurent ces gens qui, parce que noyés dans la masse, se comportant comme des moutons sans réflexion, sans raisonnement, sans intelligence, sans culture, se heurtent à un mur indépassable qu'ils ont eux-mêmes érigé..."
 
Triste constat que celui de voir qu'ils n'ont rien appris, et qu'ils ne désirent ni apprendre, ni comprendre, ni accepter, tout ceci...
 
Dominique Capo

 

   

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