26 juillet 2016
autobiographie, pages 306 à 308 / 312
Comme c'est la loi pour ce style d'enseigne, sa devanture était anonyme. Je me souviens que ses murs et ses vitrines étaient peintes en blanc, opaques. A ce propos, je n'ai jamais compris pourquoi les gens – hommes ou femmes – avaient honte de ce genre...